À partir d’un corpus d’environ soixante œuvres en terre cuite polychromée de la Renaissance italienne conservées dans les collections françaises, l’analyse chimique des pâtes argileuses a permis d’établir une première base de données. Elle comporte cinq groupes correspondant à des régions de production différentes : deux pour la Toscane, très bien caractérisés, les trois autres, plus hypothétiques, pour l’Italie du Nord.