Lettre de Jean-Marie Vincent à André Gorz du 2 juillet 2000Paris, le 2 juillet 2000Cher Gérard,Merci de ta lettre du 21 juin, à la fois très amicale et critique. J’espère que je pourrai répondre à tes remarques de façon satisfaisante. Tu as raison de penser que je ne suis pas sur les positions de type deleuzien qui, à mon sens, naturalisent, machinisent les processus subjectifs, sous la forme d’intensités rhizomatiques qui se combinent avec des prothèses ou prolongements technologiques. En c...