Ne serait-ce qu’un bref moment, examinons l’art contemporain à la lumière de l’idée marxiste occidentale, à savoir comme un instrument de résistance, comme ce que Herbert Marcuse appelait « le grand rejet » ou Guy Debord « l’art du changement » . Examinons l’art contemporain dans cette optique, même si cela peut s’apparenter à casser des noix avec une masse ou peu s’en faut, et même si cela intervient éventuellement trop tard. Que voyons-nous ? Son visage n’apparaît pas particulièrement aven...