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  • Éditeur(s)
  • Date
    • 2007-10-22
  • Notes
    • Dominique Viard, à travers trois principales thématiques, tente de définir les influences formelles et artistiques entre la littérature et la peinture. La figure de Bram van Velde revient dans les réponses des intervenants lorsqu'ils s'interrogent tout d'abord sur son rapport à la figuration et à l'abstraction, s'accordant pour ancrer son oeuvre dans une réalité réinventée mais pourtant présente (Hubert Lucot, Yves Peyré). Se pose également la question de l'influence de l'historicisation : connaître la vie, le contexte historique d'une oeuvre picturale n'influence-t-il pas l'écrivain ? Certainement dans le cas de Guy Goffette (Bonnard) ou d'Yves Peyré qui réfute la vision janséniste que la critique a donné de Bram Van Velde et qui était notamment liée à son amitié avec Becket. Enfin, sur l'influence formelle de la peinture dans la technique d'écriture, dans le geste d'écriture, l'oeuvre apparaît comme un collage, une réinvention poétique improbable (Guy Goffette à propos de Bonnard, Yves Peyré à propos de Michaux), une rêverie critique (Gérard Titus-Carmel à propos de Munch), une autobiographie déguisée (Hubert Lucot à propos de Cézanne), un élément qui fait écho au travail d'une série (Gérard Titus-Carmel). Dominique Viard clôt ce questionnement avec celui de Guy Goffette dans son travail d'éditeur, sur le rôle que celui-ci occupe dans la relation entre l'écrivain et le peintre lorsqu'ils ne se connaissent pas.
  • Langues
    • Français
  • Description matérielle
    • 01:04
  • Sujet(s)
  • Droits
    • diffusion audio : en ligne ; creative Common : Oui ; type consultation : streaming audio
  • Lieu de la manifestation
    • Petite salle, Centre Pompidou ;
    • Centre Pompidou
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