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Résumé : Mettant en miroir sa vie, ses questionnements au gré des incarnations de son idole, l'auteur, philosophe anglais, s'interroge sur la trajectoire de l'artiste, sur l'identité, l'authenticité, la subversion de la musique mainstream. ©Electre 2015

Résumé : D. Bowie, M. Bolan, B. Ferry, S. Quatro : l'émergence du glam rock au début des années 1970 fut une réponse parmi d'autres à la crise identitaire des jeunesses européennes. Cette étude montre la place de la subversion de l'identité sexuelle et du genre pour le glam, l'importance du mouvement pour la musique populaire moderne. ©Electre 2015

Résumé : Cet exposé retrace l'émergence et les caractéristiques d'une nouvelle culture du son, de l'audition et de l'écoute, qui s'est mise en place au XIXe siècle avec l'entrée dans l'ère de la modernité, l'évolution de la médecine, le développement du capitalisme industriel, du colonialisme, de l'urbanisation et de la technologie moderne. ©Electre 2015

Résumé : Productrice radio, l'auteure rend compte des recherches d'Harold Burris-Meyer (1902-1984), ingénieur et homme de théâtre, qui fut inventeur de dispositifs sonores et expérimentateur en sciences du comportement et qui, de l'acoustique théâtrale à l'élaboration de leurres sonores utilisés pendant la Seconde Guerre mondiale, s'employa à démontrer l'influence du son sur les réactions humaines. ©Electre 2017

Résumé : La pop ne descend pas directement des Muses. Son histoire, tous genres musicaux confondus, est intimement liée aux technologies de diffusion qui ont permis son éclosion commerciale. Agnès Gayraud parcourt cette histoire en prenant soin d'éclairer les intentions esthétiques qui traversent cette forme musicale, si souvent dépréciée au profit d'une supposée grande musique. Tout le monde connaît la pop, la reconnaît, a un avis sur elle. Pourtant, sa singularité artistique et philosophique reste peu interrogée, comme si un tabou pesait sur cette forme musicale née au début du XXe siècle et dont le destin est lié à ses conditions techniques de production et de diffusion. Son ancrage, essentiel, dans le monde de la phonographie, est généralement interprété comme le trait honteux d'une musique qui aurait cessé d'en être tout à fait une, jusqu'à s'identifier aux " sons du capitalisme " qui déguisent en sucreries auditives les grognements de la bête immonde. L'enregistrement et ses conséquences auraient avant tout dégradé la musique, altéré ce qui la préservait –; imagine-t-on –; de la standardisation, jusqu'à produire à la chaîne une forme de musique consommable, accessible à tous, universellement médiocre. Des hits d'ABBA aux hymnes de Beyoncé, la pop serait structurellement inauthentique. Dans cet ouvrage, Agnès Gayraud se penche sur la profondeur de cette musique longtemps qualifiée de " légère " et cantonnée à un statut d'objet de consommation. Elle y déploie tous ses paradoxes, au cœur des œuvres musicales elles-mêmes, pour révéler les ramifications esthétiques d'une richesse insoupçonnée de ce qui a peut-être été l'art musical le plus important du XXe siècle.

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