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Résumé : "Goulag", en quatre parties, évoque l'histoire des goulags analysant le système soviétique de répression, des îles Solovki à la Kolyma, par des extraits de films d'archives mêlés à des entretiens de survivants. A l'origine, c'est une colonie d'internement et de travail collectif où les détenus purgent leus peines. L'extrême rudesse des conditions de vie, la faim, le froid, l'épuisement, les mauvais traitements, enfin l'organisation concentrationnaire visent à anéantir physiquement et moralement l'individu. Les détenus politiques sont nombreux (les paysans réfractaires à la collectivisation, les intellectuels, les savants, les artistes...) et cohabitent avec les prisonniers de droit commun subissant souvent la loi du "milieu". En 1937-1938, Staline déclenche de vastes purges et des nouveaux camps de "redressement" sont créés. La délation est érigée en système.Il est encore difficile aujourd'hui d'établir des statistiques précises sur le nombre des arrestations et des éxécutions. Quinze millions de Russes auraient séjourné dans les camps. la moitié d'entre eux seraient morts."Le Génie du mal" est un film sur la vie du compositeur Alexandre L. Lockchine, accusé d'avoir été un dénonciateur. Il s'inspire de la biographie, du même titre, écrite par son fils.

Contenu : Love me. This ain't love. Stuck on you. Star. Let me breathe. Cut the line. Wake up. Way oh. Underworld. Molly town. Sensimilla. Harry's symphony. Clean water. Answer (The)

Résumé : Un portrait de Plantu, caricaturiste dans les journaux "Le Monde" et "L'Express". Le film montre sa façon de travailler au jour le jour, l'élaboration rapide et incisive de ses dessins, les coulisses du métier de reporter-dessinateur. Plantu donne aussi des conférences, rencontre des hommes politiques, présente des expositions de ses dessins et s'adonne aussi à la sculpture.

Résumé : Dans le canton de Vaud (Suisse), le film suit la rencontre de 5 couples "élève-moniteur", "Suisse-étranger" que réunit la perspective de l'obtention du permis de conduire, gage pour les apprenants d'une plus grande intégration dans la société. Mais le but recherché par le réalisateur n'est pas du tout de rendre compte des leçons. "J'ai choisi cinq tandems qui déclinaient, sur le mode de la comédie humaine, les rapports singuliers qui naissent entre des gens amenés à faire un bout de route ensemble. On verra donc des hommes et des femmes qui se débrouillent comme ils peuvent dans leurs relations aux autres, avec des limites et des faiblesses qui devraient sans cesse renvoyer aux nôtres." Jean-Stéphane Bron

Résumé : Paco Ignacio Taibo II est né à Gijón en 1949 dans une famille de Républicains espagnols des Asturies. Très jeune, il émigre avec ses parents au Mexique. Écrivain, historien, journaliste, militant politique, auteur de romans noirs, ses romans et ses essais sont traduits en une vingtaine de langues. Il partage sa vie entre Mexico, l’Espagne et le reste du monde. Généreuse et prolixe, sa personnalité expansive imprime sa marque au film de Richard Hamon. Il parle de sa vie, imprégnée de culture politique et littéraire, de ses convictions et de son militantisme. Ses amis, les écrivains Daniel Chavarria, Luis Sepúlveda, Jürgen Alberts, ainsi que sa famille (son père est l'écrivain et journaliste Paco Ignacio Taïbo I) sont conviés à éclairer la personnalité complexe de cet écrivain qui situe ses romans dans le monde ouvrier. Lecture de textes extraits de : "Quelques nuages" (Éditions Rivages, 1994), "Ombres de l'Ombre" (Éditions Rivages, 1992), "De Passage" (Éditions Métailié, 1995). Il est également l'auteur d'une biographie de Che Guevara : "Ernesto Guevara dit le Che", (Éditions Métailié-Payot, tomes 1 et 2, 2001).

Contenu : CD1 : Sapari. From broken vessels. Bereft in the abyss. Path part 1 (The) : treading through darkness. Path part 2 (The) : Pilgrimage to or shalem (The). Olat ha'tamid. Warrior (The). His leaf shall not wither. Disciples of the sacred oath 2. New jerusalem. Vayehi or. M i ?. Barakah. Codeword : uprising. In thy never ending way. CD2 : Estarabim. Above you all. Pits of despair. Sapari. Bereft in the abyss

Contenu : Sapari / Orphaned Land. Slaves for life / Amaseffer. Deus vult / Arkan. Lions in a cage / Penlagram. Merciless times / Myralh. Elohim / Almana Shchora. Taste of betrayel (The) / Nervecell. Haz el adala mayel / Khalas. Kaffir / Nile. Grand gathas of baal sin / Melechesh. Fountains of muses / Sand Aura

Contenu : CD1 : Die Dreigroschenoper / Interpr. par : Kurt Gerron, Lotte Lenya, Willy Trenk-Trebitsch, Erika Helmke, Erich Ponto, Lewis Ruth Band, Theo Mackeben, Orchester des Theaters am Kurfürstendamm, Hans Sommer, dir. ; Six songs / Interpr. par Kurt Weill, Lotte Lenya. CD2 & 3 : Aufsteig und Fall der Stadt Mahagonny / Interpr. par Lotte Lenya, Heinz Sauerbaum, Gisela Litz, Peter Markwort, Horst Günter, Georg Mund, Fritz Göllnitz, Sigmund Roth, Richard Munch, Chor und Orchester des Norddeutschen Rundfunks, Wilhelm Brückner-Rüggeberg, dir.. CD 4 : De Jasager / Interpr. par Joseph Protschka, Lys Bert, Willibald Vohla, Walter Jenckel, Hans Markus, Alfons Holte, Düsseldorfer Kinderchor und Kammerorchester, Siegfried Kohler, dir.. CD5 & 6 : Die Sieben Todsünden ; Happy end / Interpr. par Lotte Lenya, Julius Katona, Fritz Göllnitz, Siegmund Roth, Ernst Poettgen, Hamburger Sinfonieorchester, Wilhelm Brückner-Rüggeberg, dir.. CD7 : Lady in the dark / Interpr. par Ann Sothern, James Daly, Carleton Carpenter, Paul McGrath, Robert Fortier, Luella Gear, Orchestra and Clay Warnick Choir, Charles Sanford, dir.. CD8 : Down in the valley / Interpr. par Marion Bell, William McGraw, Kenneth Smith, Ray Jacquemot, Richard Barrows, Robert Holland, Roy Johnston, Jeanne Privette, Carole O'Hara, RCA Victor Orchestra and Chorus, Peter Hermann Adler, dir. ; Alabama song ; Denn wie man sich bettet ; Medley / Interpr. par Lotte Lenya, Orchester des Theater am Kurfürstendamm, Hans Sommer, dir.. CD9 : Kleine Dreigroschenmusik für Blasorchester / Interpr. par Kapelle der Staatsoper Berlin, Blasorchester Theo Mackeben, Otto Klemperer, dir. ; September song ; The Scars ; Lost in the stars ; Lover man ; I'm a stranger here myself ; Westwind ; Foolish speak ; Speak low ; That's him / Interpr. par Walter Huston, Frank sinatra, Lotte Lenya, Orchester Victor Young, Orchester Axel Stordahl, Orchester Maurice Abranavel ; I'm a stranger here myself ; Westwind ; Foolish speak ; Speak low ; That's him / Interpr. par Mary Martin, Kenny Baker, One Touch of Venus Orchestra. CD10 : Die Dreigroschenoper / Interpr. par Wolfang Neuss, Willy Trenk-Trebitsch, Trude Hesterberg, Erich Schellow, Johanna von Koczian, Lotte Lenya, Wolfgang Grunert, Inge Wolffberg, Chor und Orchester des Sender Freies Berlin, Wilhelm Brückner-Rüggeberg, dir.

Résumé : 12 airs d'opéra mis en images par des cinéastes d'animation.

Résumé : Au Palais fédéral suisse, en 2001-2002, une commission parlementaire est chargée d'élaborer une loi sur le génie génétique. J.S. Bron suit les 5 parlementaires principaux à leur sortie de la salle des débats fermée au public et est le témoin privilégié des moeurs politiques locales mises en oeuvre pour faire réussir ou capoter la cause des Organismes Génétiquement Modifiés.

Résumé : Natalie Bookchin, artiste et vidéaste américaine, s'intéresse aux conséquences du numérique sur l'esthétique, le travail, les loisirs et le discours politique.

Résumé : Pour amorcer sa croissance économique, le Burkina Faso lance en 2000 l'exploitation industrielle de ses réserves de gisement d'or. Plusieurs sociétés minières transnationales s'installent au pays des hommes intègres. La première mine à ciel ouvert est construite en juin 2006 à Kalsaka. C'est un grand espoir pour la population de ce petit village situé au nordest du Burkina Faso. Mais en 2013, après 6 années d'exploitation, la mine ferme ses portes et laisse dernière un désert social et environnemental. Une petite ville de campagne sans infrastructures sociales de base, une population fortement impactée par la perte du niveau de vie acquis pendant les quelques années de prospérité. Malgré tout, les habitants s'organisent et se battent pour obtenir des réparations.

Résumé : L'agriculture biologique s'appuie sur différentes formes d'autonomie paysanne : autonomie du système herbager et de polyculture-élevage, autonomie en matière de semences, d'alimentation des troupeaux, de transformation des produits de l'exploitation, de commercialisation ainsi que la perspective de l'autonomie énergétique. Le film présente les différentes formes d'organisation que les éleveurs se sont données pour se faire entendre en développant des filières, en harmonisant circuits courts (vente directe) et circuits longs. Le paysan, au coeur de ce système de décision, devient chercheur et entend transformer l'existant.

Résumé : Hatidze Muratova est une des dernières personnes à récolter le miel de manière traditionnelle, dans les montagnes désertiques de Macédoine. Sans aucune protection et avec passion, elle communie avec les abeilles. Elle prélève uniquement le miel nécessaire pour gagner modestement sa vie. Elle veille à toujours en laisser la moitié à ses abeilles, pour préserver le fragile équilibre entre l’Homme et la nature.

Résumé : Dominique Loreau filme trois installations éphémères, végétales de l’artiste belge Bob Verschueren depuis leur processus de création « au gré du temps » jusqu’à leur disparition progressive. Elles sont réalisées dans trois lieux différents : l’entrepôt d’une usine désaffectée, une longue plage de la mer du Nord, le préau d’une école maternelle ; par l’alternance des séquences, elles paraissent entrelacées nous permettant alors de voyager sans cesse de l’une à l’autre. Le film débute par un plan d’herbes folles qui ont envahi un vieux bâtiment : on entend le cri aigu des mouettes, le bruit assourdissant d’une machine. Puis, la caméra suit le travail réfléchi, lent de Bob Verschueren ; elle en montre aussi la destruction irréversible par la main de l’homme ou par la force de la nature : les roseaux plantés circulairement dans le sable, peu à peu, subissent l’assaut répété des vagues de la marée montante ; les feuilles, inexorablement pourrissent avant que la pelleteuse n’en déblaye le terrain. Les drôles de trognons de pommes que l’artiste avait alignés dans le sens du dallage se recroquevillent. Parallèlement au « work in process » de Bob Verschueren, personnel et « décalé », la réalisatrice montre le monde extérieur, l’environnement quotidien si présent : les enfants qui croquent à pleines dents dans les pommes, le flux et le reflux de la mer grise, les baigneurs qui jouent sur la plage…Cadrées avec recherche, les images de « Au gré du temps » sont infiniment poétiques et sensuelles : les ébats d’une rouge coccinelle sur une feuille, un pétale de fleurs accroché à une toile d’araignée, la flaque d’eau reflétant le ciel, les traces de pas dans la boue ou le sable, les nuances colorées des végétaux sous la pluie. D. Loreau privilégie les plans fixes ; aucun commentaire ne les accompagne mais un travail sur le son très élaboré en souligne l’étrangeté. S’inspirant de la démarche de Bob Verschueren, Dominique Loreau exalte son art et en quelque sorte le dépasse. Plus qu'un documentaire sur le Land Art, elle réalise là un véritable essai cinématographique sur le temps. Des objets banals, elle en capte la beauté fugitive qui, par la magie du cinéma, devient éternelle. Son film procède d’un regard singulier sur l’univers : il devient lui-même œuvre d’art, rêverie contemplative, quête philosophique.

Résumé : Un portrait de l’auteur de bandes dessinées et caricaturiste, René Pétillon. Filmé dans sa maison, en Bretagne, celui-ci parle à bâtons rompus et avec un humour souriant de son itinéraire. Parfois, le réalisateur ou le caméraman interviennent par la parole ou le geste, soulignant ainsi le film en train de se faire. Ils « recadrent » leur interlocuteur devant la caméra. René Pétillon évoque son enfance dans une famille ultra catholique en montrant de vieilles photographies sépia, son amour des chats toujours présents et sa passion pour le dessin. Il a toujours dessiné car pour lui « la vocation de dessinateur naît d’une envie de fuir une réalité qui nous pèse… ». Bref, dessiner, c’est créer un imaginaire afin de s’y réfugier. René Pétillon entre d’abord au journal « Pilote » ; en 1974, il invente le fameux inspecteur Jack Palmer, son personnage fétiche. Peu à peu, il aborde le dessin de presse, par hasard, et sans perdre son style personnel, il devient caricaturiste au « Canard enchaîné » : l’ironie satirique lui convient. Comment travaille-t-il ? : il commence par chercher un sujet puis se documente en lisant de nombreux ouvrages sur celui-ci et il esquisse un dessin au crayon. Le dessinateur décline aussi ses préférences sur la bande dessinée : ainsi semble-t-il apprécier beaucoup Harvey Kurtzman mais non « Tintin ». L’Ouest, c’est le Finistère, la terre âpre, l’atmosphère particulière de la Bretagne. René Pétillon en aime les paysages : les rochers étranges sculptés par l’océan, les ciels nuageux et immenses, les rivages embrumés alternent dans ce film avec des images de jardin-jungle traversé par d’amusantes girafes et peuplé d’oiseaux exotiques. Quelques extraits de ses albums sont présentés. L’Ouest, c’est aussi l’influence américaine suggérée par la chanson « Rhum and coca-cola » des Andrew Sisters qui revient en leitmotiv. D'ailleurs, la bande-son travaillée complète avec bonheur l’image. Un documentaire permettant d’aborder l’œuvre d’un personnage sympathique et talentueux.

Résumé : Avec le développement des techniques biométriques, le corps humain devient notre pièce d'identité, un "corps d'identité". "Fenêtre sur corps" fait le point sur cette numérisation corporelle, de plus en plus sophistiquée, qui concerne l'être humain au plus profond de son intimité.

Résumé : Li Gujun fait partie d'une famille de pêcheurs sur le fleuve Yangsté mais avec la pollution engendrée par la contruction du barrage des Trois-Gorges il est devenu marin-éboueur nettoyant le fleuve de ses tonnes de déchets flottants à l'épuisette. Fidèle à la parole donnée à son père il nettoie sans relâche investissant son argent dans l'entreprise et peinant à trouver des travailleurs tant la tâche et les conditions de travail sont pénibles. Le film s'attache à nous montrer la vie quotidienne de ces marins verts du Yangsté qui mangent et dorment sur leur bâteau- poubelle tandis qu'apparaît toujours plus fortement la catastrophe écologique dûe à la polltion sans cesse augmentée du fleuve notamment au niveau de l'agglomération de Chongking.

Résumé : Cette biographie, réalisée en 1998, est un grand voyage des Ardennes à l'Éthiopie, une aventure picaresque, tragique et bouleversante. Une vie hors du commun et méconnue, celle du poète météore et celle de l'aventurier : l'enfance à Charleville, les études ponctuées par les fugues dans les Ardennes, à Paris, à Bruxelles, le poète génial et révolté au moment de la Commune, l'histoire d'amour interdite avec Verlaine, la fuite vers Londres et le drame de Bruxelles. Puis les années à parcourir l'Europe à pied, son travail de contremaître à Aden, les voyages en Abyssinie dans la région de Harar, la caravane d'armes qu'il dirigea à Djibouti et en Éthiopie, sa rencontre avec le Négus Ménélik, la société d'import-export qu'il fonda, son retour tragique en France où il fut amputé d'une jambe, puis la mort à Marseille, à l'âge de trente-sept ans. Textes lus par Denis Lavant

Résumé : Aden, Djibouti, Obock, Tadjourah, Lac Assal, Ankober, Entotto, Addis-Abeba, Awash, Dire Dawa, Harrar, voici aujourd'hui les principales étapes d'un voyage rare et lointain, hors des sentiers battus, sur les traces d'Arthur Rimbaud. À suivre les principaux itinéraires de "l'homme aux semelles de vent", nous découvrons avec fascination la réalité contemporaine de ces régions, et levons le voile sur la partie méconnue de l'existence de Rimbaud. De 1880 à 1891, le poète s'est converti au négoce et à l'exploration. Il est l'un des premiers occidentaux à parcourir cette région, dans des conditions souvent difficiles. C'est en Abyssinie, sur la côte des Somalis et au sud du Yémen qu'il passera le dernier tiers de sa vie. Textes lus par Lambert Wilson.

Résumé : Cinquante ans après le tournage de Chronique d’un été, le réalisateur péruvien Hernan Rivera Mejia revient sur cette expérience decinéma-vérité en interrogeant ses protagonistes : « dans un aller-retour permanent entre présent et passé, ces témoignages se confrontent mutuellement selon ce qu’ils évoquent, comme dans un jeu de miroirs ».

Résumé : À la périphérie de Bogota, Leonardo, Omar, Jaime, Estiven, Diego et tant d’autres sont toujours là, malgré leur assassinat par l’armée, il y a six ou sept ans. Ils viennent visiter leurs mères et veiller sur ceux qu’ils aiment.

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