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Résumé : L’émission de Jean Montalbetti « un homme, une ville » centrée sur Albert Camus à Alger permet de retrouver l’écrivain, sa mère et son enfance, son maître d’école, ses études, le théâtre, les lieux qui l’ont marqué à jamais, ses amis et compagnons de route. Pour cette évocation, Jean Montalbetti a fait appel à un ami d'Albert Camus qui a vécu, lui aussi, à Alger.

Résumé : Avec un humour féroce, Albert Cohen évoque les êtres essentiels de sa vie qui ont structuré son oeuvre et sa vision du monde.

Résumé : Le charme Blondin agit toujours, cette légèreté mâtinée d'insouciance, cet esprit analytique toujours embusqué derrière le styliste mélancolique, cet humour si décalé, ce sens de l'humeur. Un bretteur toujours prêt à en découdre mais dans la tenue et sans jamais s'abaisser.

Résumé : Créateur d'une langue originale et d'un univers foisonnant, Boris Vian était peu reconnu de son vivant. La postérité, fascinée par cet homme toujours jeune, en a fait une légende. Jazz, théâtre, prose, poésie, chansons, cinéma, opéra, peinture... Boris Vian a abordé presque tous les genres littéraires. Cet enregisgtrement nous emmène sur les traces radio de Boris Vian, de Saint-Germain-des-Prés au collège de Pataphysique, des clubs de jazz aux cafés fréquentés par des intellectuels engagés. Deux heures d'archives inédites, dans lesquelles Boris Vian nous convie avec Eddie Barclay, Henri Salvador, Jacques Prévert... La radio nous le restitue en pleine jeunesse et en musique

Résumé : "Chez Edgar Morin, l'oeuvre est ''inséparable de la vie''. Pour ce qui est de l'oeuvre, elle est considérable. Philosophe de renom international, il est surtout connu dans de nombreux pays, et grâce à La Méthode, comme ''le'' penseur de la complexité. Quant à la vie, celle d'Edgar Morin est un fabuleux roman à épisodes. Les années d'enfance dans l'immigration juive à Paris, la disparition brutale de sa mère, traumatisme majeur, suivi de l'exode familial dans le chaos européen d'où nait son engagement dans la Résistance, puis sa stalinisation et sa rupture ultérieure avec le parti communiste, jusqu'à son engagement singulier dans la guerre d'Algérie, son goût pour le cinéma et les idées neuves, sa propre remise en question, ses engagements pour l'écologie et la transmission des savoirs... Ce citoyen du monde a traversé le XXe siècle sans rien manquer...''

Résumé : "Le théâtre t'a emporté comme une vague vers le large, au pays du visible et de l'invisible. Ce n'est pas la faute à Rousseau, ni même à Voltaire, c'est la faute de Strindberg qui, au théâtre Montparnasse, t'a aspiré à l'âge de quatorze ans dans la déferlante de la Sonate des spectres." Marc Terzieff

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