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Résumé : Elu prix Nobel de l'art en 1992, l'italien Federico Zeri est reconnu comme l'un des plus grands historiens d'art actuels. Exerçant une carrière en marge de l'université et des coteries des musées, il s'est imposé par la sûreté de son analyse et l'intransigeance avec laquelle il n'a cessé de dénoncer scandales et affaires de faux dans le milieu de l'art.

Résumé : Présentation de dessins et croquis réalisés par M. Yourcenar en une sorte de journal graphique, rassemblant les textes, les personnes et les lieux qui l'ont influencée. Ces documents sont suivis d'un essai de S. Lonoff de Cuevas qui s'applique à en analyser les articulations.

Résumé : Correspondance à travers laquelle l'auteure et le critique littéraire s'entrelisent, se complimentent, se critiquent, évoquent leur quotidien et disent tout le bien (et le mal) qu'ils pensent de ceux qui les entourent. Publié à l'occasion d'une exposition organisée au Musée d'art et d'industrie André Diligent, à Roubaix.

Résumé : Ces articles, centrés sur les oeuvres de Mozart et de Wagner, mais également de Verdi, Puccini, Strauss, Debussy, Janacek et Tippett, s'intéressent à leurs exigences de composition musicale, à leur influence philosophique et à leur portée émotionnelle.

Résumé : La guillotine hante le XIXe siècle et biaise le rapport que la modernité entretient avec les images. Espace de représentation, l'échafaud est présent en littérature, peinture, photographie et cinéma, et commande nombre de textes et d'images.

Résumé : En à peine plus de quarante ans, entre 1818 et 1861, Lola Montès fait le tour du monde ; elle est tour à tour danseuse, hétaïre, fausse maîtresse, phénomène de foire, et dame patronnesse. Celle qui fut l'amante de Liszt et qui renversa sans ciller une monarchie fascinera Louise de Vilmorin.

Résumé : Fictions, poèmes, proses d'occasion, pages d'interviews inédits des années 30 aux années 60 dactylographiés, brochés et offerts par l'auteur à des amis pour le plaisir. Des croquis mordants de J'étais du mariage ou J'ai été séduite, au réalisme sombre de Ce soir ou de Démone, à l'hilarant L'argent me ruine, ils reflètent toute la fantaisie d'une "conversationniste" remarquable.

Résumé : Fin 1950, début 1951, l'auteur fut invitée chez Paul-Louis Weiller. Avec des amis elle forme le cercle des Espèrons (pauvres et inquiets, ils ne cessent de dire ce mot et choisissent donc de le porter), tient une chronique autobiographique. Inédite, celle-ci reflète l'humour, la justesse de trait, l'écriture poétique et romanesque d'une virtuose du coq-à-l'âne métaphysique et du jeu de mots.

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