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Résumé : Analyse de la théorie politique de Constant, dont l'oeuvre s'étend de 1789 à 1830. De sa rencontre avec Germaine Staël entre 1794 et 1810 période où il élabore son libéralisme politique.

Résumé : B. Constant, sous la forme commentée de "La science de la législation" de Filangieri, économiste et jurisconsulte italien du XVIIIe siècle, procède à l'exposé de ses thèses en matière de philosophie politique. Aborde différents thèmes, comme l'économie, la justice sociale, l'esclavage, l'éducation ou la religion.

Résumé : Présente la pensée de Benjamin Constant. L'ouvrage interroge et clarifie la façon dont il a surmonté l'obstacle entre théorie et pratique politiques, entre raison et histoire. La question des principes, de leur relation à l'histoire se présente comme un accès privilégié à une pensée dont les ressources sont toujours actuelles.

Résumé : Oeuvre maîtresse de Benjamin Constant et du libéralisme politique, rédigé en 1806, ce texte se propose de repenser les fondements de la vie en société à la lumière de la Révolution française. Il y définit les conditions de base d'une démocratie libérale - souveraineté du peuple et liberté de lindividu - et explore les modalités de leur articulation.

Résumé : Etude de l'attitude de Benjamin Constant à l'égard des Anciens. Les Grecs et les Romains restaient à ses yeux les seuls peuples pour lesquels le mot de liberté avait eu un sens avant les temps modernes. L'auteur présente une réflexion sur l'hérédité et la construction de l'identité et des racines, à travers les écrits de B. Constant : "De la religion", "Discours", etc.

Résumé : Etude de la démarche introspective de Benjamin Constant qui le mène à se soucier avant tout de ne pas blesser les autres dans l'exercice du pouvoir politique.

Résumé : Dans ce discours prononcé en 1819, B. Constant distingue deux visions de la liberté : pour les Anciens, elle consiste en une participation à la vie de la cité, tandis que, pour les Modernes, il s'agit plutôt de défendre la vie privée. Cette idée, toujours d'actualité, pose la question de l'implication dans le pouvoir collectif, qui tend à être négligée au profit des soucis personnels. ©Electre 2016

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