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Résumé : Femme, d'origine algérienne, née dans le 93 : Zahia Ziouani n'avait pas vraiment les meilleurs atouts pour devenir musicienne. Et plus encore chef d'orchestre ! Après avoir créé sa formation musicale, Divertimento, qui rassemble 20 nationalités de musiciens, surtout originaires de Seine-Saint-Denis, elle mène une double carrière : des master-classes au service des meilleurs élèves des écoles municipales de musique de son département, et une carrière en solo, comme chef invitée de l'Orchestre national d'Algérie ou au sein d'orchestres européens, à l'affiche des meilleurs festivals français... Son destin est une belle réponse à une société française qui impose souvent un plafond de verre à cause des origines sociale, culturelle et géographique. Au fil d'un agenda dense, nous l'avons suivie sur une longue saison. Tous ceux qui l'ont côtoyée depuis vingt ans lui reconnaissent son charisme de chef d'orchestre, son talent de pédagogue obnubilée par la transmission et l'esprit de partage, mais la voient aussi comme une visionnaire de la politique nécessaire pour lutter contre la fracture culturelle en France. Un portrait fort, sans complaisance, à l'image de son énergie sans faille.

Contenu : Nombreuses informations sur les musiques afro- caribéennes, artistes, pays, styles et instruments

Résumé : Panorama du jazz depuis son invention par les esclaves africains jusqu'aux années 80. On y découvre des archives des plus grands artistes tels que Louis Amstrong, Duke Ellington, Billie Holliday, Thelonius Monk, Dizzy Gillespie, Miles Davis ou John Coltrane.

Résumé : Au cours d'une tournée en Amérique du Nord en 1982, le documentariste Marti DeBergi (Rob Reiner), décide de réaliser un journal de bord de la tournée de Spinal Tap, légendaire formation britannique . Mais il trouve un groupe déchu, à la dérive, dont les jours de gloires sont passés. Arrivé à l'âge des tournées improbalbes et des annulations de concert en cascade, il persiste à faire la promotion d'un nouvel album, "Smell The Glove", dont seule la pochette sexiste à souhait fait parler d'elle.Sous la forme d'un vrai documentaire dédié à un faux groupe, le film s'attaque à la prétention, l'insignifiance et au ridicule consommé de cette période pompeuse de l'histoire du rock. Mais derrière le commentaire sur la nature infantile de cet univers se cache un hommage au vrai rock ainsi qu'une suite de références bien aiguisées aux nombreux exemples de démesure absurde qui en parsèment l'histoire.

Résumé : Des « work songs », ces chants de travail accordés à l'esclave parce qu'ils donnaient du coeur à l'ouvrage, aux raps d'insulte envers la société blanche, qui se rallient pourtant à son idéal de consommation. Le film retrace près de deux siècles de l'histoire des noirs américains et de leur incroyable inventivité musicale : negro spiritual, blues, jazz, swing, rhythm'n blues, be-bop, funk, soul, hip-hop... Grâce à de nombreuses archives, il analyse la force, plus ou moins subversive selon les époques, de cette musique. « Si on écoute bien la musique afro-américaine, dit Vecchione, on entend l'Amérique tout entière qui se parle, se rejette ou se tend la main... »

Résumé : Ce film retrace une la genèse du jazz à Paris, au lendemain de la Grande Guerre, autour des musiciens noirs américains, soldats engagés dans le conflit et restés en Europe. Dans la "Ville lumière", leur art s'épanouit librement, à l'abri de la ségrégation raciale qui sévit dans leur pays. Pendant les deux décennies suivantes, ils créent une communauté musicale d'expatriés à Montmartre. Certains, comme Josephine Baker et Sidney Bechet, y ont accédé à la célébrité, d'autres ont été oubliés, mais tous ont contribué à cette fascinante épopée du jazz, entre l'Amérique et la France. Inspiré du livre de l'historien William A. Shack, le film retrace leur histoire grâce à des documents d'archives et aux témoignages de spécialistes. Les figures de James Reese Europe, Ada Bricktop Smith, Eugene Bullard, Django Reinhardt... revivent aussi au travers des jam sessions où les jazzmen d'aujourd'hui, français et américains, leur rendent hommage.

Résumé : En 1969 Manfred Eicher fondait ECM Records (pour Edition of Contemporary Music). Manfred Eicher a imprimé sa marque en effectuant un véritable travail de recherche d'un son nouveau, toujours au service de la créativité des musiciens. Les enregistrements d’artistes comme Keith Jarrett, Jan Garbarek, Chick Corea, Paul Bley, Pat Metheny, Don Cherry ou l’Art ensemble of Chicago – entre autres - sont aujourd’hui considérés comme des classiques. Cependant, Manfred Eicher ne se laisse pas enfermer dans un genre et développe sa ligne éditoriale dans toutes sortes de directions : les musiques écrites contemporaines avec Arvo Pärt, le Hilliard ensemble, Gidon Kremer, la musique répétitive (Steve Reich), musique de film (Eleni Karaindrou), ou musiques actuelles puisant aux sources des traditions du monde entier (Zakir Hussain, Anouar Brahem, Gianluigi Trovesi).

Résumé : A la fin des années 80, la réalisatrice a suivi et filmé des groupes punks en Hongrie, à Budapest. Vingt ans plus tard, elle part à leur rencontre. Les images du passé et du présent se mêlent : dans les scènes de concerts de jeunes punks de vingt ans arboraient l'iroquoise, les cheveux teints, les ongles et lèvres noirs pour les filles. Ils criaent leur révolte contre le système communiste dans leur musique. Puis soudain, le présent revient, les jeunes d'autrefois ont la quarantaine, ils regardent ce qu'ils étaient, la machine à souvenir est lancée. Chacun d'entre eux tente d'analyser ce que la musique et le mouvement punk lui ont permis de vivre dans ces années mais analyse et compare aussi avec le quotidien d'aujourd'hui.

Résumé : "La réalisatrice Jacqueline Caux nous invite ici à un voyage initiatique qui remonte aux sources de la musique noire américaine et dresse un portrait humaniste de la ville de Detroit. Traversant, aux côté de Carl Craig, la ville de part en part au son de la musique d’Underground Resistance et de Juan Atkins, elle visite studios, clubs, églises, ateliers, immeubles abandonnés et terrains en friche, tout en évoquant ses racines blues et gospel, les événements sociaux et politiques qui ont marqué son histoire, sans oublier la grande époque du label Motown et bien sûr la naissance de la techno moderne.Une visite guidée par la voix de deux légendes de la ville, celle de Mad Mike, fondateur d’UR qui, fidèle à sa légende, apparaît en ombre chinoise. Et puis surtout celle du charismatique Charles Johnson, mieux connu sous le nom de The Electrifying Mojo, un animateur radio des années 1970 et 80 qui a initié tous les futurs pionniers techno de Detroit, à la musique électronique." texte J. Y. Leloup et J. Ghosn

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