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Contenu : Blog sur les activités du programme Afrique subsaharienne présentant l'actualité de cette zone géographique.

Résumé : A propos de son film tourné en 2005 au Maroc et dans des banlieues françaises, dans l'accompagnement d'une caravane de femmes Marocaines informant et sensibilisant les populations, particulièrement les femmes maghrébines , à propos de l'injustice et de l'obscurantisme dont elles sont encore , et parfois plus que jamais , victimes , de la part de leur entourage bafouant leurs droits élémentaires d'êtres humains, le réalisateur J.P. Thorn écrit ceci : "Filmer la beauté des femmes, leur courage, leur intelligence...plutôt que toujours la haine, le "sang à la une" du terrorisme, dans lesquels se complaisent trop souvent des médias qui n'aboutissent qu'à stigmatiser le monde arabe et paralyser d'effroi nos démocraties. Le cinéma du côté des planteuses d'arbres, plutôt que de celui des incendiaires ou des pompiers (aussi héroïques soient-ils!). Oui, il existe dans le monde musulman (jusqu'ici, dans nos banlieues) un formidable mouvement des femmes pour la liberté et l'égalité. C'est un espoir pour l'humanité ! "J.P.Thorn signe un film de résistance de la vie contre le racisme de genre.

Résumé : Portrait, de l'intérieur, de cinq jeunes garçons qui ont quitté à 7, 12 ou 16 ans leur environnement familial ou scolaire maltraitants et qui vivent désormais par eux-mêmes dans la rue. Le film les suit sur la route qui les mène de leur village à Ouagadougou, la capitale du Burkina-Faso, à la recherche d'une vie meilleure.

Résumé : Le film est tourné dans la banlieue de Dakar, à Thiaroye-sur-mer, village de pêcheurs d’où part l’émigration clandestine vers les Canaries. Le film s’ouvre sur la construction d’une pirogue, que l’on suivra pendant tout le film, de la coupe de l’arbre jusqu’à la mise à l’eau, symbole d’un combat et d’un peuple : celui de pêcheurs que la concurrence des chalutiers européens, japonais ou chinois, prive de leur gagne-pain et pousse à s’engager sur la voie périlleuse de l’émigration. Deux récits courent en parallèle : celui d’un professeur revenu des Etats-Unis pour fonder une école et enseigner l’anglais, convaincu qu’il faut tout faire pour rester au pays, mais bien seul dans son combat, et celui d’un émigrant revenu après un périple de douze jours en mer où il a failli périr mais qui s’apprête à repartir. Ce dernier écrit et lit un e-mail où il relate l’horreur de son voyage, texte qui ressemble à une lettre d’adieu. Le film est dédié à la mémoire des 3 000 jeunes gens «disparus en tentant de réaliser leur rêve» entre janvier et octobre 2006.

Contenu : Site en anglais, français et portugais.

Résumé : Si le voyage au long cours,auquel le film convie le spectateur, de l'embouchure à la source d'un des plus grands bassins fluviaux du monde, celui du fleuve Congo, donne matière à l'évocation de Stanley et Livingstone, Léopold II, Lumumba et Mobutu, il témoigne surtout de la difficile vie actuelle en République démocratique du Congo, dramatiquement touchée par les guerres civiles et extérieures.

Contenu : Texte intégral en français au format pdf sur IRUA - Institutional Repository van de Universiteit Antwerpen depuis 2015.

Résumé : Ce film est un voyage qui nous emmène du village dogon(Mali) à la grande ville, du sombre indigo accroché aux murs de banco à l'éclat des tissus multicolores pavoisant les rues de Bamako. Il trace en pointillés les similitudes et les différences entre ces femmes artisanes yéli, jam etc.., tant dans l'exercice de leur art qu'au niveau économique et social. Si leur savoir-faire est remarquable, il n'en demeure pas moins que toutes relèvent le même défi : assurer une vie digne à leurs enfants, en essayant, à chaque fois, de soulever le poids, paralysant, des traditions patriarcales.

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