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  •    Sujet : Algérie -- 1954-1962 (Guerre d'Algérie)
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Résumé : Dix témoignages ont été enregistrés par Pierre Guérin et ses collaborateurs du Mouvement pédagogique Freinet sur ce qui a été longtemps appelé les “Evénements”, puis “La Guerre Sans Nom”, impossible à dénommer et à en matérialiser la réalité dans l’esprit et la conscience de ceux qui ont été touchés et sont encore affectés de près ou de loin par la guerre d’Algérie. L’objet de ces témoignages n’est pas de rechercher les responsabilités, mais plutôt de poursuivre cette opération d’abolition du silence qui a débuté il y a quelques années maintenant, afin de briser les frontières entre les anciens partisans d’une époque révolue.

Résumé : A l'aide d'élément sonores de l'époque recueillis de part et d'autre de la Méditerranée, la guerre d'Algérie est racontée par ceux qui l'ont faite. Diffusé en 1987 à l’occasion du 25e anniversaire du Cessez-le-feu, ce document revient sur le « drame algérien » en s’appuyant sur le récit personnel des grands acteurs du conflit. Composé à la fois d’entretiens inédits mais aussi de documents d’archives sonores de l’époque, c’est une véritable immersion dans cette guerre sans merci entre les tenants de l’Algérie Française et le Front de Libération Nationale, que personne ne connaît quand éclate la « Toussaint rouge », le 1er novembre 1954. Les émissions suivent un fil chronologique. Les grands faits de guerre sont ainsi analysés, de l’insurrection de la « Toussaint rouge » à l’indépendance en passant par la « Bataille d’Alger » en 1957. Patrice Gélinet réussit à mettre en perspective les raisons de la défiance de l’Etat-Major de l’armée et des Français d’Algérie envers le gouvernement de métropole, du coup de force du 13 mai 1958 en passant par les « journées des barricades » (1960), du « putsch des Généraux » (1961) ou de la terreur provoquée par les attentats de l’OAS. Il permet de découvrir les coulisses des tractations qui impliquent aussi bien les différentes tendances au sein des autorités françaises que celles qui concernent les négociations avec les responsables du FLN puis du GPRA.

Résumé : Pendant vingt ans, Ariane Laroux, artiste plasticienne, a rencontré l'ethnologue et résistante Germaine Tillion, au cours de trente déjeuners suivis de longues conversations au cours desquelles elle faisait son portrait. L'occasion pour Germaine Tillion d'évoquer sa vie, celle d'une femme qui a traversé avec courage, lucidité et générosité tout le XX ème siècle. Jeune femme arpentant seule le Sud algérien dans les années 30, elle cherche avec empathie à comprendre et à aider ceux qui l'entourent. Elle a été arrêtée et déportée à Ravensbrück alors qu'elle dirigeait le réseau de résistance du Musée de l'Homme depuis 1940. Pour aider à survivre, elle y écrit, cachée dans une caisse, une opérette que chantent les résistantes. Puis elle participe dès 1954 à l'enquête internationale de David Rousset contre les goulags, lutte en Algérie contre la torture, crée l'instruction dans les prisons et se fait l'avocate de l'émancipation des femmes du Sud de la Méditerrannée. Ces conversations ont été adaptées et interprétées au théâtre par Marie-Christine Barrault qui prête, ici, sa belle voix grave à Germaine Tillion qu'elle rend à la vie dans toute sa sagesse, sa force, la légèreté de son humour.

Contenu : Site de Guy Pervillé, professeur d'histoire contemporaine à l'Université de Toulouse - Le Mirail (France), spécialiste de la colonisation et de la décolonisation de l'empire colonial français, et en particulier celles de l'Algérie. Vous trouverez sur son site la bibliographie complète et mise à jour de ses travaux de recherche et de ses publications.

Résumé : Les six documentaires réalisés d'après l'oeuvre de Jean Lacouture retracent l'itinéraire politique du Général De Gaulle depuis la Seconde Guerre mondiale jusqu'en 1969 quand il perd le référendum.

Résumé : "De 1954 à 1962, pendant toute la guerre d'Algérie, des Français ont aidé concrètement le FLN en France : hébergement, transport, faux-papiers, passages de frontières, transports de fonds. En pleine guerre coloniale, ils incarnaient modestement l'idée d'un pont entre les deux peuples, algériens et français, et rendaient concrète et quotidienne leur solidarité." (Richard Copans) Trente ans après, quatre membres du "réseau Jeanson" - Francis Jeanson, l'abbé Davezies, Jean-Louis Hurst et Hélène Cuenat - expliquent leurs motivations et témoignent de leur engagement.

Résumé : Entre 1954 et 1962, près de trois millions de jeunes Français furent appelés en Algérie à faire une guerre qui ne voulait pas dire son nom. Constitué par les témoignages nombreux et variés de ces anciens appelés, le film évoque leur vécu au quotidien. Au fil de la caméra, leurs témoignages deviennent une véritable introspection et montrent combien il est difficile de juger un évènement dans le feu de l'action, sans recul. Il ne s'agit donc ni d'une histoire de la guerre d'Algérie ni d'une analyse politique mais d'une chronique (côté français) soulignant l'extrême complexité de la situation.

Résumé : Histoire de la guerre d'Algérie depuis le début des hostilités en 1954 jusqu'au référendum d'autodétermination du 1er juillet 1962. Après avoir écrit un livre sur ce conflit, Yves courrière réalise vers 1970 un film de montage à partir de nombreux documents d'archives et de bandes d'actualités.

Résumé : "Le 9 janvier 1959, Pierre Lazareff, patron de France Soir, lance le tout premier magazine d'information télévisé, "Cinq colonnes à la une", sur l'unique chaîne de la RTF. A ses côtés, Pierre Desgraupes, Pierre Dumayet et Igor Barrère, deux journalistes de radio et de télévision et un réalisateur. "Cinq colonnes à la une" sera diffusé le premier vendredi de chaque mois, pendant 103 numéros, jusqu'à son arrêt en 1968."En mars 1961, Pierre Lazareff, analyse, pour les lecteurs des Cahiers du cinéma, l'esprit de l'émission : "Notre travail est un travail d'équipe.Je suis producteur de l'émission, au même titre que Pierre Desgraupes, Pierre Dumayet et Igor Barrère et nous nous entendons parfaitement. Notre méthode de travail s'apparente au grand journalisme. Nous choisissons un sujet et nous en confions la réalisation à un journaliste et un réalisateur. Ceux-ci effectuent leur travail, et ensuite nous y travaillons tous ensemble."

Résumé : Un voyage à travers l'Algérie de Skikda à Oran évoquant la colonisation française, les dernières années de la guerre, l'Indépendance en 1962 et le départ d'un million de personnes, arrière-petits enfants d'immigrés français, espagnols, italiens, juifs indigènes ou venus d' Espagne. A travers quatre rencontres avec des Algériens en quête de vérité sur leur propre vie, le réalisateur montre, entre haines et fraternité, les contradictions d'un peuple et d'une époque. "Chaque pays a ses histoires sombres. L'Algérie aussi".

Résumé : Entrepris clandestinement dès la fin du mois d'Octobre 1961, tourné jusqu'en mars 1962, et mêlant photographies d'Elie Kagan, plans des bidonvilles de Nanterre, du centre de torture de la rue de la Goutte d'or et reconstitution, par les survivants eux-mêmes, de scènes de préparation, le film retrace la préparation et le déroulement de la manifestation à Paris, le 17 ocobre 1961, organisée par la fédération de France du FLN, pour protester, pacifiquement, contre le couvre-feu auquel, depuis le 5 octobre, étaient soumis les Algériens de France. Cette manifestation vit se déchaîner, pour la réprimer, l'extrême violence de la police, alors sous les ordres du Préfet Maurice Papon. Le film n'obtint son visa d'exploitation qu'en 1973.

Résumé : Rescapés de la guerre d'Algérie et réfugiés dans des camps tunisiens, des enfants témoignent,en 1961, à partir de dessins qu'ils ont eux-mêmes réalisés, des événements tragiques qu'ils ont vécu.

Résumé : Le film "René Vaitier l'indomptable" est le portrait du cinéaste le plus censuré de France dans une mise en scène particulièrement ironique. « Des maquis des indépendantistes algériens jusqu’à la création du Centre Audiovisuel d’Alger et des ciné-pops, l’Algérie a marqué à jamais la vie d’homme et de cinéaste de René Vautier qui est affectueusement considéré comme le "papa" du cinéma algérien. » Il est décédé en janvier 2015.Un coffret , édité en 2014, rassemble désormais 15 films (fictions et documentaires) dont l’un des plus puissants réalisés sur la guerre d’Algérie "Avoir 20 ans dans les Aurès".

Résumé : « Des maquis des indépendantistes algériens jusqu’à la création du Centre Audiovisuel d’Alger et des ciné-pops, l’Algérie a marqué à jamais la vie d’homme et de cinéaste de René Vautier qui est affectueusement considéré comme le "papa" du cinéma algérien. » Il est décédé en janvier 2015.Un coffret de édité en 2014, rassemble désormais 15 films (fictions et documentaires). Le film "Déjà le sang de mai ensemençait novembre" parcourt l'Histoire, depuis la conquête de l'Algérie à Sidi Ferruch jusqu'aux massacres du 8 mai 1945 en donnant la parole à des personnalités françaises ou algériennes.

Résumé : « Des maquis des indépendantistes algériens jusqu’à la création du Centre Audiovisuel d’Alger et des ciné-pops, l’Algérie a marqué à jamais la vie d’homme et de cinéaste de René Vautier qui est affectueusement considéré comme le "papa" du cinéma algérien. » Il est décédé en janvier 2015 .Un coffret édité en 2014, rassemble désormais 15 films (fictions et documentaires) ". Le film "A propos de... L'autre détail" est réalisé à partir de témoignages d'Algériens et de Français à propos de la torture en Algérie et du passé militaire de Jean-Marie Le Pen pendant la guerre d'Algérie.

Résumé : « Des maquis des indépendantistes algériens jusqu’à la création du Centre Audiovisuel d’Alger et des ciné-pops, l’Algérie a marqué à jamais la vie d’homme et de cinéaste de René Vautier qui est affectueusement considéré comme le "papa" du cinéma algérien. » Il est décédé en janvier 2015.Un coffret , édité en 2014, rassemble désormais 15 films (fictions et documentaires). Le film "Peuple en marche" est réalisé par René Vautier et de jeunes cinéastes algériens. Ils braquent leurs caméras sur le passé, le présent et aussi l'avenir qu'ils rêvent pour l'Algérie..

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