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Résumé : "C'est en parlant des autres peintres que je parle le mieux de ma propre peinture" dit Miquel Barcelo lors de l'une de ses visites au Musée du Louvre. Devant les toiles de ses peintres préférés (Le Caravage, Chardin, Goya...), il communique sa passion de la peinture et parvient à faire revivre les oeuvres du passé. En parallèle, sont filmées les toiles de Barcelo inspirées par ces peintres classiques. Pierre Soulages donne une leçon de peinture en nous livrant ses réflexions sur un tableau qui le touche profondément : "La Vierge en majesté" de Cimabue. Quant à Anselm Kiefer, le Louvre lui a confié la réalisation d'une oeuvre monumentale qui ornera l'escalier du département des Antiquités égyptiennes. L'artiste est filmé chez lui, à Barjac et au Louvre avec la pose du tableau. Trois artistes, trois regards sur la peinture.

Contenu : Exposition de sculpture contemporaine qui a lieu tous les 10 ans à Münster. Site en allemand et anglais.

Résumé : Performance scénique créée au festival d'Avignon 2006 par le chorégraphe Josef Nadj et le plasticien Miquel Barcelo.

Contenu : Bibliothèque spécialisée en art contemporain.

Résumé : "Léon-Paul Fargue, le piéton de Paris" : "Pourquoi, à travers l'image, tenter de reconstituer la longue journée du "Piéton de Paris" ? Tout simplement parce que j'aime son écriture, son élégance, sa drôlerie poivrée, sa nonchalance qui confine à la paresse, sa tendresse pudique de vieux célibataire. Au-delà des feux de son esprit, de son humour si parisien, de ses cocasseries, de ses jeux de mots à nuls autres pareils, Léon-Paul Fargue reste le poète de la solitude, face à un monde dont il pressent, avec plus d'intuition et de finesse encore qu'un Paul Valéry, la désagrégation prochaine." "Le Groupe des six" : Montparnasse, ce fut aussi, et trop souvent on l'oublie, la musique avec les concerts du Groupe des six, rue Huyghens, "Le Groupe des six" (Louis Durey, Georges Auric, Arthur Honegger, Germaine Tailleferre, Francis Poulenc Darius Milhaud) un groupement plus amical qu'esthétique", comme le dit Georges Auric. "Giacometti, un homme parmi les hommes" : Giacometti, le dernier des "Montparnos", un artiste solitaire, sauvage presque, dont l'insatiable et épuisante recherche est douloureusement analysée par lui-même au cours de ces longs entretiens enregistrés dans son atelier de la rue Hyppolite Maindron, puis au Kunsthaus de Zurich, à l'occasion de sa grande rétrospective de 1963.

Résumé : "A la recherche de Chaïm Soutine" : Portrait de l'un des grands peintres "Montparno" venu de sa lointaine Lituanie. Lors de l'exposition Soutine qui s'est tenue en 1989 au musée des Beaux-Arts de Chartres, durant plusieurs jours, avec la complicité de son opérateur Michel Lecoq, Jean-Marie Drot a pu "grâce à des lumières rasantes, tenter de saisir la pleine pâte des peintures de Soutine. A quelques pas de la cathédrale, ces tableaux suggéraient à chaque visiteur un voyage vers La Ruche, vers ces ateliers alors si misérables du Montparnasse où s'est jouée et gagnée une des plus fiévreuses batailles de l'art aujourd'hui". "La rue de la Gaîté" : Plusieurs générations d'amateurs ont fréquenté ce haut lieu du music-hall. S'y dont produites les plus grandes figures de la chanson française.

Résumé : "Des valses 1900 aux canons de la Grande Guerre" : Un grand coup de tonnerre arrive sur Montparnasse : la révolution cubiste menée tambour battant par Picasso et Braque évoquée par le marchand et critique d'art D.H. Kahnweiler. "A la recherche de Guillaume Apollinaire" : Un portrait insolite du poète Guillaume Apollinaire, ami de Picasso, Derain, Vlaminck, du Douanier Rousseau, blessé à la tête en 1916 par un éclat d'obus et mort à la veille de l'armistice du 11 novembre.

Résumé : "La Fureur de vivre des années vingt" : Après l'hécatombe de la guerre 14-18, le besoin d'oublier et de vivre follement libère les hommes et plus encore les femmes. Plus que jamais les cafés sont le centre névralgique de la vie nocturne des Montparnos : Le Sélect, Le Döme, La Rotonde. Et toujours La Closerie des Lilas. "Pacsin, l'oublié" : Peintre et grand dessinateur, né en Bulgarie, Pacsin arrive à Paris en 1905. Sa vie errante, ses façons de prince, sa folle générosité, la voluptueuse tristesse de ses "filles", font de lui un des personnages les plus singuliers, le plus attachant peut-être du Montparnasse des années 30. Le peintre Papazoff, son ami, nous raconte les circonstances de son suicide. "La Voix des poètes" : Tout au long du XXème siècle, les poètes ont été les "sentinelles" de Montparnasse. Ils en ont été la voix profonde et secrète. Ils ont su dire les souffrances, les désirs et les peines des hommes de ce temps-là. Grâce à ce voyage dans le temps, nous réécoutons les textes de Paul Fort, Max Jacob, Pierre Reverdy, Apollinaire, Robert Desnos et Antonin Artaud.

Résumé : "Enquête sur la vie, l'œuvre et le destin de Modigliani" : Ce film est construit comme une véritable enquête "à la recherche de Modigliani", peintre italien qui de son vivant a suscité fables, mensonges et mythologie. Pour rétablir une certaine vérité, les témoins comparaissent devant la caméra, se contredisant souvent les uns les autres. Seules, les toiles de Modigliani ne trompent pas... "La Bande à Man Ray" : Photographe, peintre, inventeur d'objets bizarres, ce Montparno d'origine américaine, ami des surréalistes, nous raconte avec humour ses plus piquantes aventures à Paris et à Los Angeles.

Résumé : "Ils s'en venaient de l'Oural et du Mississipi" : Arrivée et installation autour du carrefour Vavin, en ce début du XXème siècle, des artistes qui "s'en venaient de l'Oural et du Mississipi" (André Salmon). Leur première journée parisienne à la recherche d'un atelier, les rencontres puis le choc visuel devant la première rétrospective Gauguin, en 1906, et l'année suivante, à l'occasion de l'hommage rendu par le Salon d'Automne à Cézanne. "Petite chronique de Montparnasse pendant la guerre 14-18" : La guerre de 14-18 va tout bouleverser. Cendrars, Léger, Derain, Braque, Zadkine, Apollinaire et tant d'autres sont au front. Jean Cocteau fait la navette entre le front et le Dôme. Silvia Beach raconte comment, tandis que les obus éclatent sur Paris, l'art moderne franchit l'océan et conquiert New York grâce à l'exposition "l'Armory Show" qu'évoquent Gabrielle Buffet-Picabia et Marcel Duchamp. Ensuite se produit l'arrivée massive des Américains à Paris, qui pour quelques-uns resteront jusqu'au Krach financier de 1929.

Résumé : Huit courts métrages de plasticiens qui, à partir de leur propre discipline, explorent le domaine de l'image en mouvement, le cinéma ; celui-ci se ramifie dans tous les champs des arts plastiques : défilement circulaire ou linéaire d'un plan, déconstruction d'un récit, texture de la couleur. Le cinéma imprègne tout l'art moderne et contemporain.

Résumé : Une heure de promenade auditive en compagnie de Nathalie Richard pour changer son regard sur l'art contemporain à partir de texte d'Anne Cauquelin.

Contenu : Cette exposition, proposée par le Mémorial de Caen, montre comment la Grande Guerre fut représentée par les peintres qui y ont participé des deux côtés du front.

Résumé : Un double portrait sur les vies et le travail d'Ilya et Emilia Kabakov, artistes russes les plus reconnus au plan international, aujourd'hui citoyens américains. Deux décennies après sa fuite d'Union soviétique, Ilya Kabakov surmonte ses peurs et met en place six installations "transversantes" dans des lieux comme le Pushkin Museum à Moscou, là même où il lui était jadis interdit d'exposer son art. Plongé dans la cacophonie d'une ville et d'un pays en pleine transition, il doit faire face aux souvenirs qui ont fait de lui qui il est.

Résumé : Historique du mouvement Gutaï, l'une des écoles artistiques japonaises les plus audacieuses, fondée en 1954 par Yoshihara Jiro, à la fois peintre et chef d'entreprise. "Gutaï" signifie "être concret". Jiro déclare : "j'ai été le maître qui n'enseigne rien...". Influencé par la veine surréaliste, Mondrian mais aussi par la calligraphie traditionnelle, il explore les matériaux, utilise les corps, les gestes, les espaces ouverts, détourne les objets quotidiens de leur contexte, réalise des performances. Le groupe disparaîtra, en 1971, à la mort du maître.

Résumé : Vingt ans après avoir réalisé un premier film sur François Bourgeon, l’un des auteurs majeurs de la bande dessinée française, le réalisateur, Christian Lejalé lui consacre un nouveau documentaire, plus riche, un portrait passionnant…L’artiste vit en Bretagne, en accord avec la nature environnante ; au cours de leurs rencontres, il parle de sa façon de travailler, des ses sources d’inspiration ; il raconte comment il crée et anime ses personnages. Les rapports que le dessinateur noue avec eux se rapprochent étroitement de la création littéraire : ainsi, son imaginaire les projette-t-ils dans le réel ou inversement se nourrit de celui-ci.La première partie est située en 1985. François Bourgeon est à la fois scénariste et dessinateur. "Les Passagers du vent", sa première série, signée en solitaire allie un graphisme remarquable à un récit à la fois populaire et très documenté avec de multiples références historiques. « Je n’ai pas envie de faire un beau dessin mais que le dessin raconte » dit-il. Il veut rendre l’Histoire attrayante et préfère les personnages féminins : il invente donc celui de la belle Isa, héroïne de cet album, aux aventures maritimes et rocambolesques se déroulant au dix-huitième siècle. D’un coup de crayon, François Bourgeon ébauche un mouvement, esquisse une scène ; avec les couleurs, il recrée une atmosphère. Le film fait alterner des images poétiques de ciels bretons tourmentés, de vagues océanes, de plages infinies avec des planches d’album. Dans la deuxième partie, vingt ans plus tard, nous retrouvons l’artiste au travail, dans son atelier, avec les cheveux gris…Il retrace son parcours professionnel, aborde avec une plus grande précision la gestation des "Passagers du vent". Il lit des centaines d’ouvrages, se documente au Musée de la Marine, fabrique une maquette de bateau, prend des photographies. Il est minutieux dans le moindre détail. Aimant le Moyen-âge, monde d’images, il fera une série sur la Guerre de Cent ans. Avec "Le Cycle de Cyann" réalisé en collaboration avec Claude Lacroix, F. Bourgeon crée un univers totalement fictif. Singulier, le dessinateur a élaboré une œuvre puissante et originale. En outre, l’écriture du film s’accorde parfaitement avec l’art et l’imaginaire de Christian Bourgeon.

Résumé : 11 photographes commentent leurs planches-contact. Un moment fort d'intimité avec les artistes et la création.

Résumé : 11 photographes commentent leurs planches-contact. Un moment fort d'intimité avec les artistes et la création.

Contenu : Site du Centre de documentation et de recherche du Musée national d'art moderne-Centre de Création Industrielle, Centre Pompidou à Paris.

Résumé : Ecrivain, peintre et prostituée, Grisélidis Réal a voulu faire de sa vie une oeuvre d'art, refusant de se soumettre aux nomes sociales et morales de son milieu et de son époque.

Résumé : Dominique Loreau filme trois installations éphémères, végétales de l’artiste belge Bob Verschueren depuis leur processus de création « au gré du temps » jusqu’à leur disparition progressive. Elles sont réalisées dans trois lieux différents : l’entrepôt d’une usine désaffectée, une longue plage de la mer du Nord, le préau d’une école maternelle ; par l’alternance des séquences, elles paraissent entrelacées nous permettant alors de voyager sans cesse de l’une à l’autre. Le film débute par un plan d’herbes folles qui ont envahi un vieux bâtiment : on entend le cri aigu des mouettes, le bruit assourdissant d’une machine. Puis, la caméra suit le travail réfléchi, lent de Bob Verschueren ; elle en montre aussi la destruction irréversible par la main de l’homme ou par la force de la nature : les roseaux plantés circulairement dans le sable, peu à peu, subissent l’assaut répété des vagues de la marée montante ; les feuilles, inexorablement pourrissent avant que la pelleteuse n’en déblaye le terrain. Les drôles de trognons de pommes que l’artiste avait alignés dans le sens du dallage se recroquevillent. Parallèlement au « work in process » de Bob Verschueren, personnel et « décalé », la réalisatrice montre le monde extérieur, l’environnement quotidien si présent : les enfants qui croquent à pleines dents dans les pommes, le flux et le reflux de la mer grise, les baigneurs qui jouent sur la plage…Cadrées avec recherche, les images de « Au gré du temps » sont infiniment poétiques et sensuelles : les ébats d’une rouge coccinelle sur une feuille, un pétale de fleurs accroché à une toile d’araignée, la flaque d’eau reflétant le ciel, les traces de pas dans la boue ou le sable, les nuances colorées des végétaux sous la pluie. D. Loreau privilégie les plans fixes ; aucun commentaire ne les accompagne mais un travail sur le son très élaboré en souligne l’étrangeté. S’inspirant de la démarche de Bob Verschueren, Dominique Loreau exalte son art et en quelque sorte le dépasse. Plus qu'un documentaire sur le Land Art, elle réalise là un véritable essai cinématographique sur le temps. Des objets banals, elle en capte la beauté fugitive qui, par la magie du cinéma, devient éternelle. Son film procède d’un regard singulier sur l’univers : il devient lui-même œuvre d’art, rêverie contemplative, quête philosophique.

Résumé : Ce programme regroupe deux films : "La mécanique du silence" (20 min) :'action se déroule au Musée d'Art brut de la Fabuloserie en Bourgogne. Levent, le guide sourd, conduit un groupe de six enfants sourds (4 à 12 ans) dans la visite du manège de Petit Pierre. C'est un parcours de vie, un voyage dans le temps et une visite guidée contemporaine. Au fil de 8 étapes, il explique un moment de la vie de Pierre Avezard, dit Petit Pierre et de la construction du manège avec ses personnages, ses animaux et ses objets divers. & "Regardez-moi, je vous regarde - Koji Inoue photographe sourd" (19 min) : Koji Inoue (1918-1993), devenu accidentellement sourd à l'âge de 3 ans, s'est passionné très jeune pour la photographie. Hommage en forme de poème à ce photographe, raconté en langue des signes par un comédien sourd, Levent Beskardes. Celui-ci fait découvrir la vie, l'oeuvre et les thèmes favoris de ce photographe.

Résumé : En 1964, le jury de la Biennale de Venise décerna pour la première fois son Grand Prix à un artiste américain, Robert Rauschenberg. Une initiative que l'on interpréta communément comme une reconnaissance définitive de la migration de la scène artistique mondiale, de Paris vers New York. Néanmoins, s'il est indéniable qu'à partir des années soixante les artistes d'Outre-Atlantique triomphèrent, les créateurs européens ne furent pas en reste. Pour preuve, la pléthore de mouvements dont ils se révélèrent aux fondements : le Nouveau Réalisme, l'Abstraction lyrique, la Figuration narrative, la Nouvelle Figuration... Dix-neuf artistes majeurs, d'Adami à Zao Wou-Ki, en passant par Arman, Buren, Corneille ou Combas, témoignent ici pour nous et élucident le sens de leurs pratiques respectives. Réalisé à partir du fonds de l'Encyclopédie audiovisuelle de l'art contemporain (Imago), Michel Onfray a souhaité que la Galerie et les Éditions Frémeaux & Associés éditent ce document sonore incontournable sur l'histoire de l'art contemporain

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