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Résumé : Le film dresse, en 2009, en même temps que l'état des lieux du travail, le sombre tableau d'une civilisation mondiale, la nôtre, entrée en phase de décadence accélérée, comme a le courage de le dire un des "grands témoins" du film. Il est construit en trois parties: 1. La destruction (66 min), celle des salariés, que les objectifs toujours plus élevés de productivité qui leur sont imposés poussent jusqu'au bout, et parfois au-delà, de leurs limites, entraînant maladies et souffrances physiques et psychiques, voire plus ; 2. L'aliénation (64 min), la manipulation des salariés pour les amener jusqu'au dépassement de soi, avant de s'en séparer pour pouvoir pressurer de la même manière leurs remplaçants, est devenue une méthode perverse de management si courante qu'elle passe inaperçue tant auprès de ses victimes salariées que des managers qui la pratiquent comme allant de soi ; 3. La dépossession (63 min), sur fond de capitalisme financier triomphant, comme régénéré par la crise, l'inconcevable abus de pouvoir des grands actionnaires sur la marche du monde et, partant, sur le travail et les travailleurs.

Résumé : Composé de 5 parties elles-mêmes subdivisées ce film est un voyage à la découverte du nanomonde soit le monde à l'échelle du nanomètre (nm) : le milliardième de mètre. D'escale en escale nous abordons les terres de la physique quantique, de la biologie et des nanolaboratoires où sont développées biopuces et ingénierie tissulaire. Les outils : microscopes électroniques, microscopes à sonde locales sont décrits ainsi que les molécules et les nanomachines avec la chimie supramoléculaire, les nanotubes de carbone , l'électronique et les machines moléculaires. Ce "2008, l'odyssée des nanosciences" est un périple pédagogique qui permettra à l'honnête homme du XXIème siècle d'aiguiser sa curiosité et de formuler les questions éthiques liées au processus de la science en marche et en devenir.

Contenu : La Commission est chargé de veiller au respect de la déontologie par les personnes exerçant des activités de sécurité sur le territoire de la République. Français/Anglais

Résumé : Cynthia Fleury, philosophe et psychanalyste, défriche de nouvelles pistes de réflexion sur le courage et l'expérience du découragement. En tant que psychanalyste, elle observe l'intime du découragement chez ses patients, et remarque les effets pervers de l'organisation du monde du travail et de l'espace politique, sur le psychisme des individus. Convoquant tour à tour Victor Hugo, Diogène, Jankélévitch ou bien encore Amartya Sen, Cynthia Fleury questionne les liens entre l'expérience personnelle du découragement et la société. A partir du registre individuel, elle élargit sa réflexion au domaine collectif et politique. On découvre alors combien le courage comme dépassement de soi est aussi un élément régulateur de la démocratie, tandis que la philosophe trace en parallèle une éthique du courage, projet éminemment politique. C'est au coeur du découragement que survient le courage, qu'un sursaut du sujet et des peuples se fait, que la possibilité d'un nouveau commencement advient (Claude Colombini Frémeaux).

Résumé : "Il n'avait rien prévu, rien anticipé. Il est parti un matin de novembre pour traverser le pays du Sud au Nord, seul, à pied. Il aurait comme seul guide le hasard et comme seul but, le bonheur." (film-documentaire.fr)

Résumé : Il y a plus de vingt ans, Lindy Lou a été appelée pour faire partie d'un jury. Depuis, la culpabilité la ronge. Sa rédemption passera-t-elle par ce voyage qu'elle entame à travers le Mississippi, dans le but de confronter son expérience avec celle des onze autres jurés avec lesquels elle a condamné un homme à mort ?

Résumé : Léonard est enfermé à vie dans une prison de Floride pour avoir tué sa petite amie, il y a dix-huit ans. La mère de la victime, Agnès, n'a pas voulu rester seule avec son deuil. Elle a voulu comprendre et s'est adressée au tueur de sa fille dans une démarche d'ouverture et dans le cadre d'un projet de dialogue entre victimes et coupables en Floride : on appelle cela la justice réparatrice. Au coeur de cette démarche, les victimes tentent de se libérer de leur fardeau, et les coupables prennent conscience des traumatismes qu'ils ont pu provoquer. Il s'agit de transformer une peine carcérale en quelque chose de constructif. Assez répandue en Belgique francophone, la justice réparatrice connaît, depuis les années 2000, un développement incroyable aux Etats-Unis... L'histoire d'Agnès et de Léonard et son devenir sera le fil conducteur de ce film, où d'autres histoires de justice réparatrice seront racontées et entreront en résonance, pour interroger plus largement le sens de la justice. La réalisation s'attachera à révéler les personnalités d'Agnès et de Léonard, bien au-delà des clichés : une mamie blanche, victime d'un Afro-Américain issu des quartiers défavorisés de Baltimore... Les raccourcis sont évidents, pourtant, tous deux mettent à mal l'image dans laquelle la société a bien voulu les enfermer.

Résumé : A l’heure où il est urgent d’amorcer une véritable mutation au cœur de l’humain, Jacques Salomé propose son regard sur l’école et la politique, les médias et la santé, la religion et la spiritualité, le sacré et la sexualité : "En quoi consiste la vraie communication ?", "Les Règles d’hygiène relationnelle", "Comment prendre soin de nos besoins relationnels ?", "Quelle mutation pour l’école ?", "Message aux enseignants", "Message aux enfants", "Message aux parents", "Message pour le monde politique", "Les 8 Grandes Relations à la Vie", "Le Spirituel, le sacré et la sexualité", "Nos médias influencent notre état de santé", "Les maladies nous disent l’indicible", "La médecine soigne mais ne guérit pas", "Les Outils du changement pour une écologie relationnelle", "Comment régler les conflits de notre inconscient ?", "Message à l’humanité". (Source éditeur)

Résumé : Prix Nobel de littérature, Albert Camus (1913 - 1960) ne s'est jamais dérobé aux responsabiblités de son époque. Si son oeuvre replace sans cesse l'homme au coeur de l'Histoire et de ses soubresauts, c'est dans la presse, comme journaliste, qu'il démontre que l'engagement ne s'opposait pas à la raison, la conviction à l'analyse, l'information à la rigueur. Basé sur de nombreuses archives, publiques et privées, qui balaient trente ans d'actualiés, le film est construit autour des articles souvent visionnaires d'Albert Camus, de témoignages de ses proches et d'historiens. Il s'efforce de montrer comment la parole d'Albert Camus donne, aujourd'hui encore, un sens aux mots "journalisme" et "engagement".

Résumé : Les médias se proclament "contre-pouvoir". Pourtant, la grande majorité des journaux, des radios et des chaînes de télévision appartiennent à des groupes industriels ou financiers intimement liés au pouvoir... Ce documentaire en montre les subtilités en s'appuyant sur l'ouvrage de l'écrivain Paul Nizan publié en 1932 dont s'est inspiré Serge Halimi en 1997 pour l'écriture de son livre "les nouveaux chiens de garde", à l'origine de ce film.

Résumé : En mars 2010, l’association Arte-Filosofia organisait à Cannes un colloque animé par la philosophe Françoise Dastur autour d’une des questions les plus essentielles de l’histoire de la pensée : celle du mal. Il revenait à André Comte-Sponville la tâche d’aborder frontalement l’ampleur philosophique de la notion et de distinguer les diverses formes qui la caractérise : physique, métaphysique et morale. Michel Terestchenko, pour sa part, choisissait de situer son propos non pas directement au niveau philosophique, mais du côté de la psychologie sociale, prenant en compte la psychologie effective des individus.

Résumé : Le World Trade Center à New York, le Bataclan à Paris, un tremblement de terre au Népal, une noyade dans un lac gelé ou dans les rapides d'une rivière, notre quotidien est ponctué par des événements meurtriers durant lesquels s'illustrent parfois des héros ordinaires. Des hommes et des femmes ayant risqué leur vie pour sauver celles des autres. Nous nous sommes tous posés cette question : et si j'avais été là ? Aurais-je été capable de braver ma peur et de faire comme eux ? Ai-je moi aussi l'étoffe d'un héros ? Quelles sont les raisons qui ont permis à certaines personnes d'agir par altruisme, d'aider les autres ?"Face à des situations de danger extrême, certains n’hésitent pas à risquer leur vie pour sauver celle des autres. Outre les centaines de pompiers, policiers et médecins mobilisés, ces anonymes ont, à l’heure où chacune de nos actions semble dictée par l’instinct de survie, trouvé la force de penser à autrui. Ils ont fait demi-tour, tendu la main, transporté à l’abri ou protégé des tirs et de la folie une personne qu’ils ne connaissaient pas.Quel mécanisme humain permet à certains de basculer d’une attitude ordinaire à une posture extraordinaire ? Comment justifier ces actes soudains de bravoure héroïque ? Certains psychiatres parlent d’une “personnalité potentielle”, influencée par le passé et le quotidien de l’individu. D’autres évoquent la possibilité d’un “gène de l’héroïsme”, ou encore d’une éducation qui favorise cette aptitude à le devenir… Les pistes sont nombreuses, et les recherches ne font que commencer. Aux côtés d'Abigail Marsch, psychologue et neuroscientifique américaine, ce documentaire part à la rencontre de ces citoyens héroïques pour comprendre les origines de l’altruisme et de la compassion dans le cerveau humain. Attentats, séismes ou encore noyade… Des témoignages d’un jour qui a changé leur vie à jamais." (Film-documentaire.fr)

Résumé : "Etre là" rend compte du quotidien du service de psychiatrie de la prison des Baumettes à Marseille (le SMPR, Service médico-psychiatrique régional). Le tournage concentré en trois semaines s'est construit sur un travail préparatoire d'une année environ. Essentiellement composé de femmes le SMPR est un lieu de soin et d'écoute où le sujet est au centre du dispositif thérapeutique qui repose sur une prise en charge pluridisciplinaire. Le film s'articule autour de deux mouvements entrecroisés : la parole de Sophie, psychiatre et les entretiens avec les patients incarcérés. Le témoignage de Sophie, médecin psychiatre, qui décrit et analyse son rapport à son métier dans l'institution ; le maître-mot est "Résistance", résistance pour préserver l'espace du soin face à l'univers carcéral qui a tendance à tout phagocyter, résistance à soi, au repli, à la tentation du retrait qui taraudent le soignant. Cette réflexion cohabite avec les entretiens avec les patients menés par Sophie et d'autres psychiatres de l'équipe, le travail des infirmières et des séances avec l'ergothérapeute. Sans jamais montrer le visage des prisonniers / patients, "Etre là" met au premier plan le récit, l'écoute active et l'éthique en marche de chaque instant à l'oeuvre parmi tous les membres de ce service où l'on soigne, aide, rétablit du lien social comme la relation soignants/soignés. Le choix du noir et blanc permet une mise à distance de la réalité filmée tout en la rendant plus expressive. Régis Sauder fait non seulement la chronique d'un service de psychiatrie dans une prison dont fut révélée récemment la vétusté, la saleté et la surpopulation mais permet aussi et surtout une interrogation sur la place du soin, de l'écoute et de la psychiatrie dans notre société.

Résumé : Dans ce film documentaire, Jean-Gabriel Périot dresse en creux le portrait d’un groupe de femmes pour qui la musique est un moyen de résister et de sortir de l’isolement. Le compositeur Thierry Escaich collabore à cette réalisation en composant la musique originale du film, interprétée par neuf musiciens de l’Opéra national de Paris.

Résumé : "Par hasard, j'ai retrouvé un livre que ma soeur m'avait offert, il y a bien des années. C'est un recueil de photographies...Elles ont toutes été prises dans le Barroso, une région montagneuse du Tras-os-Montes, située au nord du Portugal..Il s'agit pour l'essentiel de portraits d'individus ou de groupes.Certaines photographies laissent deviner un petit morceau de décor, toujours très austère : une rue ou une place de village, l'intérieur d'une maison sombre, un feu de bois posé à même le sol, une cuisine, une chambre délabrée...Elles semblent renvoyer à un passé sans époque, un récit sans histoire. Finalement, j'ai trouvé une date, à côté du nom de l'éditeur : 1986. Dans ce livre, on ne voit jamais de paysage, à l'exception, toutefois d'une photographie qui montre un petit village au bord d'un lac, avec des montagnes à l'horizon. C'est peut-être pour ça que j'ai voulu faire ce voyage. Pour traverser les paysages que ce livre garde au secret.... Pendant plus de deux ans, je suis ainsi retourné regulièrement, saison après saison, accompagné de deux amis - un cadreur et un preneur de son - dans quelques-uns des villages du Barroso. Et je me suis appliqué à enregistrer, avant qu'elle ne s'éteigne, la vie qui s'écoule là-bas, loin de ce que nous sommes, dans la magie de la nature et des intempéries, dans le mystère quotidien des gestes et des mouvements des hommes et des bêtes. J'ai aussi essayé d'attraper, avant qu'elles ne s'envolent, les pensées secrètes de quelques-uns des habitants dans ce rapport particulier qu'ils ont au monde et à la vie, filtrées par les saisons et le temps qui passe et qui s'envole..." Marc Weymuller

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