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Résumé : Passant en revue les grands concepts économiques sur lesquels repose le capitalisme, l'auteur montre qu'ils sont des concepts sécularisés, dont la source se trouve dans les grands débats théologiques ayant émaillé l'histoire de l'Occident, de la propriété à la comptabilité, de l'idée de marché à celle d'intérêt, jusqu'à la cybernétique, point d'orgue de la conception moderne du travail. ©Electre 2021

Résumé : Le point sur les positions du magistère catholique en matière d'économie et sur la doctrine sociale de l'Eglise catholique à propos du capitalisme. ©Electre 2019

Résumé : Un nouvel islamisme adapté au marché et à la mondialisation est en train de voir le jour. Séduit par la littérature managériale et volontiers consumériste, il combine modernité et tradition pour former un intégrisme. L'auteur en analyse la montée en puissance à travers de nombreuses manifestations sociales et culturelles : la littérature morale, les talk-shows pieux, les modes vestimentaires, etc.

Résumé : Un ensemble de cinq textes de W. Benjamin, rédigés entre 1920 et 1939, où l'on retrouve quelques-uns des thèmes chers aux partisans de la décroissance : une critique du culte de l'argent, de la marchandisation généralisée, des relations sociales corrompues par une société qui flatte les penchants égoïstes des individus. Avec le texte de Marx extrait du livre premier du Capital. ©Electre 2019

Résumé : Le seul paradis dont nous puissions rêver est-il "un paradis fiscal" ? La promesse de "faire travailler votre argent" est-elle un acte de foi bien raisonnable pour votre banquier ? Et si le monde capitaliste n'était,pas seulement une économie, une société et un Etat, mais aussi une religion comme le suggèrent Karl Marx et Walter Benjamin ? Une "religion de la vie quotidienne", non pas tournée vers l'au-delà mais vers un ici-bas qu'il faudrait aimer tel qu'il est, avec un culte sans dogme transcendant mais avec le concours de l'église bavarde des économistes, et enfermant bel et bien les représentations et les croyances des sociétés humaines dans lesquelles il s'installe. Une religion des marchandises et de l'argent (une "société de consommation" et "une économie de marché") fondée sur l'effacement et le mépris du travail humain pourtant indispensable à la création des vraies richesses sociales.

Résumé : Protestantisme et modernité sont parents. A quel degré ? Quatre penseurs français de renom expriment leur position sur la modernité en compagnie d'intellectuels protestants d'envergure.

Résumé : Une étude consacrée aux divergences d'opinions entre les catholiques et les économistes à la suite de l'apparition d'un nouveau système économique issu de la Révolution française. ©Electre 2022

Résumé : Cinq textes dont trois inédits du philosophe italien réfléchissant à la place de la création dans la culture occidentale. Il propose ainsi une une plongée au coeur des concepts d'oeuvre, de commandement et de volonté. ©Electre 2019

Résumé : Cette farce de l'auteur du Droit à la paresse, publiée pour la première fois en 1887, est le compte rendu d'un congrès international fictif tenu à Londres, au cours duquel les représentants les plus éminents de la bourgeoisie rédigent les actes d'une nouvelle religion pour ce chaos qu'ils ont créé et décidé d'appeler monde civilisé. ©Electre 2022

Résumé : Se revendiquant de l'"écologie intégrale" et de l'"anarchisme chrétien", l'auteur livre son point de vue sur l'économie, dénonçant le marché devenu fou, rappelant aussi le premier devoir des chrétiens : protéger les pauvres. Des mouvements anarchistes du XIXe siècle à la théologie de la libération, il conte l'histoire de la défense des opprimés. ©Electre 2017

Résumé : L'ouvrage interroge l'utilisation du modèle du marché pour comprendre les recompositions religieuses en cour et l'influence du langage économique dans le langage sociologique et ses limites. Il évalue dans quelle mesure les pratiques religieuses et les contenus de croyance se trouvent affectés par une logique de marché, et interroge les types de régulation du religieux dans une société pluraliste.

Résumé : La crise des subprimes a démontré que le discours économique prévaut sur toute idéologie sociale. Le journaliste retrace la chronologie de l'installation des marchés comme valeur sacrée régissant le monde. Il compare la structure de la sphère financière à l'architecture de l'Eglise, identifiant les banquiers au clergé, les valeurs cardinales à la liberté d'entreprendre et les marchés aux dieux. ©Electre 2020

Résumé : L'auteur propose ses réflexions sur le déclin de la langue et de la littérature et suggère en quoi la littérature telle qu'elle est définie aujourd'hui est liée à l'histoire judéo-chrétienne. Il s'interroge également sur son avenir et sur sa capacité à survivre à l'hyper-capitalisme, à la catastrophe écologique ou à l'abandon des langues grecques et latines. ©Electre 2018

Résumé : Dans le refus des intégrismes religieux et de l'assèchement capitaliste du sens de la vie, de nouvelles intersections laïques sont à trouver entre spiritualité et citoyenneté grâce à un dialogue entre non-croyants et croyants. H. Seniguer, musulman de gauche et P. Corcuff, agnostique anarchiste, dialoguent sur des questions spirituelles, I. Sorente et J. Alexandre sur une spiritualité politique. ©Electre 2018

Résumé : "Ce n'est pas du capitalisme qu'il faut sortir, c'est de l'économisme. La volonté du marché est de reconstruire la société sur son modèle, de périmer le politique, la culture, l'éducation ; d'imposer partout un seul type d'hommes, le consommateur-entrepreneur... Il est grand temps de désacraliser le capitalisme, qu'on soit pour ou contre."

Résumé : Spécialiste de Max Weber, l'auteur présente et discute la thèse moins connue du sociologue allemand selon laquelle la démocratie, comme le capitalisme, du moins en Amérique, serait elle aussi fille de l'éthique protestante. En actualisant cette thèse, il en tire nombre de conséquences troublantes. ©Electre 2014

Résumé : 52 notions telles que le capitalisme, l'immigration, les larmes ou encore le baptême sont définies selon la conception qu'en a le pape François. ©Electre 2018

Résumé : Portrait de Karl Marx, dont la pensée est souvent méconnue, selon l'auteur, y compris par ceux qui se revendiquent marxistes. Sont abordés : la lutte des classes, la religion, le capitalisme du XIXe siècle, l'hostilité de Marx à la démocratie, le communisme, etc.

Résumé : L'Islam est-il un frein au développement, comme certains, à la suite du sociologue allemand Max Weber, l'ont affirmé ? L'Islam ne renferme-t-il pas plutôt un potentiel de transformation porteur de développement ? Ce sont les questions auxquelles s'attaque l'auteur. Pour cela, il se réfère à plus de deux cents versets du Coran et plus de cinquante hadîss, tout en s'appuyant sur des enseignements de disciplines comme l'économie politique et la philosophie, de découvertes scientifiques et de faits d'actualité. Des références sont faites également au christianisme, au judaïsme et aux religions asiatiques, pour montrer les points de convergence et de divergence.. En s'appuyant sur le Coran et diverses sources, l'auteur propose une analyse économique des pays islamiques, des relations entre économie et charî'a, entre religion et capitalisme ou individus et société.

Résumé : Recueil de trois nouvelles mettant en scène la prison, la religion et le mariage, institutions sociales dont elles soulignent incohérences et contraditions. A travers ces critiques, une évocation de la situation dans la péninsule coréenne : la division entre un nord stalinien et un sud capitaliste.

Résumé : Un des volets de la grande trilogie consacrée par Weber à l'"éthique économique des religions mondiales", entre 1915 et 1920, avec "Hindouisme et bouddhisme" et "Le judaïsme antique".Ces études comparatives reprennent le problème du lien entre le protestantisme ascétique et le développement d'un capitalisme bourgeois rationnel à partir de configurations religieuses et sociales différentes.

Résumé : Représente une introduction à l'oeuvre de Max Weber, en donnant les clés de lecture nécessaires à la compréhension des débats actuels en sociologie et au-delà, dans l'ensemble des sciences sociales. L'ouvrage s'organise en quatre parties : les religions, expériences et théories, la secte, l'Eglise et l'Etat, les conditions morales du capitalisme et la sociologie historique.

Résumé : Lorsque nombre d’historiens européens racontent l’histoire du monde, ils ont toujours tendance à donner à l’Europe le beau rôle : c’est ici que sont nés l’individualité, la démocratie, la liberté, le capitalisme, et c’est ici, et nulle part ailleurs, qu’ont prospéré des sciences en continuel progrès. Certains attribuent cette supériorité à son climat tempéré, à son comportement sexuel modéré, à sa famille nucléaire, à sa religion chrétienne ou à sa mentalité rationnelle. Les « autres », Chinois, Indiens ou Africains, seraient moins bien lotis : climat défavorable, sexualité débridée, emprise de la collectivité, « despotisme oriental », poids des superstitions, mentalité traditionnelle où domine le sens pratique. Et tant les manuels scolaires que les disciplines académiques ont leur part de responsabilité dans le récit de cette distribution inégale. Histoire, géographie, mais aussi anthropologie, démographie, économie, philosophie, psychologie et sociologie sont ainsi mises au banc des accusées. De nombreux intellectuels, comme Lévy-Bruhl, Piaget ou Jung, mais surtout Max Weber, dont l’influence est aujourd’hui si grande, n’ont cessé d’alimenter les préjugés et, ce faisant, ont contribué à l’effort colonial en le justifiant théoriquement. Or, s’il peut bien exister des différences de trajectoire entre les sociétés, elles ne ressortissent ni aux techniques, ni à la cognition, ni à la culture et encore moins à la civilisation, mais relèvent de part en part de l’histoire et de la politique coloniale et remontent, pour l’essentiel, à 1492, date à partir de laquelle les métaux précieux venus d’Amérique déferlèrent sur l’Europe. Blaut relit l’histoire du monde à l’aune de cet événement en instruisant méticuleusement chacun de ces dossiers. Ce faisant, il nous fait enfin comprendre les causes véritables de l’essor européen, en mettant à distance le narcissisme culturel avec lequel nous sommes d’ordinaire si prompts à envisager l’histoire du monde. - Note de l'éditeur

Résumé : Lavishly illustrated with essays and reflections by cultural leaders, Keith Haring: Art Is for Everybody surveys Haring’s dynamic art practice from 1978 to 1990, shining a bright light on the iconic and beloved artist known for his fluid, uniform lines, intricate compositions and repeating imagery such as the barking dog and radiant baby. Forty years after he came to prominence, Haring’s art continues to garner worldwide recognition, breaking down barriers and spreading joy, while taking on complex issues that remain crucial today, from environmentalism, capitalism and the proliferation of new technologies to religion, sexuality and race. Titled after a quote from Haring’s journals, Art Is for Everybody centers on the artist’s activism, the emphasis he placed on community and his egalitarian approach to art and life. The volume is organized chronologically and thematically, emphasizing Haring’s work made with publics in mind such as the subway drawings and murals, his collaborative practice and his unflinching belief that art is essential in making a better world.

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