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Contenu : Un site qui propose une approche spécifique de la Chine par le travail du CECMC. Elle se fonde sur des sources primaires et un travail de terrain ; et peut se caractériser comme un déploiement des sciences sociales à partir du monde contemporain et dans la profondeur historique, les deux dimensions étant complémentaires.

Résumé : Film testamentaire de Joris Ivens, "Une Histoire de vent" retrace la promenade d'un vieil homme à travers la Chine, voulant "filmer l'impossible", le vent. Paysages de déserts ou de montagnes, mythes de la Chine ancestrale, impressions de l'histoire culturelle chinoise s'entrecroisent avec un retour du cinéaste sur sa propre vie, sur le 20e siècle dans une divagation fantasmagorique.

Contenu : La Chine et le monde chinois

Résumé : Dans le désert de l'Ouest tibétain, dans la vallée de Khyunglung, se trouve le site archéologique de Gugé. De 700 à 1630, il faisait partie d'une cité-état, le royaume de Gugé qui abrita une fastueuse civilisation. Situé à un carrefour stratégique de la route de la soie, son rayonnement culturel et spirituel s'étendait sur toute l'Asie. Il fut le berceau de grands penseurs boudhistes et de la renaissance du boudhisme au Tibet. Nous suivons les fouilles de l'historien tibétain Tsering Gyalpo et de l'archéologue américain John Bellezza. On découvre, à Tsaparang, la capitale, les ruines de la gigantesque forteresse, des vestiges de palais, de souterrains et passages, de remarquables fresques murales aux couleurs chatoyantes La ville était un centre artistique et spirituel. On ne sait comment Gugé put prospérer dans un environnement aussi hostile ni comment ce royaume fut détruit.

Résumé : La Chine, deux ans avant les Jeux Olympiques de 2008 : au centre de Pékin, non loin de la place Tiananmen, derrière d’imposants panneaux à la gloire du progrès chinois, un immense chantier de démolition. C’est le vieux quartier ouvrier de Qianmen qui fait peau neuve. Ici, sous prétexte d’assainissement et de lutte contre la misère, on rachète tout un quartier populaire pour le démolir et proposer à la place une nouvelle image de Pékin : projet politique conçu dans l’urgence, pour lequel il faut mettre à la rue plus de quatre cents personnes qui habitent encore ces maisons. Sans un mot de commentaire, plongeant directement dans la réalité quotidienne, Olivier Meys va au devant de ces hommes et de ces femmes, réduits à vivre dans les décombres de leurs foyers, qui refusent de partir et mettent en cause un pouvoir qui se joue des hommes et de leurs vies. De longs plans-séquences montrent la colère des habitants, leur révolte contre le montant des indemnisations et la spéculation foncière, leur détermination à rester jusqu'au bout, leur angoisse parce qu'ils ne savent où loger et n'ont pas l'argent nécessaire, la tristesse des relogés dans des tours de banlieue où ils ne connaissent personne.

Résumé : Cette méthode comporte une introduction consacrée à la langue tibétaine(présentation, prononciation et transcription des sons, écriture), une première partie comprenant quarante et une leçons et une seconde partie composée de neuf annexes traitant du tibétain littéraire classique et de divers points linguistiques ou grammaticaux. L'une des annexes présente une série de tableaux récapitulatifs. L'ouvrage est illustré par de nombreux dessins, par des photographies en couleurs et par deux cartes: circonscriptions administratives, aire linguistique tibétaine, réalisée par Christophe Gigaudaut. Il se termine par trois glossaires, une ibliographie et un additif comprtant les corrigés des exercices qui font partie des leçons ainsi que des exercices et des commentaires supplémentaires.

Résumé : "Le palais d'été, situé à 15 kilomètres au Nord Ouest de Pékin, a vu la terre tourner autour du soleil plus de 900 fois. Il était le lieu de villégiature de l'empereur et de sa famille. Il s'étend sur près de 300 hectares, dont les trois quarts s'articulent autour de l'immense lac Kunming et de la colline de la longévité. Dans ses 70 000 m2 de surface construite, on trouve une grande diversité de palais, jardins, pagodes, temples et autres édifices remarquables, représentant en quelque sorte un modèle miniature de l’Empire du Milieu, un véritable musée vivant de l’art chinois. Le palais fut pillé et détruit à deux reprises, lors de l'invasion des troupes anglo-françaises en 1860, puis durant la Révolte des Boxers en 1900. L'impératrice Cixi le reconstruisit en 1886 et 1902. En 1888, elle dépensa des sommes considérables pour rebâtir et agrandir ce qu’elle appelait Yiheyuan, le jardin où l'on cultive la concorde.Même aujourd’hui, c'est le plus grand site impérial du monde, reconnu comme un trésor du Patrimoine mondial. C'est le Versailles de l'Orient. L’Unesco le qualifie d'"expression exceptionnelle de l'art créatif du jardin paysager chinois, intégrant réalisations humaines et nature en un tout harmonieux". Mais c’est aussi l'archétype de la philosophie et de la pratique des jardins chinois qui ont joué un rôle déterminant dans le développement de cette culture dans tout l'Extrême-Orient. Enfin, les jardins impériaux chinois, illustrés par le Palais d'Eté, constituent un puissant symbole de l'une des principales civilisations du monde. "(Source éditeur)

Résumé : La Chine, deux ans avant les Jeux Olympiques de 2008 : au centre de Pékin, non loin de la place Tiananmen, derrière d’imposants panneaux à la gloire du progrès chinois, un immense chantier de démolition. C’est le vieux quartier ouvrier de Qianmen qui fait peau neuve. Ici, sous prétexte d’assainissement et de lutte contre la misère, on rachète tout un quartier populaire pour le démolir et proposer à la place une nouvelle image de Pékin : projet politique conçu dans l’urgence, pour lequel il faut mettre à la rue plus de quatre cents personnes qui habitent encore ces maisons. Sans un mot de commentaire, plongeant directement dans la réalité quotidienne, Olivier Meys va au devant de ces hommes et de ces femmes, réduits à vivre dans les décombres de leurs foyers, qui refusent de partir et mettent en cause un pouvoir qui se joue des hommes et de leurs vies. De longs plans-séquences montrent la colère des habitants, leur révolte contre le montant des indemnisations et la spéculation foncière, leur détermination à rester jusqu'au bout, leur angoisse parce qu'ils ne savent où loger et n'ont pas l'argent nécessaire, la tristesse des relogés dans des tours de banlieue où ils ne connaissent personne.

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