Recherche simple :

  •    Sujet : Conditions économiques -- Maroc
  • Aide
  • Eurêkoi Eurêkoi

Documents en ligne : 7

Voir tous les résultats les documents en ligne

Résumé : La région d'Alméria, dans le sud de l'Espagne, produit aujourd'hui un tiers de la consommation européenne hivernale des fruits et légumes et engrange les deux tiers des profits agricoles du pays. Un "miracle économique" sous serre qui repose sur le travail de près de 80000 immigrés, pour moitié clandestins. Le réalisateur est parti enquêter à El Ejido, où 60% des immigrés sont Marocains. La face sombre de la mondialisation économique qui n'a ici pour loi que celle du profit est éclairée au grand jour.

Résumé : Le film aborde la problématique de la gestion des ressources en eau à travers l'exemple du Maroc où l'Etat assurait peu ou prou jusqu'ici la distribution, souvent gratuite, d'eau potable à la population des villes , parfois aussi des campagnes, mais où les investissements , pour la plupart étrangers, dans le développement du tourisme, ont changé la donne, avec la floraison des constructions immobilières ou des terrains de golf, dévoreurs d'eau, tandis que la sécheresse entraîne la disparition des oliveraies des petits paysans et la désertification de certaines campagnes.La distribution de l'eau, assurée jusqu'ici par une régie d'Etat est peu à peu confiée à la filiale locale d'une des deux plus grandes multinationales qui se sont emparées, au niveau mondial, de la gestion très lucrative de cette ressource que certains considèrent comme faisant partie du patrimoine commun de l'humanité.L'accès à l'eau devient indéniablement plus confortable à certains, tandis que ceux qui ne peuvent pas payer voient leurs conditions de vie, déjà précaires, s'aggraver.

Résumé : Sur plus de trois ans, saison après saison, le réalisateur filme l'installation difficile de l'électricité dans le petit village isolé d'Ifri (région de Beli Mellal) dans le Haut-Atlas marocain.Les habitants qui vivent depuis toujours sans lumière ni eau courante, ni quelque service public que ce soit, préfereraient qu'on leur construise une route dans cette montagne , qui amènerait avec elle une modernité plus diversifiée. Ils ne sont pas entendus.Pire, ils doivent construire eux-mêmes, gratuitement, et avec des moyens dérisoires, au moins une partie de cette route pour que soient acheminés les pylones et les câbles., qui font finalement arriver l'éléctricité.La vie du village en est définitivement transformée, pour le meilleur et pour le pire.

Résumé : A propos de son film tourné en 2005 au Maroc et dans des banlieues françaises, dans l'accompagnement d'une caravane de femmes Marocaines informant et sensibilisant les populations, particulièrement les femmes maghrébines , à propos de l'injustice et de l'obscurantisme dont elles sont encore , et parfois plus que jamais , victimes , de la part de leur entourage bafouant leurs droits élémentaires d'êtres humains, le réalisateur J.P. Thorn écrit ceci : "Filmer la beauté des femmes, leur courage, leur intelligence...plutôt que toujours la haine, le "sang à la une" du terrorisme, dans lesquels se complaisent trop souvent des médias qui n'aboutissent qu'à stigmatiser le monde arabe et paralyser d'effroi nos démocraties. Le cinéma du côté des planteuses d'arbres, plutôt que de celui des incendiaires ou des pompiers (aussi héroïques soient-ils!). Oui, il existe dans le monde musulman (jusqu'ici, dans nos banlieues) un formidable mouvement des femmes pour la liberté et l'égalité. C'est un espoir pour l'humanité ! "J.P.Thorn signe un film de résistance de la vie contre le racisme de genre.

Explorer les sujets liés :