Recherche simple :

  •    Tous les mots : Consensus (sciences sociales)
  • Aide
  • Eurêkoi Eurêkoi

Documents en rayon : 17

Voir tous les résultats les documents en rayons

Résumé : La philosophe met en cause le bien-fondé d'un monde politique fondé sur le consensus, qu'elle juge en opposition avec la nature profondément conflictuelle du politique et donc source de danger pour la démocratie même. Elle défend à l'opposé une conception partisane de la politique, dans laquelle l'importance des passions et des identités collectives n'est pas niée. ©Electre 2016

Résumé : Une analyse de la notion du temps à travers une dizaine de disciplines des sciences sociales : histoire, sociologie, économie, démographie, anthropologie, etc. S'il existe un consensus sur la nécessité de prendre en compte la multiplicité des temps, les dynamiques récentes soulignent l'éclatement des temps sociaux jusqu'à leur individualisation.

Résumé : Une réflexion pluridisciplinaire sur la manière dont les sociétés de la première modernité ont réagi aux discordances des opinions, particulièrement quand on ne se contente plus de bannir au loin celui ou ceux qui pensent différemment et quand le groupe ne vole pas en éclats mais se maintient d'une façon ou d'une autre. ©Electre 2016

Résumé : Une analyse statistique de 175 pays en termes de performances, lien social, santé, maturité numérique, des modèles d'analyse et des propositions aux différents acteurs (politique, économique, etc.), afin d'impliquer les citoyens. ©Electre 2015

Résumé : Les stéréotypes peuvent révéler une partie méconnue de l'imaginaire romain fait de croyances et de peurs, de rôles et de comportements à l'égard des autres. Les contributions cherchent à rendre aux stéréotypes leur place dans la recherche historique puisqu'ils donnent à voir des normes sociales renvoyant à des éléments de consensus ou au contraire de conflit.

Résumé : "D’où vient l’éducation positive ? Emblématique de la parentalité du 21e siècle, elle reste indissociable de la vaste révolution du regard sur l’enfant amorcée dès le 19e siècle, qui a permis de le reconnaître comme un être sensible, requérant soins et protection, et comme un individu à part entière, sujet de droits. Plébiscitée par les uns, fustigée par les autres, l’éducation positive est encore loin de faire consensus. Épuisement parental, charge mentale des mères, normativité, quelles sont les principales critiques adressées à ce courant ? Et comment veiller à ce que la bienveillance ne devienne pas un enfer pavé de bonnes intentions ?

Résumé : Une étude sur la démocratie participative et sur la manière dont ses organes de décision et de réflexion (conseil de quartier, conférences de consensus, dialogues citoyens, etc.) font appel aux émotions tout autant qu'à l'expertise. Les contributeurs analysent la façon dont ces émotions sont accueillies, formalisées et maîtrisées à partir de cas concrets : projets éoliens, jurys populaires, etc.

Résumé : La technique et la science constituent désormais les forces productives les plus importantes des sociétés développées. Cette situation nouvelle pose le problème de leur relation avec la pratique sociale, telle qu'elle doit s'exercer dans un monde où l'information est elle-même un produit de la technique. Jürgen Habermas examine dans les études réunies dans ce volume l'incidence de la rationalité scientifique sur le "monde social vécu" et ses répercussions sur le fonctionnement de la démocratie.Il montre les limites de la technocratie qui tend à s'abriter derrière une pseudo-rationalité pour assurer le triomphe de ses intérêts. Il analyse le système des valeurs en cours, les finalités que se propose le corps social sans toujours en avoir conscience, la fonction des idéologies qui les systématisent. Du même coup il est ici abordé une des plus grandes questions de notre temps : comment le consensus social que postule la démocratie peut-il s'opérer dans les sociétés industrielles avancées ?

Résumé : In this survey of the Dutch political culture of the nineteenth and twentieth centuries, Piet de Rooy reveals that the 'polder model' often used to describe economic and social policymaking based on consensus is a myth. Instead, modern political culture in the Dutch Low Countries began with a revolution and is rife with rivalries among political and ideological factions. De Rooy argues that because of its extremely open economy, the country is vulnerable to external political, cultural, and economic pressures, and Dutch politics is a balancing act between profiting from international developments and maintaining sovereignty. The sudden rise of populism and Euroscepticism at the turn of the millennium, then, indicated a loss of this balance. Shining new light on the political culture of the Netherlands, this book provides insights into the polder model and the principles of pillarization in Dutch society. The Dutch edition of this book, Ons stipje op de wereldkaart, was awarded the Prinsjesboekenprijs for the best book on Dutch national politics in 2014

Résumé : La prison matérialise un lieu d'exception, que l'expression de zone de non-droit dénonce. Or un consensus semble se nouer autour des vertus de l'Etat de droit comme modèle de gouvernement des prisons. C'est ce lien entre prison et figure de l'Etat de droit que l'auteur analyse, confrontant histoire politique et politique pénitentiaire, et le modèle français au modèle allemand.

Résumé : Cet essai montre que la bioéthique est une illustration de la quête contemporaine du consensus par la délibération et le compromis en tant que mode de résolution de conflits. Il présente la bioéthique à travers les principales questions que les bioéthiciens abordent, exposées et discutées avec un appareil critique et rapportées aux doctrines et aux orientations morales sollicitées.

Résumé : Tiré en partie d'une série de conférences présentées en 2008-2009 et consacrées aux conceptions anciennes de l'icône en Inde, cet ouvrage montre de quelle façon celle-ci bénéficia d'un statut privilégié dans l'ensemble de la société indienne. Objet de consensus, elle occupa, au moins jusqu'au XIIe siècle, une fonction sociale, juridique et politique.

Résumé : Cet ouvrage se propose de revisiter la mémoire nationale algérienne pour montrer combien celle-ci participe à fois à la légitimation et à la contestation du pouvoir dans une société façonnée par la guerre d'indépendance, comme l'illustre le rôle majeur de l'armée encore aujourd'hui. L'auteur développe une perspective critique du nationalisme mémoriel algérien et met à jour la pluralité des points de vue, reflet de la diversité en Algérie. Il contribue ce faisant à éclairer les fondements de la crise identitaire que traverse la société algérienne, qui peine à élaborer un projet de « vivre ensemble » et à faire émerger une citoyenneté faisant consensus. Cette question se pose avec acuité après les « printemps arabes », et l'affaiblissement de la légitimité révolutionnaire des dirigeants algériens. En étudiant « l'histoire vue de l'autre côté », à travers des sources d'une grande amplitude (enquêtes de terrain en Algérie réalisées de 2006 à 2017, étude des musées et des monuments commémoratifs, archives militaires et judiciaires), l'auteur se positionne de manière originale par rapport au contentieux mémoriel franco-algérien. Il propose une histoire connectée des mémoires, faisant la part belle à une analyse critique des usages algériens du passé et des imaginaires sociaux que ces mémoires construisent. « L'histoire à parts égales » n'est-elle pas un devoir pour parvenir à une « juste mémoire » ? Docteur en histoire, chercheur associé à l'ISP (Institut des sciences sociales du politique) de l'université de Nanterre et à l'IRMC (Institut de recherches sur le Maghreb contemporain) de Tunis, Emmanuel Alcaraz enseigne au lycée Gustave Flaubert à La Marsa à Tunis (AEFE-Agence pour l'enseignement français à l'étranger). Il est l'auteur de nombreuses contributions sur l'histoire de la mémoire de la guerre d'indépendance algérienne.

Explorer les sujets liés :