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  •    Sujet : Esthétique -- Histoire
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Résumé : Ces contributions confrontent les esthétiques kantiennes aux doctrines classiques de la sensibilité, d'Aristote à Wolff, en passant par Leibniz et Locke. Elles sont également analysées à la lumière de leur postérité, de l'idéalisme allemand à la phénoménologie. ©Electre 2014

Résumé : Une étude sur l'apparition évolutive de la capacité esthétique au sein du règne animal ainsi que sur la naissance et la fonction de l'art chez l'homme. Le philosophe analyse le sens de la beauté dans l'histoire naturelle à travers les apports de la paléontologie, de l'anthropologie et de l'ornithologie. ©Electre 2021

Résumé : Une histoire des classifications et des systèmes des beaux-arts de l'Antiquité au XXe siècle qui reconstitue les grandes notions de l'esthétique et les grands débats conceptuels de l'histoire de l'art. L'auteur propose un système des arts qui peut être pensé comme un outil critique rigoureux face à la diversité des phénomènes artistiques et à l'expérience des oeuvres d'art. ©Electre 2016

Résumé : Dans le domaine des arts visuels, sculptures et tableaux traditionnels ont laissé place à des installations, des environnements et d'autres dispositifs multimédias qui offrent, au spectateur, des expériences fondées sur les sens. En parallèle, se développe un mouvement d'esthétisation qui gagne tous les milieux de vie. L'auteur affirme que cette révolution sensible signe la mort du grand art. ©Electre 2021

Résumé : L'esthétique est à la mode. Travaux et analyses se multiplient. Tous prétendent renouveler le sujet alors que la plupart puisent à la même source : la tradition spéculative de l'Art qui affirme que l'Art est un savoir extatique. Celui-ci révélerait des vérités transcendantes, inaccessibles aux activités intellectuelles profanes. En cela, il occuperait aujourd'hui la place qui incombait autrefois à la religion.La tradition implique donc que les arts soient sacralisés, mais aussi, par le même mouvement, opposés aux autres activités humaines - à l'exception fort évidemment de la philosophie. Il revient, en effet, à cette dernière de dévoiler ce qu'est la nature ultime de l'Art : une théorie de l'Être, cependant qu'il revient à l'esthétique de convaincre chacun qu'il existe une réalité suprasensible singulière qui ne se révèle que par le truchement de la spéculation métaphysique. Jean-Marie Schaeffer, après une lecture critique et généalogique de ce système spéculatif dont nous vivons actuellement la crise profonde, définit ce que pourrait être une expérience esthétique alternative, qui permette de vivre ce que la tradition nous fait manquer : comment voir un tableau si l'on refuse de croire à l'existence d'un arrière-monde ? Comment oublier l'Art afin de redécouvrir les arts dans leur richesse particulière et multiforme ? Comment, enfin, fonder une expérience esthétique commune dès lors que l'on renonce à la conformité des œuvres aux essences et au Beau ?

Résumé : L'histoire de l'esthétique moderne est présentée depuis l'art industriel du XIXe siècle, puis à travers les grandes mises en scène des totalitarismes du XXe siècle, jusqu'à l'avènement de la démocratie esthétique qui concilie le marché et le narcissisme du dernier homme.

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