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Résumé : Ce numéro des Cahiers thématiques invite à situer l'activité de recherche dans un cadre élargi – celui des formes et figures de la pensée savante – pour questionner la manière dont celle-ci se pense, se conçoit, se construit – et in fine s'écrit – en se confrontant ou en s’adossant à d’autres modalités d’énonciation. De l’essai à la théorie, de la notation à la description, du récit à la conceptualisation, du traité au roman, les relations entre littérature savante et culture architecturale et urbaine sont multiples et contrastées. C’est à cette pluralité textuelle et sémantique et à ce qu’elle produit – à ses enjeux, à ses formes, à ses contextes – qu’est dédié ce numéro. Questionner l’écriture, c’est s’intéresser aux langages, aux lexiques, aux concepts, aux modes d’argumentation, ainsi qu’à la rhétorique et la question du style. C’est en ce sens adopter une perspective épistémologique pour penser les usages de la langue dans le travail de recherche et la construction des savoirs dans les domaines de l’architecture, de la ville et du paysage. [4e de couv.]

Résumé : Essai sur la construction nationaliste congolaise autour de la fondatrice du mouvement antonianiste Kimpa Vita (1684-1706). Le premier à l'avoir utilisée en la présentant comme la mère de la nation est J. Kabila. L'auteur déconstruit l'écriture du roman national en se plaçant sur les plans historique et moral. Il dénonce l'inconséquence des élites politiques ayant mobilisé cette figure rhétorique. ©Electre 2021

Résumé : Ouvrage combinant analyse théorique et microlecture stylistique du roman à contraintes. Passe en revue la plupart des auteurs et des livres qui explorent ce domaine et s'intéresse à toute une série de figures rhétoriques dont le roman à contraintes fait un usage systématique.

Résumé : "Dans son commentaire sur le Premier Alcibiade, Proclus (412-485) célèbre la figure de Socrate comme guide vers la connaissance de soi. A travers une interprétation originale du prologue du dialogue, le philosophe néoplatonicien propose un portrait exemplaire de cet "amant divin" : son art érotique consiste à aborder son aimé au moment opportun et à éveiller en lui le désir de la connaissance. Sa sollicitude est décrite dans les termes d'une imitation de la providence, son daimon est un dieu. Parfaite image du Bien, Socrate est le modèle du maître qui s'est assimilé au divin et peut conduire les âmes moins avancées vers le savoir. L'art érotique implique aussi une connaissance de l'amour (Eros), envisagé dans sa dimension cosmologique et théologique, à partir des Oracles chaldaïques, comme lien universel. Le dialogue de l'Ecole d'Athènes vise bel et bien ici, au Ve siècle après Jésus-Christ, à redonner ses titres de noblesse à l'Eros et à la figure de Socrate. Cette étude propose une analyse inèdite de l'érotique et de l'amour, ainsi que du discours socratique entre rhétorique et dialectique, dans le commentaire sur le Premier Alcibiade. Elle fournit aussi des repères solides sur la tradition exégétique du Banquet et du Phèdre dans le néoplatonisme post-plotinien."(4e de couv)

Résumé : Réflexion autour de la prosopopée, figure de style consistant à faire parler des êtres inanimés, des choses, des animaux, des morts ou des abstractions. A la croisée de la littérature et de la philosophie, l'auteur met en lumière les usages, les fonctions et les enjeux à l'oeuvre dans ce procédé rhétorique.

Résumé : Contributions en hommage au médiéviste Jean Wirth, ainsi qu'à son oeuvre. Elles abordent différentes thématiques qui reflètent la vitalité des humanités et l'impact de cet historien d'art.

Résumé : La 4e de couverture indique : "Plato amicus sed — (« Platon est un ami, mais — ») : le frontispice calligraphié du grand cours que Nietzsche donna sur Platon à l’Université de Bâle, dès l’hiver 1871-1872 et jusqu’à la fin de son activité de professeur de philologie, dit déjà l’essentiel. Platon a toujours obsédé Nietzsche, lequel fit de lui son plus grand adversaire. Les œuvres publiées ou destinées à la publication par Nietzsche portent régulièrement la trace de cette joute philosophique. Mais celle-ci s’est nourrie d’un cours de philologie, dont on donne ici pour la première fois une traduction française intégrale, élaborée de manière critique à partir des manuscrits. Platon, de la « génération de la peste », comme le souligne à maintes reprises le cours, y est sourdement mis en opposition à Thucydide, comme le fera explicitement par la suite le Crépuscule des idoles. Mais le philosophe athénien est surtout réintégré dans le complexe littéraire spécifique de l’Antiquité, qui ne produisait pas de « littérature » à proprement parler, ce qui permet de dégager la figure d’un Platon comme « révolutionnaire de la plus radicale espèce ». À côté de ce cours se trouve en outre une courte et dense introduction de Nietzsche pour l’étude de l’Apologie de Socrate, trop méconnue à ce jour. Appuyée sur ses connaissances en rhétorique (domaine auquel il consacra plusieurs cours), cette brève ouverture magnifie comme jamais sous la plume de Nietzsche le talent de Platon.". Traduction intégrale du grand cours sur Platon, donné par F. Nietzsche entre 1872 et 1879, mettant en valeur sa portée philosophique et philologique et soulignant la lecture morale et politique qu'il fait du philosophe grec, considéré comme révolutionnaire radical. Le volume contient également une courte introduction à l'Apologie de Socrate. ©Electre 2019

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