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  •    Sujet : Film (film ; 1965)
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Résumé : "L'orgue est un personnage, jamais un accompagnateur". Thierry Escaich, compositeur et organiste (titulaire de l'orgue de Saint-Etienne du Mont à Paris), présente son oeuvre, son itinéraire et son univers d'inspiration "au miroir" des compositions de Bach. Un jeu de portraits qui éclaire les liens du répertoire classique au mouvement de la création contemporaine. Le film le suit au travail, chez lui, en cours au Conservatoire National Supérieur de Musique de Paris, en répétition et en concert. La seconde partie du film est consacrée aux répétitions d'une de ses oeuvres par l'ensemble vocal Sequenza 93.

Résumé : Comment montrer l'Histoire ? Comment parler d'un souvenir aussi vibrant que la pellicule Super 8 sur lequel il est inscrit ? Lorsque la mère d'Olivier Py achète en 1961 une caméra Super 8, elle commence par filmer la mer puis tourne l'appareil sur sa famille. Ces êtres chers, elle les maintient toujours dans le cadre de l'objectif comme pour les préserver de l'Histoire qui se joue en hors-champ. Le réalisateur se souvient de son origine pied-noir, des affrontements, des voitures plastiquées, de la mer et cette "mère" également, douce et vaillante qui soutenait leur famille rattrapée par l'Histoire et les "événements d'Algérie". Exhumés après vingt-cinq ans, des films 8 millimètres donnent lieu à une méditation sur le destin d'une famille et d'une génération. Méditerranées est une autofiction, l'histoire d'un couple, d'une famille, qui se confond avec l'histoire de l'Algérie et de la France des années 1960. Le regard d'Olivier Py est à la fois lucide et nostalgique. Méditerranées est une magnifique ode qui insuffle aux images d'archives une nouvelle forme de poésie. Sur le film sensible, les années s'écoulent suivant le rythme du cliquetis de l'appareil de projection et du ressac de cette mer au centre de tout. Ici la guerre est en coulisse, mais qu'est-ce qu'une image de la guerre finalement ? Grand Prix, Festival Doc en courts, Lyon, 2012.

Résumé : "Dernier témoignage consacré à la vie de Nat King Cole Une légende qui apporta une lueur d’espoir aux noirs américains pendant les années cinquante. Le film est construit à partir des journaux intimes de Nat King Cole, confiés par sa veuve au réalisateur Jon Brewer. Le film recueille les derniers mots de Maria Cole qui évoque sa vie avec l’artiste. Il nous fait également découvrir Magic Window et What to Do, 2 titres inédits qui ont récemment été exhumés des studios Capitol." (source éditeur). Avec les témoignages de : Harry Belafonte, George Benson, Tony Bennett...

Résumé : Avec Natalie Dessay, sur les traces du plus populaire des compositeurs d'opéra, et de tous les secrets de son art. La soprano française Natalie Dessay part sur les traces de Giuseppe Verdi, le plus grand représentant du mélodrame italien, mais aussi le symbole d'une nation en pleine unification, le compositeur d'un peuple qui se soulève contre la tyrannie. Attaché à sa terre, à sa patrie, à sa langue, Verdi a su écrire des mélodies puissantes et créer des personnages universels. Que représente-t-il aujourd'hui ? Visite notamment du hameau de Roncole, où il est né, et de Milan, où il crée à la Scala son premier opéra, "Oberto", en 1839. De grands interprètes lyriques comme Rolando Villazn, Ruggero Raimondi ou Roberto Alagna, et des metteurs en scène comme Robert Carsen ou Giorgio Barberio Corsetti, témoignent de leur passion pour le maestro.

Résumé : Andrei Ujica réalise un montage, à partir d'archives de la télévision et de la cinémathèque nationale roumaines de l'époque, sans commentaire ajouté, consacré à l'homme politique à la tête de Etat roumain de 1965 à 1989, qu'il intitule "L'Autobiographie de Nicolae Ceausescu". Pourquoi ce titre? Comme il le dit à Jacques Mandelbaum, dans un article du Monde du 12.04.2011 : "Je suis parti d'une observation simple : tout le matériau que j'avais à disposition relevait de la propagande. Autrement dit, toutes les images existantes du dictateur ont été commandées et avalisées par lui. jJe ne pouvais pas sortir de ce registre, sauf à faire un documentaire pédagogique ou un film de fiction." S'ouvrant et se fermant sur l'interrogatoire, le 22 décembre 1989, du couple Ceaucescu en fuite, récemment capturé, et sommairement exécuté peu après (A.Ujica en épargne au spectateur les images), le film se présente comme un flash back de trois heures passionnantes, où le dictateur verrait défiler sous ses yeux les souvenirs accumulés pendant plus de vingt ans d'exercice du pouvoir, images inconnues jusqu'ici "à l'Ouest", dont l'agencement dans le film donne à réfléchir tant sur la politique mondiale de l'époque, sur la dictature, que sur la dimension esthétique et politique des images.

Résumé : Le film est construit sur la voix d’Audiberti dans ses entretiens avec Georges Charbonnier (1962) et à partir de nombreux textes d’Audiberti lus par le comédien Bruno Raffaelli sur la scène du théâtre de La Huchette. Plusieurs témoignages complètent ce riche portrait du poète, du prosateur, de l'auteur de théâtre, du « critique » de cinéma : ceux de Yann Queffelec, de Georges Vitaly, de Jacques Baratier, de Marcel Maréchal, et, en archives, ceux de Jean Paulhan, de Gaston Bachelard et de François Truffaut. Le film donne envie de se replonger dans l’œuvre ou de la découvrir. Extraits notamment de : "Race des Hommes", "Cent jours", "Les Tombeaux ferment mal", "Dimanche m’attend", "Ange aux entrailles", "Monorail", "La Nâ", "Audiberti/Paulhan", "Toujours", "Des tonnes de semence", "Rempart", "J'ai fini ma semaine".

Résumé : Ce n'est pas une enquête sur la mort de Mehdi Ben Barka, disparu à Paris en octobre 1965 : le film retrace la vie de cet opposant marocain. Issu d'une famille modeste, passionné de mathématiques et de politique, d'une intelligence hors pair, il fut l'un des dirigeants nationalistes dans la lutte du Maroc pour son indépendance; plus tard, en exil, il devint l'un des leaders du mouvement tiers-mondiste des années soixante. A travers l'itinéraire politique de celui-ci, le film évoque l'histoire récente du Maroc, la décolonisation et les premiers pas de l'Indépendance quand les monarchistes et les partisans de l'Union nationale des forces populaires (UNFP) créee par Ben Barka s'affrontent. "Qui va gouverner le Maroc?, le roi ou les hommes politiques? Comment se partageront-ils le pouvoir? selon quelle formule?. C'est cela l'équation marocaine". Ben Barka va tenter de résoudre ce problème mais ni lui ni ses héritiers n'y parviendront.

Résumé : En publiant L'attrape-Coeurs en 1951, Jerome David Salinger entre dans l'histoire de la littérature américaine. Malgré son énorme succès, il se retire du monde en 1965 pour une raison mystérieuse. N'accordant plus la moindre interview depuis, se refusant à toute caméra, Salinger est devenue une légende vivante. Bien résolu à percer son mystère, Frédéric Beigbeder décide de partir sur les traces de son auteur préféré. Il rencontre en chemin d'autres héritiers spirituels de l'écrivain américain: Marie Darieussecq, Eric Neuhoff, Nicolas Rey, Nicola Sirkis, Jonathan Ames, Bruce Benderson, Jay McInerney, Rick Moody, Stewart O'Nan et Ellis Paul.

Résumé : En 1924, à Pessac, dans la banlieue Bordelaise, deux "idéalistes" concrets, Henry Frugès et Charles Edouard Jeanneret décident de construire "une cité jardin" pour les ouvriers. Le premier est un riche industriel sucrier, héritier de la grande tradition des patrons humanistes du XIXème qui veut loger son personnel dans le confort, et le second est un architecte au nom encore inconnu de Le Corbusier. Presqu’un siècle plus tard, avec le concours des habitants actuels, certains héritiers des maisons de leurs parents ou grands parents, d’historiens et d’architectes, nous racontent l’histoire de cette cité inventée par Le Corbusier. La cité de Pessac un laboratoire "exceptionnel" de l’habitat social et un des "gestes" précurseur de l’architecture moderne du grand architecte. Classé Monument Historique depuis le début des années 80, en passe d’être inscrites au Patrimoine Mondial de l’Unesco, les maisons populaires de la cité Frugès sont devenues l’objet de toute les curiosités !

Résumé : Trois chorégraphes, William Forsythe, John Neumeier, Ushio Amagatsu et deux interprètes, Sylvie Guillem et Patrick Dupont travaillent sous le regard de la caméra du réalisateur André S. Labarthe. Il n'y a pas d'échange entre eux et lui, simplement les séquences de répétitions, parfois quelques séquences extérieures dans une rue à Paris ou à New York, des extraits de ballets suivis des applaudissements. Et en off, les impressions de Labarthe "portées par la voix de Jean-Claude Dauphin". DVD 1 : Le film "Silvie Guillem au travail" montre la star de la danse française répétant Raymondo dans la version de Noureev, Four Last Songs, In the Middle, Somewhat Elevated de Forsythe ainsi que La Luna de Béjart. Dans "William Forsythe au travail", le réalisateur recueille les réflexions du chorégraphe pendant ses répétitions avec les danseurs du New York City Ballet et du Ballet de Francfort. DVD 2 : Le film "Patrick Dupond au travail" laisse éclater à l'écran la fougue du jeune danseur déambulant dans les rues de New York ou en train de visionner des bobines filmées lors de sa préparation au concours d'étoile. Dans "Ushio Amagatsu, éléments de doctrine", le chorégraphe (un des grands maîtres de la danse butô) s'exprime pendant les répétitions de la pièce "Graine de Kumquat". DVD 3 : Le dernier film "John Neumeier au travail" saisit les moments où Neumeier fait travailler les danseurs du ballet de l'Opéra à "La Passion selon Saint Matthieu", dans une ancienne fabrique de la banlieue de Hambourg.

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