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Résumé : En mai 1968, la France s'embrase dans un mouvement de contestation inédit qui voit le jour dans les universités avant de s'étendre au monde ouvrier et de paralyser tout le pays. Cette agitation estudiantine et sociale s'inscrit dans une révolte beaucoup plus large qui enflamme toute la jeunesse mondiale qui, au nom des libertés, revendique une mutation profonde de la socièté. Figure emblèmatique du mouvement français, Daniel Cohn-Bendit demeure à jamais le symbole de cette contestation qui a changé de manière irréversible le visage de la France d'après guerre.

Résumé : Dans ce récit écrit en 1847, l'auteur relate sa vie d'esclave dans le Missouri et sa fuite à travers les Etats libres du Nord-Ouest des Etats-Unis pour rejoindre le Canada et gagner sa liberté. Une introduction étudie l'aventure éditoriale de ce récit d'esclave, le replace dans la géographie et l'histoire du Missouri et étudie le rôle du genre dans l'abolition de l'esclavage. ©Electre 2024

Résumé : Né à Grenade à la fin du XVe siècle, élevé au Maroc après avoir été chassé d'Espagne par la Reconquista, Hassan al-Wazzân voyagea en Afrique comme ambassadeur du sultan de Fès. Capturé par des pirates chrétiens en 1518, il fut libéré par le pape Léon X en échange de sa conversion au christianisme. Devenu Léon l'Africain, il écrivit des traités de géographie et enseigna l'arabe en Italie...

Résumé : Cet ouvrage unique sur les guérillas anti-franquistes de 1936 à 1960 comble un véritable vide historiographique.  Une fois la guerre civile espagnole (1936-1939) terminée, des milliers d'hommes et de femmes républicains furent contraints de fuir et de se cacher dans les zones les plus inhospitalières d'Espagne. Au sein des montagnes se forgea une authentique organisation de résistance antifasciste : le maquis, qui fut le mouvement d'opposition le plus conséquent au régime de Franco.Considérés comme des héros en France, ces guérilleros furent traités en délinquants, assassins, criminels et bandits de grand chemin dans leur pays. Ils formèrent des foyers qui ont fait vaciller le régime. Ce dernier s'est chargé de les effacer de l'histoire officielle. Face à l'impossibilité d'en parler librement, la mémoire de ce mouvement a survécu grâce aux témoignages que ces protagonistes et leurs proches ont transmis à leurs enfants.Maquis reconstitue cette épopée en détail, assemblant pour la première fois tous les morceaux du puzzle. On y suit les premières guérillas autonomes, le rôle des services secrets anglais et américains durant la Seconde Guerre mondiale, les conséquences de la guerre froide, le retour de l'état de guerre dans plusieurs régions, la fabrication de faux maquis par le régime, les nouveaux massacres qu'il va déclencher et l'incompétence criminelle des partis républicains en exil. L'auteur évoque aussi les guérillas urbaines, dont certaines perdureront jusqu'aux années 1960.Secundino Serrano est l'un des meilleurs spécialistes en études anti-franquistes. Il s'est basé sur une documentation exhaustive pour recueillir ce legs, le nettoyant du mythe et des légendes. Il tire ainsi de l'oubli l'un des chapitres les plus méconnus de l'histoire espagnole : la guerre de « Ceux des montagnes » pour la liberté.  Secundino Serrano est historien spécialiste de l'après-guerre d'Espagne et de l'exil républicain. Professeur agrégé de géographie et d'histoire, il a...

Résumé : Lorsque nombre d’historiens européens racontent l’histoire du monde, ils ont toujours tendance à donner à l’Europe le beau rôle : c’est ici que sont nés l’individualité, la démocratie, la liberté, le capitalisme, et c’est ici, et nulle part ailleurs, qu’ont prospéré des sciences en continuel progrès. Certains attribuent cette supériorité à son climat tempéré, à son comportement sexuel modéré, à sa famille nucléaire, à sa religion chrétienne ou à sa mentalité rationnelle. Les « autres », Chinois, Indiens ou Africains, seraient moins bien lotis : climat défavorable, sexualité débridée, emprise de la collectivité, « despotisme oriental », poids des superstitions, mentalité traditionnelle où domine le sens pratique. Et tant les manuels scolaires que les disciplines académiques ont leur part de responsabilité dans le récit de cette distribution inégale. Histoire, géographie, mais aussi anthropologie, démographie, économie, philosophie, psychologie et sociologie sont ainsi mises au banc des accusées. De nombreux intellectuels, comme Lévy-Bruhl, Piaget ou Jung, mais surtout Max Weber, dont l’influence est aujourd’hui si grande, n’ont cessé d’alimenter les préjugés et, ce faisant, ont contribué à l’effort colonial en le justifiant théoriquement. Or, s’il peut bien exister des différences de trajectoire entre les sociétés, elles ne ressortissent ni aux techniques, ni à la cognition, ni à la culture et encore moins à la civilisation, mais relèvent de part en part de l’histoire et de la politique coloniale et remontent, pour l’essentiel, à 1492, date à partir de laquelle les métaux précieux venus d’Amérique déferlèrent sur l’Europe. Blaut relit l’histoire du monde à l’aune de cet événement en instruisant méticuleusement chacun de ces dossiers. Ce faisant, il nous fait enfin comprendre les causes véritables de l’essor européen, en mettant à distance le narcissisme culturel avec lequel nous sommes d’ordinaire si prompts à envisager l’histoire du monde. - Note de l'éditeur

Résumé : Considérée comme un espace architectural, pédagogique, politique et social, la cour de récréation est étudiée par une vingtaine de chercheurs aux spécialistés variées (sciences politiques, histoire, sciences du langage, culture architecturale, science de l'éducation, géographie, sociologie). Parmi les sujets abordés : l'architecture des cours de récréation au 19e et 20e siècles, les cours d'écoles pré-primaires en Indedu Sud, la mixité dans les cours de récréation, la cour de récréation dans le cinéma français. (source : Archiscopie). La 4e de couv. indique : "Depuis plusieurs siècles, les élèves disposent d’un lieu particulier pour se détendre et pour jouer quand ils ne sont plus en classe : la cour de récréation. Cet espace, dans lequel nous sommes tous passés, est devenu tellement banal qu’on oublie qu’il a lui aussi une histoire. Dans cet ouvrage, les meilleurs spécialistes nous éclairent sur ce qui se joue dans les cours de récréation du XVIe siècle à nos jours. Historiens, sociologues, anthropologues, géographes ou pédagogues nous rappellent qu’en France, en Inde ou au Québec, les cours ont été pensées par les architectes et intégrées dans les réflexions et les pratiques pédagogiques. La cour est aussi un formidable espace social où les enfants se forment à la vie collective et où pénètrent les débats qui agitent la nation, comme ceux sur la mixité, les signes religieux ou la violence. C’est bien sûr un espace culturel spécifique, celui où se transmettent, de génération en génération, des cultures enfantines. Celles-ci doivent parfois lutter contre les représentations et les réglementations des adultes, qui peuvent les menacer. La littérature, la peinture, le cinéma se sont approprié cet espace. La riche iconographie de cet ouvrage donne à voir les multiples représentations de la cour de récréation et accompagne des textes documentés et accessibles à un large public. Le colloque qui l’a précédé s’est tenu à l’abbaye-école de Sorèze, lieu majeur d’éducation pendant trois siècles. Un texte de 1786 nous dit même que c’est dans la cour, loin des parents et des enseignants, que se formaient les caractères."Sommaire Avant-propos. La cour de récréation par Caroline Barrera, maître de conférences en histoire, institut national universitaire Champollion / FRAMESPA et Rémy Cazals, professeur émérite d’histoire, université Toulouse-Jean Jaurès / FRAMESPAL’architecture des cours de récréation par Anne-Marie Châtelet, professeure d’histoire et de culture architecturales, école nationale supérieure d’architecture de Strasbourg / ARCHE université de StrasbourgLa cour de récréation des lycées du XIXe siècle : entre vitrine d’établissements d’excellence et contraintes urbaines par Solenn Huitric, doctorante en histoire de l’éducation, école normale supérieure de Lyon / LARHRALa cour de récréation, sujet de carte postale (1900-1930) par Jean-Claude Lescure, professeur d’histoire contemporaine, université de Cergy-Pontoise / AGORALa cour de récréation révolutionnée (de la fin de l’Ancien Régime à l’Empire) par Côme Simien, doctorant en histoire moderne, université Blaise-Pascal de Clermont-Ferrand / CHECÉloge de la récréation dans le Dictionnaire de pédagogie (1882-1887) par Patrick Cabanel, historien, directeur d’études, École pratique des hautes études / GSRLDans la cour, hors la cour, entre contraintes et libertés éducatives par Hervé Terral, professeur de sociologie, université Toulouse-Jean Jaurès / LISSTLa cour de récréation des manuels d’apprentissage de la lecture (1880-1980) par Pierre Boutan, maître de conférences honoraire en sciences du langage, faculté d’éducation / université de Montpellier / DIPRALANGLa cour de récréation dans les pratiques Freinet par Ségolène Le Mouillour, maître de conférences en sciences de l’éducation, université catholique de l’Ouest / PESSOALa cour de récréation, lieu d’expression politique par Céline Piot, docteure en histoire, ESPE d’Aquitaine / CEMMCLa cour de récréation au Québec et les politiques publiques par Jean Bernatchez, professeur en sciences politiques, université du Québec / APPSOLes cours d’écoles pré-primaires en Inde du Sud par Émilie Ponceaud-Goreau, doctorante en géographie, université de Bordeaux III / PASSAGESL’apprentissage de la civilité dans les cours des collèges et des pensionnats du XVIe au XVIIIe siècle par Guy Astoul, professeur agrégé honoraire d’histoire, FRAMESPALa mixité dans la cour de récréation, un long cheminement par Anne Verdet, maître de conférences en sociologie, université d’Orléans / CEPOCLa cour de récréation et le genre dans la littérature de la Belle Époque par Fabien Knittel, maître de conférences en histoire contemporaine, université de Franche-Comté / LSHPar quoi la récréation est-elle menacée ? Représentations d’adultes, pratiques enfantines par Julie Delalande, professeure en sciences de l’éducation, université de Caen Normandie / CERSEPar quoi la récréation est-elle menacée ? Représentations d’adultes, pratiques enfantines par Yan Bour, docteur en anthropologie, université Nice Sophia Antipolis / LAPCOSLa cour de récréation dans le cinéma français. De l’espace partagé au lieu de pouvoir par Michel Cadé, professeur émérite, université de Perpignan Via Domitia, président de la Cinémathèque Euro-régionale – Institut Jean-VigoLa cour de récréation à l’écran. Une école de liberté ? par Yohann Chanoir, docteur en anthropologie, université Nice Sophia Antipolis / LAPCOSConclusions. De la cour aux cours de récréation par Antoine Prost, professeur émérite d’histoire, université de Paris I / Centre d’histoire sociale du XXe siècle

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