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  •    Sujet : Indiens d'Amérique -- Relations avec l'État
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Résumé : Une synthèse de l'histoire des Amérindiens et des Inuits du Québec ainsi que la difficile coexistence entre autochtones et non-autochtones en terre québécoise.

Résumé : Les Indiens du Brésil, soit plus de 230 peuples et 125 langues différentes, se sont durablement installés dans l'espace politique. Cette plongée dans les coulisses des mobilisations indiennes, qui mêle la sociologie des mouvements sociaux et l'anthropologie, vise à penser d'un seul tenant une réalité composée d'une multitude d'univers ethnologiques.

Résumé : Synthèse concernant les guerres d'indépendance au Mexique et en Argentine et la place des Indiens dans ces luttes : repères chronologiques, analyses thématiques, documents et outils méthodologiques.

Résumé : Etude des enjeux politiques, juridiques, sociaux et économiques devant lesquels se trouve l'Etat bolivien depuis les réformes politico-territoriales adoptées dans les années 1980 afin de définir une relation équilibrée avec les peuples autochtones. Une approche de la territorialité autochtone fondée sur l'étude de la création d'un des territoires tsimanes, celui du Pilon Lajas.

Résumé : Le paradigme hégélien de la reconnaissance, admirablement critiqué par Fanon dans l'oeuvre phare à laquelle ce livre de rend hommage, est aujourd'hui évoqué sous sa forme libérale dans les débats entourant l'autodétermination des peuples autochtones d'Amérique du Nord. Politologue et militant, membre de la nation Dené du Nord-Ouest du Canada, l'auteur reprend ici la critique fanonienne et démontre en quoi cette reconnaissance ne fait que consolider la domination colonialiste. Il appelle à redéployer les pratiques culturelles autochtones sur la base de l'autodétermination, seule voie vers le décolonisation. Penseur marxiste, Coulthard signe ici un véritable traité de lutte décoloniale et anticapitaliste. - Note de l'éditeur

Résumé : Over the past forty years, recognition has become the dominant mode of negotiation and decolonization between the nation-state and Indigenous nations in North America. The term “recognition” shapes debates over Indigenous cultural distinctiveness, Indigenous rights to land and self-government, and Indigenous peoples’ right to benefit from the development of their lands and resources. In a work of critically engaged political theory, Glen Sean Coulthard challenges recognition as a method of organizing difference and identity in liberal politics, questioning the assumption that contemporary difference and past histories of destructive colonialism between the state and Indigenous peoples can be reconciled through a process of acknowledgment. Beyond this, Coulthard examines an alternative politics—one that seeks to revalue, reconstruct, and redeploy Indigenous cultural practices based on self-recognition rather than on seeking appreciation from the very agents of colonialism. Coulthard demonstrates how a “place-based” modification of Karl Marx’s theory of “primitive accumulation” throws light on Indigenous–state relations in settler-colonial contexts and how Frantz Fanon’s critique of colonial recognition shows that this relationship reproduces itself over time. This framework strengthens his exploration of the ways that the politics of recognition has come to serve the interests of settler-colonial power.. - Note de l'éditeur

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