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Résumé : Présentation de la collection de dessins orientalistes du Musée Condé, à Chantilly. Ce mouvement débute en France en 1832 avec le voyage de Delacroix au Maroc, dont le musée conserve un album. Il se développe ensuite avec le romantisme, rassemblant des artistes de sensibilités parfois opposées, témoignant de l'intérêt du XIXe siècle pour les cultures d'Afrique du Nord et de l'Empire ottoman. ©Electre 2022

Résumé : Cette exposition va regrouper plus d'une centaine d'oeuvres, dont une quinzaine de tableaux de Renoir, réalisées durant le demi-siècle qui a vu s'amplifier en France, entre 1832 et 1882, la vogue des sujets algériens, tandis qu'avait lieu la colonisation du pays. L'exposition et ce catalogue rappellent ce que Renoir doit à ses prédécesseurs ainsi qu'à sa quête orientalisante.

Résumé : Dans ce catalogue, les auteurs traitent des origines indo-persanes et des versions arabes des Mille et une nuits, des personnages emblématiques de l'oeuvre, tels Shéhérazade, Sindbad ou Aladin, des traductions européennes de ce monument littéraire, et de son influence sur l'iconographie, la culture et les fantasmes occidentaux.

Résumé : Des contributions sur la place, similaire, qu'ont accordée G. Flaubert et H. Berlioz à l'Orient dans leurs oeuvres et leurs aspirations. Contemporains de l'orientalisme romantique, de la vogue des féeries aux grandes mises en scène orientalisantes, ils apportent leur contribution à une rénovation de ses formes et de ses thèmes. ©Electre 2022. « Voilà un homme ! et un vrai artiste ! » écrit Flaubert à la lecture de la correspondance inédite de Berlioz, ajoutant : « Que ne l’ai-je mieux connu, je l’aurais adoré ! » Berlioz et Flaubert n’ont pas eu le temps de nouer une longue amitié. Ils se rencontrent seulement en 1863 : le musicien enthousiasmé par Salammbô y a consacré un passage dithyrambique de sa Revue musicale de décembre 1862. Tandis que l’écrivain veut faire adapter son roman pour l’opéra, le compositeur est occupé par la préparation des Troyens. Mais il sollicite le romancier car il a besoin de « quelques conseils pour les costumes phéniciens et carthaginois. »Amis posthumes en quelque sorte, Flaubert et Berlioz ont accordé à l’Orient une place similaire dans leurs œuvres et leurs aspirations. Contemporains de l’orientalisme romantique, de la vogue des féeries et des grandes mises en scène orientalisantes, ils ont à leur tour apporté leur contribution à une rénovation de ses formes et de ses thèmes. Sous la direction de Cécile Reynaud et Gisèle Séginger, Berlioz, Flaubert et l’Orient, ouvrage richement illustré, réunit un ensemble de contributions des meilleurs spécialistes du sujet. Cécile Reynaud, ancienne pensionnaire de l’Académie de France à Rome, directrice d’études en musicologie à l’École Pratique des Hautes Études (équipe SAPRAT), est spécialiste du romantisme musical. Elle a été commissaire ou co-commissaire de nombreuses expositions (la dernière, « Paris romantique 1815-1848 », en 2019 au Petit Palais), publié et dirigé plusieurs ouvrages sur Berlioz (le dernier, Berlioz et Paris, est à paraître en 2023), Chopin et Liszt. Gisèle Séginger est professeure à l’université Gustave Eiffel et membre honoraire de l’Institut universitaire de France. Elle est spécialiste de la littérature du xixe siècle et a publié plusieurs études sur Flaubert, notamment L’Orient de Flaubert en images (Citadelles et Mazenod, 2021), ainsi que des éditions de ses textes aux éditions Gallimard (Bibliothèque de la Pléiade) et Flammarion (GF).

Résumé : Présente des dessins et des photographies témoignant de l'architecture du Caire au XIXe siècle. Nombre des bâtiments représentés ont disparu.

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