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  •    Sujet : Kabylie (Algérie)
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Résumé : L'intérêt du livre est de détailler les développements politiques internes de la Grande Kabylie pour la période comprise entre la chute d'Alger et l'effondrement du système turc en juillet 1830. Toute l'Algérie rurale se retrouva alors dans uns situation d'autonomie.

Résumé : Une analyse du cinéma amazigh, perçu comme un prolongement de la lutte pour la reconnaissance de l'identité berbère. Ses spécificités témoignent du renouvellement des thèmes du cinéma algérien ainsi que d'une volonté de rupture avec le milieu professionnel symbolisé par les réalisateurs travaillant pour les entreprises étatiques. ©Electre 2022

Résumé : Dans les sociétés de tradition orale, le poids de la parole est lié à celle du mâle. La société kabyle est connue pour son code paroxystique de l'honneur et pour être le creuset d'une civilisation méditerranéenne ancienne, où l'homme occupe un statut hautement valorisé. Difficile alors pour des femmes kabyles, cantonnées dans ce système, de confectionner de la poésie. La poésie féminine kabyle joue un rôle singulier, celui de dénoncer l'ordre dominant, son dysfonctionnement, ses injustices et ses hypocrisies. Les femmes représentent ainsi malgré elles ce corps soumis, mais révélateur d'une histoire collective inscrite dans les structures sociales et mentales de toute la société.

Résumé : Le colonel Robin retrace l'épopée du chérif Bou Bar'la (ou Boubaghla) qui, à la fin des années 1840, prit la tête d'une insurrection contre l'armée française alors en pleine conquête de l'Algérie. Il parvient à soulever la quasi totalité des tribus de Grande Kabylie et mena de nombreuses expéditions meurtrières avant d'être arrêté en 1854. Deux textes analysent les spécificités de cette révolte. ©Electre 2017

Résumé : Ce livre ouvre une autre fenêtre sur la conquête et la colonisation de l'Algérie. La violence de la conquête, qui avait ravagé l'Algérie, souleva maints questionnements de la part d'intellectuels français et algériens sur les massacres et les pratiques génocidaires de cette guerre de conquête et de colonisation. La description des crimes et des atrocités commis sur les populations algériennes créa un tel traumatisme que les anciens Kabyles qualifièrent les actes barbares de l'armée coloniale de « crimes que la langue ne peut pas supporter » (Ayen ur w'ur izmir yiles). En 1834, à son retour d'Algérie, une mission parlementaire dressait un bilan ne laissant aucun doute sur « la logique génocidaire » de l'armée coloniale. Ce fut également le constat d'Alexis de Tocqueville qui, en 1835, reprit les mêmes mots pour qualifier cette conquête. À partir de 1837, avec l'arrivée de « la Légion étrangère », commandée par le colonel Achille de Saint-Arnaud que Victor Hugo surnomma « le chacal », les massacres perpétrés en Algérie prirent alors une dimension inhumaine. Même certains officiers ont fini par être révulsés par les carnages de leurs soldats. La majorité des Berbères est arabisée : il suffit de négliger la langue d'un peuple, pour que celui-ci cesse d'exister. D'éminents historiens Charles André Julien, Robert et Marianne Cornevin qualifièrent « L'insurrection algérienne de 1871 », de « première guerre d'indépendance ».

Résumé : Sous la forme d'un récit du voyage initiatique de deux enfants en Kabylie, l'ethnologue propose une introduction à ce pays et à sa culture. Les paysages, l'histoire, l'économie montagnarde (agriculture, commerce, artisanat) et l'organisation sociale traditionnelle sont notamment abordés. S'adresse aux jeunes gens issus de l'immigration désirant renouer avec leur culture d'origine.

Résumé : L'auteur conjugue la démarche de l'anthropologue et celle de l'historien.

Résumé : Histoire de la Kabylie orientale, des Numides et des Kutama jusqu'à l'occupation coloniale. A travers les siècles, l'auteur étudie l'origine de la population et son particularisme culturel et social.

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