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Contenu : No hotel. You don't go away. Highway to your heart. Happy hurts. Carousel. 5D. Over. &i

Résumé : Anthony habite une petite ville portuaire au bord de la Méditerranée. ̕l'école, il apprend à réparer des bateaux, et avec ses copains, il vit mille aventures et petites histoires. Le problème d'Anthony, c'est qu'il parle trop, qu'il bouge trop, qu'il se bat trop aussi. ̕l'approche de ses dix-huit ans et de l'examen du CAP, ses professeurs lui demandent de grandir, de devenir adulte. "Changer, c'est difficile" leur rétorque-t-il. Pourtant, cet été, le jeune homme a découvert quelque chose à propos de lui même : sous l'eau, il est différent.

Résumé : À qui veut bien l'entendre met en scène les acteurs de l'improbable milieu du Noise et des musiques bruitistes ou extrêmes. Ces artistes ont fait le choix de la transgression dans une démarche jusqu'au-boutiste sous des formes pour le moins diverses. ̕partir de la voix, d'objets usuels détournés ou d'instruments de leur fabrication, ils développent leur propre langage et bousculent sans ménagement l'auditeur, le plongeant dans des univers sonores aux topographies inconnues. Réunis en huit clos pour les besoins du film, ces neuf turbulents artistes français, européens et sud-américains confrontent et interrogent leurs pratiques. L'occasion pour chacun de nous faire partager une performance inédite...

Résumé : Céleste Albaret fut la gouvernante et la seule confidente de Marcel Proust pendant les huit dernières années de son existence, durant lesquelles il acheva l'écriture de son chef-d'oeuvre - elle est d'ailleurs une des clefs du personnage de Françoise dans La Recherche. Jour après jour, elle assista dans sa vie, son travail et son long martyre, ce grand malade génial qui se tua volontairement à la tâche. Après la mort de Proust en 1922, elle a longtemps refusé de livrer ses souvenirs. Puis, à 82 ans, elle a décidé de rendre ce dernier devoir à celui qui lui disait : Ce sont vos belles petites mains qui me fermeront les yeux. Les souvenirs de Céleste Albaret ont été recueillis par Georges Belmont. Avec une grande justesse, Lara Suyeux nous livre le témoignage unique et passionnant de Céleste Albaret. Une lecture essentielle, qui éclaire d'un jour nouveau l'étonnant Marcel Proust.

Contenu : Suite française No. 1 in D minor, BWV 812 : I. Prélude. Suite française No. 1 in D minor, BWV 812 : II. Allemande. Suite française No. 1 in D minor, BWV 812 : III. Courante. Suite française No. 1 in D minor, BWV 812 : IV. Sarabande. Suite française No. 1 in D minor, BWV 812 : V. - VI. Menuet I & II. Suite française No. 1 in D minor, BWV 812 : VII. Gigue. Prélude in C minor, BWV 999. Suite française No. 2 in C minor, BWV 813 : I. Allemande. Suite française No. 2 in C minor, BWV 813 : II. Courante. Suite française No. 2 in C minor, BWV 813 : III. Sarabande. Suite française No. 2 in C minor, BWV 813 : IV. Air. Suite française No. 2 in C minor, BWV 813 : V. - VI. Menuet I & II. Suite française No. 2 in C minor, BWV 813 : VII. Gigue. Suite française No. 3 in B minor, BWV 814 : I. Ouverture. Suite française No. 3 in B minor, BWV 814 : II. Allemande. Suite française No. 3 in B minor, BWV 814 : III. Courante. Suite française No. 3 in B minor, BWV 814 : IV. Sarabande. Suite française No. 3 in B minor, BWV 814 : V. Anglaise. Suite française No. 3 in B minor, BWV 814 : VI. Menuet - Trio. Suite française No. 3 in B minor, BWV 814 : VII. Gigue. Suite française No. 4 in E-flat major, BWV 815a : I. Praeludium. Suite française No. 4 in E-flat major, BWV 815a : II. Allemande. Suite française No. 4 in E-flat major, BWV 815a : III. Courante. Suite française No. 4 in E major, BWV 815a : IV. Sarabande. Suite française No. 4 in E-flat major, BWV 815a : V. Gavotte I. Suite française No. 4 in E-flat major, BWV 815a : VI. Gavotte II. Suite française No. 4 in E-flat major, BWV 815a : VII. Air. Suite française No. 4 in E-flat major, BWV 815a : VIII. Menuet. Suite française No. 4 in E-flat major, BWV 815a : IX. Gigue. Suite française No. 5 in G major, BWV 968 : I. Adagio (prélude). Suite française No. 5 in G major, BWV 968 : II. Allemande. Suite française No. 5 in G major, BWV 968 : III. Courante. Suite française No. 5 in G major, BWV 968 : IV. Sarabande. Suite française No. 5 in G major, BWV 968 : V. Gavotte. Suite française No. 5 in G major, BWV 968 : VI. Bourrée. Suite française No. 5 in G major, BWV 968 : VII. Loure. Suite française No. 5 in G major, BWV 968 : VIII. Gigue. Suite française No. 6 in E major, BWV 854/1 : I. Praeludium. Suite française No. 6 in E major, BWV 817 : II. Allemande. Suite française No. 6 in E major, BWV 817 : III. Courante. Suite française No. 6 in E major, BWV 817 : IV. Sarabande. Suite française No. 6 in E major, BWV 817 : V. Gavotte. Suite française No. 6 in E major, BWV 817 : VI. Menuet polonais. Suite française No. 6 in E major, BWV 817 : VII. Petit menuet. Suite française No. 6 in E major, BWV 817 : VIII. Bourrée. Suite française No. 6 in E major, BWV 817 : IX. Gigue. Suite française No. 7 in A minor, BWV 818a : I. Prélude (fort gai). Suite française No. 7 in F minor, BWV 818a : II. Allemande. Suite française No. 7 in A minor, BWV 818a : III. Courante. Suite française No. 7 in A minor, BWV 818a : IV. Sarabande. Suite française No. 7 in A minor, BWV 818a : V. Menuet. Suite française No. 7 in A minor, BWV 818a : VI. Gigue. Suite française No. 8 in E-flat major, BWV 998 : I. Prélude. Suite française No. 8 in E-flat major, BWV 819a : II. Allemande. Suite française No. 8 in E-flat major, BWV 819 : III. Courante. Suite française No. 8 in E-flat major, BWV 819 : IV. Sarabande. Suite française No. 8 in E-flat major, BWV 819 : V. Bourrée. Suite française No. 8 in E-flat major, BWV 819 : VI. Menuet I & II. Suite française No. 8 in E-flat major, F. 28 : VII. Gigue

Résumé : Yassin est afghan, il a dix-sept ans, peut-être dix-huit, seul, sans famille, il est arrivé clandestinement en France et rêve d'obtenir des papiers pour régulariser sa situation... En attendant, il va à l'école chaque matin... Avec candeur et maturité, il raconte son histoire..."Ce qui m'a surtout poussé vers ce film, ce sont les adolescents réfugiés sans famille, les "mineurs isolés demandeurs d'asile", comme les nomme froidement l'administration française. C'est une problématique mal connue, et les chiffres disponibles sont inquiétants. Un mineur sur deux est refoulé dès son arrivée sur le territoire français, et il y a entre 2500 à 3000 enfants étrangers seuls en France sans aucun repère familial. Près de la moitié seulement est engagée dans un processus de demande d'asile, et pas plus de 26 % de statuts ont été attribués à ces mineurs en 2004. Près de 3000 enfants, ça paraît beaucoup, c'est certain. Mais, au regard de la capacité d'absorption d'un pays comme le nôtre, c'est finalement très peu. A mon sens, si le statut de réfugié doit effectivement se discuter pour des adultes dans le strict cadre de la convention de Genève, le refuser à des mineurs sans famille me paraît inacceptable. (...)"(Didier Cros)

Résumé : En mars 1959, tout juste trois mois après la victoire des forces révolutionnaires de Castro sur le régime de Batista, sera crée à La Havane l'ICAIC, Institut cubain de l'art et de l'industrie cinématographique. C'est le premier acte politique culturelle du nouveau régime. Pendant les dix années qui suivront, sous l'égide de cet organisme qui prend le contrôle de la production, mais aussi de la distribution et de l'exploitation, le cinéma cubain connaît un incroyable essor et verra surgir une nouvelle génération de réalisateurs. Les films que vont tourner ces jeunes réalisateurs ne relèvent ni d'une école, ni d'un genre. Il s'agit d'un cinéma populaire dans son essence et dans ses récits. La vague du "réalisme socialiste" n'a pas encore atteint La Havane. C'est l'histoire de cette aventure exceptionnelle - qui a duré huit années - que nous raconte ce documentaire, mêlant interviews et extraits de films.

Résumé : L’armée américaine, présente dans cent quarante-six pays à travers le monde, doit convaincre chaque année quatre-vingt mille jeunes de rejoindre ses rangs. Pour susciter les vocations en l’absence d’un service militaire, elle a mis en place dans les écoles un programme très sophistiqué qui lui permet d’embrigader des milliers d’adolescents : les JROTC ou réserves militaires juniors. Ce programme concerne plus de trois mille établissements scolaires publics, et près de cinq cent mille enfants de quatorze à dix-huit ans. Ils portent l’uniforme à l’école, et leurs cours d’éducation physique sont remplacés par un enseignement dispensé par des militaires à la retraite : cours d’histoire des forces armées, d’instruction civique, de discipline, de préparation physique, et dans certains établissements, maniement des armes sur le campus. Le programme cible en priorité les lycées de banlieues défavorisées et les jeunes issus des minorités à qui l’armée promet une éducation gratuite pour les attirer dans ses rangs. C’est le Pentagone qui finance, avec un budget de plusieurs centaines de millions de dollars, officiellement pour contribuer au "développement de la jeunesse". (source Adavision)

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