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Résumé : Panorama 18 est comme son nom l’indique un véritable panorama de plus de cinquante artistes et de cinquante œuvres exposées au Fresnoy – Studio national des arts contemporains à Tourcoing. L’exposition, sous le commissariat de Laurent Le Bon, rassemble des jeunes artistes du monde de l’audiovisuel et du multimédia, dont le nombre important démontre la volonté évidente du Fresnoy, de diffuser les réalisations de ses diplômés. Les textes du catalogue sont succincts et laissent parfois la parole aux artistes comme Shirley Bruno pour son film Tezen de vingt-huit minutes. Dans Panorama 18, se côtoient installations, films, vidéos, performances et multimédias (comme par exemple dans l’installation A Room of One’s Own où le spectateur intègre un film en portant un casque de réalité virtuelle). Les sujets abordés sont divers, on y parle d’identité, de culture et de religion.

Résumé : Une fois, une seule. Vladimir Poutine ne s'est présenté qu'une seule fois dans le détail et en longueur au peuple russe, et par défaut au reste du monde. C'était en 2000. Alors président de la Fédération de Russie par intérim, il entamait sa toute première campagne présidentielle et a senti le besoin politique de se raconter. Avant cela, pendant quarante-huit ans d'une vie en grande partie dédiée à l'intelligence et au renseignement, il est resté dans l'ombre ou presque. Jamais un chef d'Etat aussi influent sur la scène internationale et sur la durée n'a été aussi mal connu. Le monde a un avis sur son action sans que personne ne connaisse son corpus intellectuel, sa formation, ses réussites et échecs, la manière dont il accorde ou non sa confiance, son rapport au monde... - Note de l'éditeur

Résumé : Les mobilités interrogent nos manières d'habiter la ville. Elles sont rattachées à de multiples approches sociales, contraintes par la géographie de la ville et liées aux énergies disponibles. Leurs déploiements et leurs effets dans l'espace urbain restent cependant peu étudiés comme expérience du quotidien et facteur d'activité. La fréquentation de la ville est principalement observée comme une saturation ou une animation et de manière abstraite et chiffrée. Mais quelle est la nature des mouvements dans les villes, quotidien de 75% des habitants de la planète d'ici à 2050 ?Issue de l'intersection de voies, la ville a tellement grandi que nous ne regardons plus comment les personnes se croisent sur les places. Quelles sont les vitesses, les rythmes, les interactions, les trajectoires, les pauses, les partages sur une place urbaine ? Chaque élément en mouvement dessine des parcours avec des rythmes propres qui sont des facteurs d'animation et de rencontre. Stéphane LEMOINE propose cette exploration à une échelle humaine sur huit cas à travers le monde.

Résumé : Comment Tri Yann a-t-il su traverser quatre décennies sans perdre son public ni son âme ? Parce que le groupe des Trois Jean nantais, devenus huit au fil des ans, s'appuie sur de solides valeurs. Sophie Denis les recense à travers les entretiens menés avec chacun des membres. L'auteur les rapporte dans un ouvrage abondamment illustré (photos de scène, portraits, archives), à la mise en page claire et aérée. Quelques poèmes (François Villon, Paol Keineg, Yvon Le Men) et paroles de chanson viennent étayer les cinq grands thèmes d'engagements des musiciens : « Terre », « Chant », « Langue », « transmission » et « Liberté ». Au fil des pages, les membres de Tri Yann se confient sur leurs passions respectives. Ils se livrent aussi sur leur art, évoquant leurs goûts du costume, du conte, de la langue bretonne ou de l'ouverture musicale. Un CD cinq titres (dont un « Dans les prisons de Nantes » collector), agrémenté d une interview radiophonique de 1971, complète le livre. Par Frédéric Jambon, journaliste au Télégramme

Résumé : Le chasseur Zéro est un avion kamikaze qui, en avril 1945, frappe le cuirassé USS Maryland de la marine américaine durant la bataille d'Okinawa. Laura a alors treize mois quand elle perd son père américain qui était officier sur ce navire. Après cela, sa mère la ramène en France, où elle va grandir entre ses grands-parents et une mère en dehors de la réalité, et tout le monde refusera de lui expliquer la mort de son père. Une amie lui offre un livre écrit par un ex-pilote kamikaze, décrivant l'esprit de sacrifice qui animait ces jeunes pilotes de dix-huit ans, et elle développe une fascination morbide pour le kamikaze du Maryland. Toujours dans sa tête, elle entendra le bruit du chasseur Zéro et rien ne pourra la soigner. Elle gâchera ses études et une belle histoire d'amour, et tente même de se suicider au volant de sa voiture, comme le pilote kamikaze tenant le manche de son avion. Elle survit, mais conserve son obsession. Prix Goncourt 1996.

Résumé : Praxis (la pratique) est l’un des mots clés de l’art contemporain, utilisé dans des contextes allant de la description de la pratique par un artiste à la pratique de la conservation, de la pratique sociale à la recherche basée sur la pratique. Il s'agit de la première anthologie examinant ce que les notions contemporaines de pratique signifient pour l'art, en retraçant leur développement et en spéculant sur les conséquences. Recadrer la question de la pratique offre de nouvelles façons de lire l'histoire de l'art et d'évaluer des formes particulières d'art fondé sur la pratique. (d'après l'éditeur)Artistes examinés : Francis Alÿs, Rasheed Araeen, Arakawa, Kader Attia, Rebecca Belmore, AA Bronson, Judy Chicago, Lygia Clark, Critiacal Art Ensemble, Theater Gates, Andrea Fraser, Madeline Gins, Group Material, Tehching Hsieh, Huit Facettes, Mary Kelly, Henri Michaux, Linda M. Montano, Pauline Oliveros, Yoko Ono, Adrian Piper, Pussy Riot, Raivo Puusemp, Yvonne Rainer, Rammellzee, Gerhard Richter, Miriam Schapiro, Carolee Schneemann, Gregory Sholette, Aliza Shvarts, Situationist International, Jonas Staal, Stelarc, Fiona Tan, Min Tanaka, Tjanpi Desert Weavers, Nadezhda Tolokonnikova, Cecilia Vicuña, Womanhouse

Résumé : Le phénomène des mini-maisons, aussi fascinant que la conception d'une maison, est actuellement à la mode dans diversmédias. Pourtant, l'intérêt pour cette forme architecturale est souvent superficiel, motivé par des fantasmes et des modesde vie. Cependant, en période de grands mouvements migratoires dus aux changements climatiques, aux conflits ou à la pauvreté et au manque de perspectives économiques, il existe une demande urgente pour de nouveaux types d'abris temporaires. Open House aborde le thème du logement temporaire dans l'architecture, l'art, le design et l'aide humanitaire. Dix-huit auteurs internationaux explorent les intentions derrière de telles constructions, leurs principes sous-jacents et le style de vie qu'elles véhiculent. Publié dans le cadre d'un projet de recherche de deux ans et d'une exposition en plein air du même titre à Genève à l'été 2022. Ensemble, le livre et l'exposition rassemblent une quarantaine de créations d'artistes, d'architectes, de designers, d'écoles d'architecture, de chercheurs institutions et organisations humanitaires.

Résumé : Une jeune femme larguée par son mari constate avec stupeur qu'il y a une vie après l'amour. Un adolescent se prend de passion pour l'histoire, les coureurs des bois et Solène Larochelle, la plus belle fille de son école. Une femme qui croyait aimer pour toujours découvre le vrai visage de son homme. Une cycliste voit sa fuite en avant stoppée net par un barrage policier : un homme veut sauter du pont, le temps s'est arrêté. Avec en toile de fond Québec - la basse-ville, la rue Saint-Jean, le boulevard Champlain - et la campagne pour échapper à la peur du vide, les huit nouvelles inédites qui composent ce recueil sont autant de « paysages de vie », de tableaux magnifiquement détaillés, pleins de contrastes et de couleurs vives, peuplés de personnages dépeints avec une sensibilité touchante, un humour fin, un sens de l'image qui vaut mille mots. Natalie Jean a ce que Gabrielle Roy appelait « le don de vue » : l'art de trouver, à travers le gris de l'ordinaire, le petit grain qui brille.Prix de création littéraire de la Ville de Québec (2015)

Résumé : Fils du roi Louis-Philippe, Henri d'Orléans, duc d'Aumale (1822-1897), hérite en 1830 à l'âge de huit ans du domaine de Chantilly de son grand-oncle et parrain le dernier prince de Condé (1756-1830). Brillant général, gouverneur de l'Algérie en 1847, il voit sa carrière brisée par la révolution de 1848. Exilé en Angleterre de 1848 à 1871, le duc d'Aumale se consacre désormais à .ses collections d'objets d'art qui Font aujourd'hui de Chantilly un joyau du patrimoine français. Sans héritier direct depuis la mort de son dernier fils en 1872, le duc commande à Claudius Couton une couverture photographique de Chantilly, puis Fait reconstruire à partir de 1875 par l'architecte Honoré Daumet le Grand Château mutilé depuis la Révolution. Après la reconstruction, il confie en 1885 à Alphonse Chalot, un enfant de Chantilly, les prises de vues du château, témoignage irremplaçable sur la genèse de son accrochage. Ayant installé ses collections dans le château, il lègue le musée Condé à l'Institut de France en 1884, avec interdiction de prêter ses collections et de modifier sa présentation. (4e de couverture)

Résumé : " L'ombre du désastre n'est pas près de s'effacer. " Soixante-dix ans plus tard, l'intuition de Marc Bloch se vérifie plus que jamais : 1940 marque bien le trauma majeur des Français avec lequel ni le naufrage impérial à Waterloo, ni la guerre de 1870 ne peuvent rivaliser. Spécialiste consacré de la Seconde Guerre mondiale et conseiller historique d'oeuvres cinématographiques et télévisées, Jean-Pierre Azéma s'est fait le chroniqueur de cette descente aux enfers. De la signature du pacte germano-soviétique aux premiers élans de la Résistance, de la bataille des Flandres à Mers el-Kébir ou au Blitz de Londres, des hôtels de Vichy aux campements de fortune des " exodiens " et des prisonniers, Jean-Pierre Azéma réussit la gageure de marier, en 30 chapitres, le récit haletant de ces 500 jours qui ont défait la France avec les derniers acquis de la recherche historique. A la fois témoin, historien et enfin écrivain de cette année terrible, Jean-Pierre Azéma est l'un des rares capables de restituer le souffle d'une époque.. En une trentaine de chapitres thématiques, une évocation de la période de l'exode, au début de la Seconde Guerre mondiale, et des huit millions de Français fuyant sur les routes.

Résumé : P. 9. Huit millions d'histoires / Mirko ZardiniP. 23. 1521 : une ère de papier / Marco FrascariP. 33. 1570 : construire avec la géométrie, dessiner avec les chiffres / Mario CarpoP. 45. 1837 : vers une muséologie des architectures algorithmiques générée de l'intérieur / Wolfgang ErnstP. 79. 1884 : histoires du numériques : information, ordinateur et communication / Antoine PiconP. 99. 1895 : machine épistémiques : image et logique / Peter GallisonP. 121. 1943 : l'architecture comme machine : la ville intelligente déconstruite / Orit HalpernP. 177. 1963 : écrans noirs : la vision de l'architecte à l'ère du numériqueP. 193. 1964 : archéologies de l'information / Molly Wright SteensonP. 213. 1970 : l'animal machinique : les réseaux autonomes et la computation comportementaleP. 279. 1987 : devenir natif du numérique : des notes sur une sélection d'artéfacts de l'architecture numérique de la fin du XXe siècle / Greg LynnP. 335. 1991 : au coeur des choses : l'architecture à la rencontre des technologies numériques, de la théorie des médias et de la culture matérielleP. 383. 1992 : les paperless studios dans leur contexte / Stan AllanP. 405. 1992 : la fabrique d'une génération ou comment les paperless studios ont vu le jour / Bernard TschumiP. 421. 2002 : conseils judicieux et dessins clairs : conception et calcul au deuxième âge de la machine / Phil Bernstein

Résumé : "Les Acrobates du ciel" : Fred a suivi un cours de voltige aérienne puis a embarqué à bord d'un Alpha Jet de la Patrouille de France, qui fête cette année ses soixante ans. Il a découvert le travail de huit voltigeurs, sportifs de haut niveau dont l'organisme est mis à rude épreuve. En vol, ils doivent compenser les effets des accélérations qu'ils subissent et évoluer entre deux et trois mètres les uns des autres, à 600 kilomètres/heure, tout en effectuant des figures..., "Les Hommes volants" : Comment notre corps évolue-t-il dans l'air ? Jusqu'à quelle altitude peut-on sauter ? Comment fonctionne un parachute ? Pour le découvrir, Fred nous emmène à Tallard, dans les Hautes-Alpes, pour une série de sauts en tandem. Après son atterrissage en douceur, Fred se rend à Argenteuil, dans le Val d'Oise, pour tester la chute libre dans une soufflerie où les sportifs de haut niveau s'entraînent. Il y rencontre une championne du monde du vol relatif et des freeflyers, qui exécutent une sorte de natation synchronisée dans le flux d'air..., "Dans le secret des commandos" Libération d'otages, lutte contre la piraterie, soutien des troupes au sol : les actions des commandos sont souvent déterminantes. Mais qui sont ces hommes de l'ombre. Fred a été autorisé à participer à l'entraînement de ce corps d'élite basé à Lorient et à Toulon. Dans son camion-laboratoire, Jamy rappelle que ces hommes sont des militaires, qui agissent toujours en dehors de la France, à la différence du RAID ou du GIGN... et "Les Pièges de la montagne" : Pour les amateurs de glisse et d'alpinisme, la montagne est un immense terrain de jeu et un espace de liberté sans limites. Mais elle est truffée de pièges qui peuvent se refermer sur les plus imprudents. Les avalanches, par exemple, tuent chaque année une trentaine de personnes...

Résumé : Quand Marie d Ardillac reçoit dans sa classe un petit élève autiste, c est le déclic. En Simon elle reconnaît Gabriel. Un bout du voile se lève pour elle sur huit années d amour et de souffrance. Aspie je t M est avant tout une histoire d amour bouleversante s adressant à tout public. La rencontre d une femme « normale » et d un homme, autiste de haut niveau, désigné par le terme Asperger. Beaucoup d humour et de bonheur avec le récit de situations décalées mais aussi quelques épisodes plus difficiles qui donnent à l histoire sa profondeur et sa vérité. Les personnes concernées par l autisme et les troubles associés se sentiront quant à elles, avec ce témoignage, moins seules sur le difficile chemin de l amour. « Marie d Ardillac parle un langage d amour qui permet à la fois de nommer la différence et de la faire accepter comme particularité, diversité, richesse de la nature humaine, au-delà de la souffrance. » Claire Antoine, APAC Metz. « Une traversée du miroir, un voyage initiatique vers la différence, balayé par un amour sincère et poignant, un témoignage d'une extrême sensibilité et d'un courage jamais démenti », Maryse Maligne, chercheur en psychopathologie, Poitiers Les chercheurs, les enseignants, les étudiants trouveront ici comme une sorte de chaînon manquant dans la compréhension du TSA.

Résumé : Les vingt-huit volumes in-folio de l’Encyclopédie, ou Dictionnaire raisonné des Sciences, des Arts et des Métiers, par une société de gens de lettres, furent publiés entre 1751 et 1772. Pendant ces deux décennies, environ un million six-cent-mille Africains furent embarqués dans des navires négriers dont deux-cent-cinquante-mille environ à bord de navires français. L’Encyclopédie reste comme un monument des Lumières, et cela jusqu’à et y compris dans ses limites. Parmi les 74 000 articles de l’Encyclopédie, moins d’une centaine concernent explicitement la question des traites négrières et de l’esclavage colonial. La contextualisation, l’analyse et la mise en relation de ces articles, de longueur et de portée très inégales, permettent de s’interroger sur les contradictions et les ambiguïtés des encyclopédistes, mais aussi de prendre en compte l’expression parfois fulgurante de principes antiesclavagistes. Ainsi, dans son article « Traite des Nègres », Jaucourt fut le premier des encyclopédistes à envisager l’abolition de l’esclavage. Comme en témoigne, notamment, le cheminement de Diderot, les débats ouverts par la première édition de l’Encyclopédie ont contribué, lors de la décennie suivante à une radicalisation de la pensée anti-esclavagiste et à un enrichissement de son expression dans le débat public alors que la traite et l’exploitation du travail servile atteignaient des sommets jusqu’alors inégalés.

Résumé : Le philosophe français explique comment les créations de P. Soulages réinventent l'art de créer et enrichissent la recherche de sens au coeur du monde visible. Il s'interroge sur le processus de découverte et de connaissance que le peintre engage, la continuité de son oeuvre élaborée à partir d'une rupture, la dialectique entre le noir et la lumière ou entre le temps et l'espace. ©Electre 2019 Comment la création artistique de Soulages enrichit-elle notre recherche d’un sens, au coeur du visible, au coeur du monde sensible ? Quel processus de découverte, de connaissance, engage la peinture ? « C’est à travers ce dispositif, qu’Alain Badiou dialogue avec son contemporain, Pierre Soulages », annonce Wald Lasowski dans son introduction. Ne négligeant aucune période de la vie de l’artiste - tout en mettant l’accent sur les polyptyques Outrenoirs -, l’entretien permet de traverser l’oeuvre de Soulages en dialogue et en miroir avec l’histoire de la peinture, de Manet à Klein, du Tintoret à Malevitch, en passant par Mark Rothko, Jackson Pollock et Nicolas de Staël. L’objectif ? Montrer la continuité d’une oeuvre élaborée à partir d’une rupture. Comprendre la vitalité, la productivité et l’obstination d’une dialectique entre le noir et la lumière, entre le temps et l’espace, entre la matière et le reflet, entre l’unité et la multiplicité. Ou comment, en huit décennies de travail acharné, un peintre réinvente l’art de créer.

Résumé : La Fondation Beyeler est le premier musée en Suisse à consacrer une importante exposition individuelle à l’artiste de renommée internationale Doris Salcedo (*1958 à Bogota, Colombie), réalisée en étroite collaboration avec l’artiste elle-même et son studio. Les oeuvres saisissantes de Doris Salcedo sont le résultat de multiples années de recherches socio-politiques, d'expérimentation de techniques et de matériaux, et de quête de forme artistique. Son intérêt porte sur des ressentis transculturels tels l’empathie et le deuil, de même que sur notre manière d'ppréhender le cycle sans cesse répété de l’oubli et du souvenir dans le contexte de conflits violents. Les oeuvres de Salcedo ont souvent pour toile de fond des événements spécifiques mais leur portée et leur résonance sont universelles et imparables. Au lieu de représentations simplistes, Salcedo quête les ressentis qui nous sont communs. Salcedo travaille avec une grande diversité de matériaux : pierre et ciment, meubles en bois, aiguilles, vêtements, soie, herbe, eau, pétales ou cheveux. Grâce à leur transformation inhabituelle, Salcedo parvient à « représenter la violence sans violence » et à rendre la douleur et la souffrance tangibles sans les montrer de manière explicite. Les quelque 100 oeuvres exposées, tirées de huit importantes séries d’oeuvres, comprennent des pièces clé en provenance de musées et de collections privées, et offrent un aperçu très complet du travail de cette artiste majeure.

Résumé : C'est sous la couverture de ce qui aurait dû être (et qui, finalement, est) le sixième numéro papier du Son du grisli que paraît ce florilège, cette anthologie : portraits et interviews de musiciens, chroniques de disques, comptes-rendus de concerts... reviennent sur dix-huit années grisliennes. Une anthologie serpentiforme, peut-être pas toujours facile à suivre, mais, nous l'espérons, prodigue de surprises, voire de découvertes. Fondé par Guillaume Belhomme, Le son du grisli mit, de 2004 à 2022, une équipe de rédacteurs compétents au service de musiciens créatifs tous, mais d'horizons différents (free jazz, rock, contemporain, improvisation, électroacoustique, ambient, field recording, noise, drone…) : Oren Ambarchi, Ab Baars, Derek Bailey, Jac Berrocal, Raymond Boni, Thomas Bonvalet, Peter Brötzmann, John Butcher, John Cage, Lucio Capece, Richard Chartier, Coppice, Anla Courtis, Jacques Demierre, Axel Dörner, Morton Feldman, Fred Frith, Jean-Luc Guionnet, Mats Gustafsson, Fritz Hauser, Jason Kahn, Martin Küchen, Daunik Lazro, Joëlle Léandre, Radu Malfatti, Magda Mayas, Joe McPhee, Harutaka Mochizuki, Bill Nace, Yoshihide Otomo, Evan Parker, Anthony Pateras, Barre Phillips, Eliane Radigue, Keith Rowe, Sonic Youth, Ghédalia Tazartès, The Ex, John Tilbury, Rafael Toral, Birgit Ulher, Ken Vandermark, Nikos Veliotis, Christian Wolfarth, Nate Wooley, John Zorn, parmi des centaines d'autres.

Résumé : Il était une fois une série aux millions de spectateurs et spectatrices, championne dans l'art de faire parler d'elle...Game of Thrones met en scène un monde où pouvoir et passion riment avec trahison. Depuis la diffusion de sa première saison en 2011, les noms de ses héros et héroïnes, de ses cités et de ses grandes familles sont devenus aussi célèbres que ceux de la mythologie grecque. Huit ans plus tard, la grande épopée guerrière arrive à sa conclusion. Plus que jamais, la question est de savoir qui du bon sens ou des chimères va l'emporter. La terre tremble...Dans cet ouvrage, Ava Cahen décrypte à la fois les enjeux dramatiques de cette série phénomène, les causes et conséquences de son triomphe, mais aussi les débats de société qu'elle fait naître.Qui oeuvre à la création et la production de la série ? Que raconte-t-elle en profondeur ? De quel bois sont faits ses protagonistes ? Quels questions, commentaires et réactions suscite-t-elle ? Plongeant dans le détail des généalogies familiales aussi bien que dans de la construction cinématographique des scènes, Game of Thrones décodé nous dévoile les coulisses et les secrets inattendus d'une série qui bat tous les records et met son public en transe.Le livre indispensable pour se remettre à jour sur la série et... briller en société grâce à des centaines d'anecdotes de tournage !Ava Cahen est rédactrice en chef de FrenchMania.fr. Elle est journaliste cinéma pour Canal + et Le Cercle et cofondatrice du Woody Club. Elle a déjà publié Woody Allen, Profession : cynique (L'Archipel) et Cheforama, La gastronomie au cinéma (Nouriturfu).

Résumé : Présidente de la Fédération des syndicats de l'ensei­gnement (FSE-CSQ), Josée Scalabrini représente plus de 65 000 enseignantes et enseignants des quatre coins du Québec. En racontant son parcours personnel et professionnel, elle désire faire connaître sa vision de l'éducation et les raisons de son engagement envers celles et ceux qui sont le coeur et l'âme d'un système d'éducation. Fille d'enseignante, elle a très tôt été témoin du travail incroyable accompli par des femmes et des hommes dévoués à leur profession. Au cours des années, elle a acquis une certitude : les enseignantes et les enseignants ont des solutions à proposer pour améliorer notre système d'éducation et ne demandent qu'à être entendus. À travers son histoire, c'est cette parole qu'elle veut faire résonner, le plus fort possible ! Présidente de la Fédération des syndicats de l'enseignement (FSE-CSQ) depuis juillet 2013, Josée Scalabrini représente avec détermination et passion plus de 65 000 enseignantes et enseignants des quatre coins du Québec. Réputée pour son franc-parler et sa ténacité, cette native de Sainte-Edwidge-de-Clifton, en Estrie, représente fièrement la quatrième génération d'enseignantes de sa famille. Pendant huit ans, elle a été présidente du Syndicat du personnel de l'enseignement des Hautes-Rivières (SPEHR-CSQ) avant d'occuper, durant cinq ans, les fonctions de 1re vice-présidente de la FSE, à titre de responsable de la vie professionnelle et pédagogique ainsi que de la condition des femmes. Elle défend avec énergie la valorisation de la profession enseignante ainsi que les droits des enseignantes et enseignants de tous les secteurs du réseau scolaire. ©Electre 2020

Résumé : Une introduction aux différents nombres utilisés en mathématiques : entiers relatifs, nombres algébriques, premiers, transcendants ou encore surréels. L'auteur précise également leurs applications à l'arithmétique, à la cryptographie ou aux équations diophantiennes. Avec des exercices corrigés. ©Electre 2019. La 4e de couverture indique : "Voici un petit compagnon de plus de six cent cinquante pages et qui, en vérité, est un incontestable ouvrage de synthèse pour qui veut appréhender la science des nombres. Après son "Algèbre et géométries" paru dans la collection "Tableau noir", l'auteur, spécialiste en géométrie arithmétique, part ici de l'arithmétique classique étudiée au lycée, avec les congruences et les nombres premiers, et guide ses lecteurs jusqu'aux prérequis à la recherche universitaire, comme la théorie de Galois ou les nombres p-adiques. Des entiers naturels aux équations diophantiennes en passant par les nombres algébriques et transcendants, Pascal Boyer nous offre là un texte d'une beauté et d'une richesse peu communes, où des pépites connues et d'autres qui le sont beaucoup moins sont livrées aux lecteurs à chaque page, ou peu s'en faut. Parfumé de zestes d'élégance et enrichi de cent quarante-huit exercices corrigés, ce cours s'organise en trois grands thèmes. On y étudie d'abord les nombres premiers et la loi de réciprocité quadratique. Une large partie est ensuite consacrée à la théorie des corps (corps finis, corps de nombres, corps de fonctions), et l'on finit avec les applications (équations diophantiennes, cryptographie, théorie des codes). Le livre propose aussi des perspectives originales : addition des cancres, nombres décadiques, nombres surréels, modules de Carlitz, lois de réciprocité supérieure, protocoles cryptographiques... Avec son approche ouverte et récréative de l'arithmétique, le petit compagnon des nombres, qui sait se montrer exhaustif sans se cantonner pour autant aux sentiers battus, sera ainsi utile, voire indispensable, aux étudiants (licence, prépas), aux professeurs et à tous les amoureux des mathématiques."

Résumé : " Prince fornicateur, adultère, incestueux, sacrilège, voleur public, ivrogne, fainéant, idiot, excommunié, n'ayant point fait ses Pâques depuis près de vingt-huit ans et digne de toute la colère de Dieu. A cette condamnation sans appel par un contemporain, répond cette réhabilitation tranquille et non moins excessive par un historien du siècle dernier : " Louis XV était un saint ". Ces jugements des plus contradictoires puisent à la même source : avec Louis XV, l'image du roi a subi une césure définitive entre vie publique et vie privée. Considérée comme une évidence, cette césure a rendu possible une réputation d'immoralité et de débauche d'une part, d'indolence et de faiblesse d'autre part. Malgré leur érudition, les études récentes qui ont tenté de réhabiliter le roi, ont échoué. Pour mieux comprendre ce que signifie ,, être roi " en France à l'époque des remises en cause de l'absolutisme, il fallait tenter de ressaisir la personne royale à la fois dans son unité et dans sa complexité. Au récit linéaire qui constitue la trame coutumière des biographies, on a préféré l'esquisse d'un portrait historique par touches successives. Ainsi, Louis XV se trouve rétabli connue roi dans chacune des facettes multiples et parfois contradictoires de sa personnalité. Son règne apparaît alors comme le dévoilement progressif de son autorité au cur d'un État en proie à des antinomies et à des blocages structurels. Plutôt que le raconter, l'objectif de cette biographie est de comprendre le roi, tout le roi, rien que le roi.. Portrait historique de Louis XV mêlant les sphères publique et privée et prenant en compte le renouveau des études sur l'Etat monarchique et sur les sociétés de cour. Il montre le poids des représentations dans la construction de la figure du monarque. Son règne apparaît comme le dévoilement progressif de son autorité au coeur d'un Etat en proie à des contradictions et à des blocages structurels.

Résumé : Si le paysage urbain des toits constitue une préoccupation naissante au sein de la communauté scientifique, notamment au regard de l’impact écologique qu’entraînent ces étendues imperméabilisées, sa relation à l’énergie et à l’écosystème urbain demeure encore relativement inexplorée. Partant de l’idée que le toit détient un potentiel susceptible de faire émerger une nouvelle culture de l’énergie - tout en offrant des espaces qui proposent une qualité de vie et une qualité paysagère inédite où convergent la nature et l’habitat humain dense -, l’objectif principal de cet ouvrage est de poser les jalons d’une réflexion sur les conséquences du rôle de l’énergie et des écosystèmes sur les formes et les stratégies architecturales et aménagistes du toit. En ce sens, ce manuscrit s’organise en trois parties. La première partie expose des réflexions et prises de position sur la nécessité de mettre sur pied un développement soutenable. La deuxième partie offre un regard architectural et urbanistique sur le toit. La dernière aborde les multiples fonctions du toit. En portant un regard plus spécifique sur les cas de Montréal, Paris et Chicago, cet ouvrage fait place à des interventions de praticiens (consultants, fonctionnaires municipaux etc.), de chercheurs, d’architectes, d’étudiants et offre une réflexion interdisciplinaire sur un territoire en devenir que certains nomment " la cinquième façade urbaine ". Cette publication rend compte d’une des étapes du projet de recherche conduit par un collectif international de chercheurs. Intitulé L’épiderme aérien des villes au regard de la question de l’énergie et des modes de vie : prospective des formes et des stratégies architecturales et urbaines. ‘Learning from’ Chicago, Montréal, Paris, le projet fut l’un des huit lauréats du programme français de recherche " Ignis mutat res. Penser l’architecture, la ville et les paysages au prisme de l’énergie " (2011-2015) piloté par le Bureau de la recherche architecturale, urbaine et paysagère du ministère de la Culture et de la Communication (France) en partenariat avec le ministère de l’Écologie, du Développement durable et de l’Énergie (France), l’Atelier international du Grand Paris, Veolia Environnement et l’Institut Vedecom.

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