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Résumé : À qui veut bien l'entendre met en scène les acteurs de l'improbable milieu du Noise et des musiques bruitistes ou extrêmes. Ces artistes ont fait le choix de la transgression dans une démarche jusqu'au-boutiste sous des formes pour le moins diverses. ̕partir de la voix, d'objets usuels détournés ou d'instruments de leur fabrication, ils développent leur propre langage et bousculent sans ménagement l'auditeur, le plongeant dans des univers sonores aux topographies inconnues. Réunis en huit clos pour les besoins du film, ces neuf turbulents artistes français, européens et sud-américains confrontent et interrogent leurs pratiques. L'occasion pour chacun de nous faire partager une performance inédite...

Résumé : Yassin est afghan, il a dix-sept ans, peut-être dix-huit, seul, sans famille, il est arrivé clandestinement en France et rêve d'obtenir des papiers pour régulariser sa situation... En attendant, il va à l'école chaque matin... Avec candeur et maturité, il raconte son histoire..."Ce qui m'a surtout poussé vers ce film, ce sont les adolescents réfugiés sans famille, les "mineurs isolés demandeurs d'asile", comme les nomme froidement l'administration française. C'est une problématique mal connue, et les chiffres disponibles sont inquiétants. Un mineur sur deux est refoulé dès son arrivée sur le territoire français, et il y a entre 2500 à 3000 enfants étrangers seuls en France sans aucun repère familial. Près de la moitié seulement est engagée dans un processus de demande d'asile, et pas plus de 26 % de statuts ont été attribués à ces mineurs en 2004. Près de 3000 enfants, ça paraît beaucoup, c'est certain. Mais, au regard de la capacité d'absorption d'un pays comme le nôtre, c'est finalement très peu. A mon sens, si le statut de réfugié doit effectivement se discuter pour des adultes dans le strict cadre de la convention de Genève, le refuser à des mineurs sans famille me paraît inacceptable. (...)"(Didier Cros)

Résumé : Née à Alger en 1937 et déposée à l'assistance publique, Albertine Sarrazin est adoptée à l'âge de dix-huit mois par des parents déjà âgés, avec lesquels il y aura toujours un énorme décalage. Elle quitte avec regret l'Algérie à l'âge de dix ans pour Aix-en-Provence. Elle est turbulente, indisciplinée, en conflit permanent avec ses parents adoptifs qui l'enferment à l'âge de quinze ans à Marseille dans une maison d'éducation surveillée. Elle s'en évade pour Paris où elle commence une vie clandestine, se prostitue et finit par retourner en prison après un hold-up manqué. C'est en sautant d'un rempart de dix mètre pour s'évader qu'elle se casse un os du pied, l'astragale, titre du livre qu'elle publie en 1965 et qui la rend immédiatement célèbre. A l'aide d'archives et de témoignages, la réalisatrice Sandrine Dumarais relate sa courte vie - elle meurt à trente ans, en 1967 - qui est aussi un condensé d'événements. Le film rend hommage à cette personnalité hors du commun et souligne sa singulière beauté, sa lucidité, sa fantaisie et sa rage de vivre. La psychanalyste Christiane Gogois Myquel, qui l'a connue en prison, raconte comment elle s'est construite dans l'adversité et l'opposition. Les autres intervenants - dont le journaliste Jean-Pierre Elkabbach, Jean Castelli, directeur littéraire aux éditions Pauvert et son biographe Jacques Layani - témoignent de la fascination que la jeune femme, mélange d'intellectuelle et de délinquante, exerçait sur ses interlocuteurs.

Résumé : "En 1964, André Robillard s'est mis à fabriquer des fusils avec des matériaux de récupération ramassés au hasard de ses promenades dans l'hôpital psychiatrique où il vivait à Fleury-les-Aubrais.Intrigué, son docteur envoya certains de ces fusils à Jean Dubuffet, pour la collection d'art brut que celui-ci constituait, en marge de la création artistique reconnue, et dont André Robillard est devenu avec le temps un des créateurs les plus emblématiques.Aujourd'hui, à 83 ans, s'il est un artiste internationalement reconnu, André Robillard demeure toujours à l'hôpital où il est entré à l'âge de huit ans, en 1939, témoin, depuis plus de soixante-dix ans, de toute l'histoire de la psychiatrie en France.André Robillard et Henri-François Imbert sont amis de longue date, depuis qu'ils ont fait un film ensemble en 1992, André Robillard, à coup de fusils ! Après cette première aventure, Henri-François a continué à filmer André, parce que leur relation s'était construite aussi autour de ce travail commun. Au fil du temps, un nouveau film est né."

Contenu : Excuse-moi partenaire. Quand je l'ai vue devant moi. J'abandonne mes amours. Les guitares jouent. Je t'écris souvent. Rien que huit jours. Lesmauvais garçons. Pour moi tu es la seule. Johnny, reviens !. Frankie et Johnny. O Carole. Le pénitencier. Johnny lui dit adieu. Un ami ça n'a pas de prix. Quand revient la nuit. Les monts près du ciel. Reviens donc chez nous. Mes yeux sont fous. Je l'aime. Jusqu'à minuit. Cheveux longs et idées courtes. Les coups

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