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Résumé : Histoire des quatre grandes solanacées : mandragore, belladone, datura et jusquiame. Ces plantes psychotropes illustrent "la dialectique du bien et du mal et nous rappellent opportunément qu'entre poison et médicament il n'y a qu'une différence de doses".

Résumé : De la feuille de coca à la cocaïne et au crack.

Résumé : Histoire de l'aspirine dont les principes actifs sont issus du saule et de la reine des prés. Toute la complexité d'un médicament connu depuis près de cent ans.

Résumé : Histoire de la quinine extraite des écorces de quinquina qui reste depuis 1920 le médicament le plus efficace contre le paludisme.

Résumé : Arbre sacré des celtes, l'if possède une toxicité très forte. Dans les années soixante des chercheurs américains isolent de son écorce le taxol, substance très efficace dans le traitement de certains cancers.

Résumé : La reine de coeur n'est autre que la digitale, reine des plantes cardiotoniques depuis le 18°siècle. Sa substance active, la digitaline, peut être selon les dosages ou remède ou poison.

Résumé : Le pavot et les substances qui en dérivent : la morphine, l'un des plus puissants analgésiques d'un côté, de l'autre opium et héroïne qui font des ravages.

Résumé : Entre le "mal des ardents" et les "hallucinés de Pont Saint-Esprit" un point commun : l'ergot de seigle. L'ergotine, poison des céréales est d'une extrême toxicité. Par synthèse on peut obtenir l'acide lysergique, employé pour soigner les troubles de la senescence ainsi que la diéthylamine présente dans le LSD, drogue sans usage médical.

Résumé : "Je pense que le théâtre n'est pas fait pour distraire contrairement à ce qu'on croit souvent, il n'est pas fait pour nous distraire de notre époque et de nos problèmes. Je pense que le théâtre est fait pour nous inquiéter, nous déranger ; je crois pour montrer que les mensonges sont des mensonges. Et pour ça, il faut faire un travail énorme que l'on ne peut faire que sur un petit nombre de gens, en espérant que la résistance marchera. C'est à dire de rendre aux gens leur liberté d'imagination." C'est sur cette très belle définition de l'objectif de son travail que s'ouvre le film consacré au metteur en scène Claude Régy. Tourné dans des friches industrielles (la Friche Belle de Mai à Marseille, La Forme Sept Port autonome du Havre), Avec des témoignages de Valérie Dréville, Nathalie Sarraute, Michel Lonsdale, Marcial di Fonzo Bo, ... Archives audiovisuelles : La Chevauchée sur le lac de Constance, de Peter Handke

Résumé : Au cours de leurs réunions, les pratiquants du soufisme, principalement chiites, écoutent les poèmes chantés par leurs maîtres “les Qhawali”. Cette musique traditionnelle enrichie de nou­veaux éléments littéraires et musicaux est devenue le genre le plus populaire du Pakistan. Aujourd’hui, des maîtres tels que Nusrat Fateh Ali Khan ou Pataney Khan sont les plus grands héri­tiers de cette tradition. Ces artistes chantent principalement des louanges au Prophète et à ses saints. Au cours de notre voyage, qui nous a conduit des campagnes aux villes, du Sind au Penjab, nous avons pu les surprendre entourés de la ferveur de tout un peuple, non seulement dans les mausolées, mais à l’occasion de mariages, de fêtes publiques ou privées, dans toute la spontanéité de leur art.

Résumé : Carnet de voyage de Chantal Akerman dans les pays de l'Est au moment où ils s'ouvrent à l'Ouest. Aucun commentaire, aucun échange de parole, mais une succession de plans fixes ou de longs travellings extérieurs, sur des paysages ruraux et urbains, ponctuée par des portraits de femmes en intérieur.

Résumé : Pittoresque chinoiserie pour neuf danseurs et onze musiciens, dans laquelle le chorégraphe hongrois revisite ses thèmes de prédilection (le recours à la fable, les souvenirs d'enfance) pour alimenter une réflexion sur l'homme, créature pensante imparfaite et sur Dieu, unique créateur.

Résumé : Portrait en forme d'autobiographie de Gérard Depardieu, comédien, filmé en 1999 dans sa propriété du Château de Tigné, en Anjou. De nombreuses images d'archives (extraits de spectacles, de films et scènes de tournages) viennent éclairer la personnalité et le talent de l'homme de théâtre comme de l'acteur de cinéma et de télévision.

Résumé : Témoignage violent, douloureux, mais aussi sublime, du lent travail de gestation de la mise en scène et du jeu d'acteur. En janvier 1995, seuls sur scène, Patrice Chéreau (le dealer) et Pascal Greggory (le client) répète "Dans la solitude des champs de coton" de Bernard-Marie Koltès.

Résumé : Quatre des plus célèbres chorégraphies des ballets russes, "Pétrouchka", "Le Spectre de la rose", "Prélude à l'après-midi d'un faune" et "Noces" ont été filmées lors de leur reprise par l'Opéra Garnier. Elles sont ici présentées dans leur intégralité et replacées dans le contexte du Paris des années 10.

Résumé : La ronde infernale des "pourquoi" et des "parce que" alimente une réflexion compulsive sur l'existence qui débouche, enfin, sur le vide.

Résumé : Le mystérieux David Lynch face à une caméra plutôt désorientée par son allure de sphynx lisse et paisible, sa facilité à épaissir encore le mystère en prétendant le dévoiler.

Résumé : Au supermarché de Flins, Jacqueline, Angèle et Barbara racontent librement leur vie au cours d'un marathon de la parole faussement improvisé sous le regard amusé des clients, qui ne sont pas, eux, des acteurs.

Résumé : C'est Pablo Casals répétant l'"Elegie pour cordes et orchestre" de Gabriel Fauré qui donne le tempo de ce solo de la chorégraphe allemande.

Résumé : Solo de la chorégraphe allemande sur une musique d'Erik Satie et avec une baignoire.

Résumé : Célèbre solo de la chorégraphe allemande sur la non moins célèbre musique du Quatuor en ré mineur de Schubert, "La Jeune fille et la mort".

Résumé : Dans cette pièce créée pour onze danseurs par le chorégraphe Angelin Preljocaj sur un livret de Pascal Quignard, un narrateur invite le spectateur à pénétrer dans un monde étrange, peut-être rêvé, où les grenouilles (anoures) dissimulent des princesses et où un jeune homme est projeté dans les tourments de l'âge adulte.

Résumé : "Eblouissant d'une beauté neuve et cruelle. Regard d'enfance. Amour. Montée de sève. Légéreté des contours. Qu'est-ce que le printemps sinon à la fois la banalité et l'événement du retour organique dans la fuite invisible et ininterrompue du temps ?" Catherine Diverrès

Résumé : Inspirée par un passage de "La Vie tranquille" de Marguerite Duras, l'héroïne entraîne huit créatures qui lui ressemblent étrangement hors de la chambre dans une danse effrénée, libérée de toute contrainte physique.

Résumé : Entre violence et lascivité, la danse rituelle des nouveaux époux.

Résumé : Dans l'enceinte de l'hôpital psychiatrique de Klosterneuburg, en Autriche, la "Maison des artistes" abrite 14 pensionnaires schizophrènes : douze peintres et deux poètes. Certains sont célèbres, comme Oswald Tchirtner, Johann Hauser, August Walla. La caméra suit chaque malade dans sa vie quotidienne, dans l'exercice de son art. Un film qui permet d'approcher un univers hors normes et de s'interroger sur la schizophrénie et ses liens avec le processus de création.

Résumé : De l'invention de l'écriture à celle de mythes fondateurs, la civilisation de l'antique Mésopotamie est riche. Inconnue jusqu'au XIXe siècle, elle renaît grâce à la ténacité d'archéologues devenus déchiffreurs et linguistes (dont Jean Bottéro, 1914-2007, auquel le documentaire se réfère). Ce film rend les vestiges disséminés dans différents musées à leur contexte originel, marqué par la force tutélaire et économique du Tigre et de l'Euphrate.Sur une inscription trilingue, les noms de rois perses connus par les textes grecs ouvrent la voie à la compréhension des langues mésopotamiennes. Après 1850, Layard met au jour la bibliothèque de Ninive et des milliers de tablettes d'argile (VIIe siècle av. JC), où une écriture cunéiforme conserve la pensée scientifique, philosophique, religieuse ou historique des Assyro-babyloniens. Bientôt, on remonte jusqu'aux origines de la nécessité d'écrire : la trace des échanges, inventée par les Sumériens vers 3300 av. JC. Au fil des découvertes archéologiques émerge un récit, transmis dans ces cités-États, qui remet en cause l'antériorité de la Bible. C'est celui du Déluge et des créatures sauvées que l'on retrouve dans l'épopée de Gilgamesh, roi d'Uruk en quête d'immortalité, qui comprendra qu'il vaut mieux s'adonner aux plaisirs du monde. Ces mythes éclairent la beauté sculptée de scènes expressives de chasse, vie familiale ou amoureuse, rois puissants et dieux souvent liés aux fleuves. Laurence Wavrin Cop. Images de la culture Copyright & Crédits

Résumé : La scène chorégraphique nationale des vingt dernières années du 20ème siècle, vue par un cinéaste "élevé" dans le sérail.

Résumé : Christo , plasticien d'avant-garde, est connu à travers le monde pour ses emballages de ponts ou de monuments (particulièrement celui du Reichstag de Berlin). En 1957, il fuit son pays, la Bulgarie pour s'installer à New-York. Son frère, Anani, est resté derrière le rideau de fer où il devient bon gré mal gré comédien. Le film juxtapose la vie, l'itinéraire si différent des deux frères: l'un dans la stridence et la turbulence new-yorkaise ; l'autre dans la brumeuse et calme campagne bulgare rappelant leur enfance. Anani tente de comprendre pourquoi Christo, si fragile, est parti alors que lui est resté dans l'ombre. Avec des chassés-croisés entre l' Amérique et la Bulgarie, le film compose un portrait de Christo, marqué par ses liens familiaux et la politique de la guerre froide. Il montre les problèmes de l'artiste vivant dans une société communiste ou au coeur du capitalisme américain. En filigrane, il aborde une réflexion plus générale sur la liberté et l'art.

Résumé : Dans cette adaptation du "Cri du caméléon", mis en scène et chorégraphié par Josef Nadj, le chorégraphe interprète un personnage burlesque réminiscent du style de Buster Keaton, tandis que les anciens élèves de l'école des arts du cirque enchaînent des numéros de jonglerie et de voltige dans une ambiance de douce folie.

Résumé : Philosophes, historiens, cinéastes, écrivains, donnent leur point de vue sur l'apport de la civilisation grecque au monde moderne. Chaque épisode de vingt-six minutes examine un aspect de l'héritage grec et les transformations que notre imaginaire lui a fait subir. Avec des entretiens de : Iannis Xenakis, Cornelius Castoriadis, Georges Steiner, Vassilis Vassilikos,Elia Kazan, Michel Serres, Theo Angelopoulos, et autres.

Résumé : La vie de danseur étoile vue par Nicolas Le Riche, jeune prodige issu de l'école de danse de l'Opéra de Paris, dont les "maîtres" ont pour nom Patrick Dupond, Rudolf Noureev, Roland Petit, John Neumeier, Mats Ek .

Résumé : D'après l'ouvrage éponyme de Michel Dewachter (Découvertes Gallimard), Jean-Claude Lubtchansky suit pas à pas le parcours passionné qui conduisit le jeune Champollion (1790-1832) à déchiffrer les hiéroglyphes. Alternant commentaire off et voix prêtée au savant, ce documentaire s'appuie sur ses écrits et relevés, ainsi que sur les œuvres d'art du Louvre, du British Museum, du musée de Turin et celles restées en Égypte sur les sites. Jean-François Champollion a neuf ans lors de la campagne d'Égypte de Napoléon - son frère a demandé en vain à y participer. Dans le journal publié par les savants de l'expédition, il apprend l'existence de la pierre de Rosette et de sa triple inscription, dont seule la grecque est compréhensible. Dès lors, son but est de lire les deux autres. Il apprend grec, latin, hébreu et arabe. Partant du principe que les Coptes sont les héritiers linguistiques des anciens Égyptiens, il assimile aussi leur langue, connue via l'alphabet grec. Puis il saisit que les signes démotiques égyptiens simplifient les hiéroglyphes et que l'écriture des pharaons est à la fois phonétique, figurative et symbolique. La pierre de Rosette est décryptée en 1822 et, à sa suite, obélisques et papyrus que l'égyptomanie a ramenés en France et en Italie. Conservateur des collections égyptiennes du Louvre qu'il contribue à créer, il peut enfin gagner l'Égypte et étudier in situ la civilisation vouée à Isis, Osiris et Horus. Laurence Wavrin, catalogue Images de la culture

Résumé : Dans les ruines profondes d'un temple monumental, une tribu troglodyte mène une vie recluse, rythmée par les travaux et les rituels du quotidien. Ce qui n'exclut pas les passions.

Résumé : Indochine 1940, sous l'occupation française. Kim, 15 ans, doit mener ses deux buffles loin des terres inondées du sud. Seule richesse de la famille, ces deux buffles doivent arriver sains et saufs aux Sept-Montagnes. Au cours de ce périple dangereux, truffé d'obstacles et de rencontres incertaines dans ce paysage immense et recouvert d'eau, le jeune Kim apprend la vie d'adulte.

Résumé : Cette étreinte, filmée au ralenti, a été conçue pour être projetée lors des spectacles de la compagnie L'Esquisse.

Résumé : Duo de choc, duo d'improvisation concertante, duo des corps et des souffles. La chorégraphe Mathilde Monnier et le clarinettiste Louis Sclavis expliquent ce qui les a poussés, sept années durant, à se confronter, s'inspirer et finalement, se rejoindre.

Résumé : C'est en hommage au cinéaste Alexandre Ivanovitch Medvedkine, mort en 1989, que Chris Marker écrit six lettres, un tombeau au sens littéraire du terme, au fil desquelles apparaît la personnalité attachante de l'auteur du "Bonheur", inventeur du ciné-train et pionnier de l'art cinématographique en Russie soviétique.

Résumé : Histoire périlleuse et passionnante de la transmission d'une chorégraphie de Dominique Bagouet, des interprètes d'origine au corps de ballet de l'Opéra de Paris.

Résumé : Pendant plus de quarante ans, Georges Rouquier a célébré les beautés du monde rural et montré ses difficultés avec la conviction et la sincérité qui illuminent l'ensemble de son oeuvre de documentariste, du "Tonnelier" (1942) à "Biquefarre" (1983). C'est justement sur cette terre de l'Aveyron, qui a vu naître "Biquefarre" trente-sept ans après l'immortel chef-d'oeuvre "Farrebique" (1946), que ses amis cinéastes ont voulu rendre hommage au "patron". Hommage vivant à travers les entretiens avec Georges Rouquier, avec sa femme, Maria Rouquier, avec les protagonistes du cycle aveyronnais, qui expriment leur admiration pour l'homme et analysent l'impact que les films ont eu sur leur conception du passé et de l'avenir de l'agriculture.

Résumé : Réalisé à l'occasion de la restructuration du musée Guggenheim de New York afin de retrouver l'état initial du bâtiment projeté par Wright, le film relate l'histoire épique de la conception du musée commandé par Guggenheim et Rebay en 1942 et livré par l'architecte en 1959, six mois avant sa mort. Témoignages, lecture de la correspondance Wright-Rebay et images d'archives ponctuent le récit d'un chantier mouvementé.Soit dix-sept ans de batailles épistolaires et de rencontres orageuses entre des commanditaires pourtant enthousiastes (Solomon Guggenheim, mécène déjà âgé, et sa muse possessive et autoritaire Hilla Rebay), et l'architecte déjà célèbre Franck Lloyd Wright. Le concept : l'architecture organique. Le résultat : un musée en forme de "ziggourat", organisé autour d'une galerie en spirale éclairée par une lumière zénithale, mais inadapté à l'accrochage des tableaux. La mort de Solomon, la démission d'Hilla, la création d'une fondation aux idées muséographiques bien arrêtées, les problèmes d'argent et, enfin, la mort de Wright modifièrent le projet initial en un édifice modulable à volonté, sans lumière naturelle. La restauration aura permis de retrouver une étape de sa conception originelle. Annick Spay © Images de la culture Copyright & Crédits

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