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Résumé : "Prix Sakharov 2014, le docteur Mukwege est internationalement connu comme l’homme qui répare ces milliers de femmes, violées durant vingt ans de conflits à l’est de la République démocratique du Congo, un pays parmi les plus pauvres de la planète, mais au sous-sol extrêmement riche. Sa lutte incessante, pour mettre fin à ces atrocités et dénoncer l’impunité dont jouissent les coupables, dérange. Il est l’objet d’une nouvelle tentative d’assassinat auquel il échappe miraculeusement. Menacé de mort, ce médecin au destin exceptionnel vit dorénavant cloîtré dans son hôpital de Bukavu sous la protection des Casques bleus. Mais il n’est plus seul à lutter. A ses côtés, ces femmes auxquelles il a rendu leur intégrité physique et leur dignité, devenues grâce à lui de véritables activistes de la paix, assoiffées de justice. " (Source éditeur)

Résumé : D'un côté, les légendes de Samson et de la forteresse de Massada, de l'autre les dramatiques tracasseries que doivent subir quotidiennement les Palestiniens bloqués sur les Territoires occupés. Le réalisateur se cramponne pourtant au dialogue, au sens propre du terme : le film est ponctué par sa conversation téléphonique avec un ami palestinien, comme avec l'armée istaélienne omniprésente

Résumé : En septembre 2017, 25 ans après la guerre, un charnier est découvert à Vlasiic, au nord de la Bosnie. L’équipe de médecine légale fouille dans le fatras d’os découvert sous les rochers au pied de la falaise où plus de 200 hommes ont été exécutés le 21 Août 1992. Travaillant pour l’ICMP, une organisation internationale qui s’occupe des disparus, Darija Vujinovic sillonne le pays à la recherche des proches des disparus.Leur sang est le seul moyen de donner un nom aux corps exhumés. C’est le travail de Darija, rendre les morts aux vivants car sans la matérialité d’un corps, comment laisser partir le défunt ?

Résumé : Ce documentaire qui présente des saynètes pédagogiques animées nous plonge dans la réalité de l'élevage intensif et nous fait réfléchir sur la place de la viande dans nos assiettes. En effet, après la deuxième guerre mondiale, la viande bovine est passée progressivement en occident du statut d'exception dans l'alimentation à du quotidien alimentaire. De plus dans les années 60 on est passé de l'élevage traditionnel à l'élevage intensif et à l'industrie. Un ancien agriculteur breton, André Pochon nous accompagne dans l'univers agricole actuel nous livrant explications et réflexions. Le film s'attache à montrer combien l'agriculture intensive épuise les ressources naturelles, entraîne des pollutions et participe au réchauffement climatique. Pour ce faire nous voyageons dans le monde entier : de la France au Brésil (très gros exportateur de maïs et de soja), à l'Inde, à l'Afrique où la consommation de la viande loin d'être quotidienne s'appuie sur le rite et où l'élevage est une activité sociale et culturelle avant d'être économique. Si les conséquences de la surproduction sont énormes pour la planète, il en est de même pour la santé humaine avec le développement de l'obésité, des cancers, des maladies cardiaques et métaboliques comme le diabète ainsi que les résistances aux antibiotiques. Reste à prendre un autre chemin, celui des consommacteurs, à savoir redonner à l'élevage toute sa grandeur et son rapport à la vie et à tourner le dos au système mortifère de la surproduction animale fondée sur le seul profit.

Résumé : Le film s'intéresse à l'itinéraire intellectuel et politique de Mauriac et à ses engagements de journaliste. Issu d'une famille bourgeoise, catholique et conservatrice ("J'étais à droite par ma naissance, par mon milieu social, nous étions enfermés dans notre droite ", dit la voix de François Mauriac), plusieurs événements façonnent son parcours : la participation au mouvement de catholicisme social, le Sillon, l'indignation devant l'invasion de l'Éthiopie par l'Italie fasciste en octobre 35, puis face à la Guerre d'Espagne. Le film est ensuite découpé en plusieurs périodes : Les années noires (1939-1944) , Les années d'espoir (1944-1945), et Le temps du Bloc-Notes (1952-1970). Le contexte politique et intellectuel de ces différents moments est restitué par le journaliste et écrivain Jean Lacouture et par l'historien René Rémond ; l'écrivain Jean Touzot précise notamment l'attitude de Mauriac par rapport à Pétain, Jean Daniel témoigne de sa participation à L'Express, véritable transgression, et le philosophe Francis Jeanson de sa dénonciation précoce de la guerre d'Algérie comme guerre coloniale. Tous sont filmés au domaine de Malagar, la demeure girondine de Mauriac, tout comme Claude Rich qui fait la lecture des articles. Les archives sonores et filmées sont l'occasion d'entendre la voix de Mauriac et de surprendre son expression espiègle, alors qu'il se livre dans un entretien, avec lucidité et sans complaisance. Le film rend compte aussi de sa posture par rapport à l'écriture journalistique. Comme le dit Jean-Claude Guillebaud, il ne la considère pas comme un sous-produit de la littérature : "J'ai pris le journalisme au sérieux, c'est pour moi le seul genre auquel convienne l'expression de littérature engagée. La valeur de l'engagement m'importe ici au même titre que la valeur littéraire, je ne les sépare pas".

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