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Résumé : Scénario du film qui sort en salles en février 1999. Didier a écrit une critique sur un film qu'il n'avait pas vu. A partir de là, toute sa vie va basculer : son amie le quitte pour un autre, il se retrouve pris au piège d'un dîner littéraire et le monde autour de lui semble jouer une étrange comédie.

Résumé : À l'ouest rien de nouveau a donné la parole à l'un de ces jeunes soldats allemands qui vécut l'épreuve de la Grande Guerre. Plus de glorification des faits d'armes, mais l'omniprésence de la mort et le tableau de l'Apocalypse. Le livre est interdit. Il deviendra un film mythique, que les autorités allemandes essaieront de condamner également. Mais la puissance d'évocation de cette uvre est telle qu'elle résiste à toute censure. Elle incarne si justement la bêtise et la cruauté infinies des hommes qu'on ne peut que penser au désastre des conflits suivants, à la marque indélébile laissée aux survivants. Écrit à la première personne, au présent, avec une sobriété qui souligne l'horreur quotidienne du front et de la vie dans les tranchées, ce roman nous interpelle du fin fend de l'enfer, dans la plus déchirante intimité.. A travers le témoignage d'un soldat allemand de la Première Guerre mondiale, une dénonciation de la monstruosité de la guerre. Paul Bäumer, le narrateur, enrôlé avec six autres réservistes (Tjaden, Müller, Stanislas Katczinsky, Albert Kropp, Leer et Haie Westhus), raconte la mort de ses amis un à un, jusqu'à la sienne propre.

Résumé : Génie autoproclamé, Salvador DALI s'est autant distingué comme peintre que comme pitre. Un quart de siècle après sa disparition, le "mythe Dali" continue à lui survivre à travers son oeuvre complexe et ses happenings délirants. Plus qu'une simple biographie, ce film explore les grands axes de son oeuvre à la lumière de sa personnalité et du mythe qu'il a passé sa vie à créer.Ce portrait réalisé par Stephan et François LEVY-KUENTZ, commenté par Michael LONSDALE a été en partie tourné dans la cité "dalinienne" de Port Lligat et enrichi de multiple archives qui concourent à éclairer autant la richesse de l'oeuvre picturale que la complexité du personnage. Aux oeuvres des différentes périodes du maître (surréaliste, hyperréaliste, psychédélisme ou même mystique) s'ajoutent les interviews du peintre et des extraits de ses happenings réalisés avec la complicité gourmande de la télévision.Le film s'ouvre sur une mise en garde de la télévision elle-même (de 1961) quant au caractère éventuellement subversif de la personnalité de Salvador Dali, puis s'intéresse aux origines de l'artiste, ses premières collaborations avec le mouvement surréaliste d'André Breton, ses amitiés avec Luis BUÑUEL et Federico GARCIA LORCA puis vient la construction complexe de sa démarche artistique où intervient souvent sa muse et épouse, Gala. Une autre partie est consacré aux excentrencités et happenings artistiques loufoques qui firent les délices des télévisions du monde et notamment en France.Le film se clôt sur une interview du maître (espagnol sous-titrée) qui résume fort bien l'homme avec son humour, son cynisme et sa mégalomanie ainsi que sa quête artistique : "A l'âge de six ans, je voulais être Napoléon, depuis mon ambition n'a cessé de grandir... aujourd'hui ce qui me plairait le plus c'est être rien de moins que Salvador DALI".

Résumé : Ce film long métrage s'intéresse à la vie d'un joueur de football. Ce génial sportif était réellement insaisissable, aucun des autres joueurs même entrainés pour le stopper, ne pouvaient rien face à l'imparable dribble de Garrincha ! Les plus forts moments de ce film sont les scènes où "l'instoppable" footballeur joue face à la Suède en Coupe du monde 1958, puis contre le Chili en Coupe du monde 1962. Le document comprend 4 parties : le joueur de talent, en famille, être footballeur, Coupe du monde

Résumé : Deux jeunes gens sortent sonnés de la Grande Guerre. L'un, Ernest Schoedsack, a filmé l'horreur dans la boue des tranchées ; l'autre, Merian Cooper, héros de l'aviation américaine, sérieusement brûlé, sort d'un camp de prisonniers. Ils se rencontrent dans Vienne occupée, puis se retrouvent à Londres où naît le projet qui va les lier pour la vie. Comment dire la guerre ' Comment dire ce puits noir où l'homme s'est perdu - et peut-être, aussi, révélé ' Pas de fiction, se jurent-ils : le réalisme le plus exigeant. S'ensuivent des aventures échevelées : guerre russo-polonaise, massacres de Smyrne, Abyssinie, épopée de la souffrance en Iran, tigres mangeurs d'hommes dans la jungle du Siam, guerriers insurgés au Soudan...Leurs films sont à couper le souffle. On les acclame : « Les T.E. Lawrence de l'aventure ! » lance le New York Times. Eux font la moue. Manque ce qu'ils voulaient restituer du mystère du monde. Déçu, Cooper renoncera quelque temps - pour créer avec des amis aviateurs rien moins que... la Pan Am ! - avant d'y revenir.Ce sera pour oser la fiction la plus radicale, le film le plus fou, pour lequel il faudra inventer des techniques nouvelles d'animation. Un coup de génie. Une histoire de passion amoureuse, mettant en scène un être de neuf mètres de haut, Kong, que l'on craint, qui épouvante, mais que l'on pleure quand il meurt... Le film est projeté à New York devant une foule immense, trois semaines avant qu'Hitler ne prenne les pleins pouvoirs.Sur un air de jazz mélancolique ou joyeux, entre années de guerre et années folles, Michel Le Bris nous offre une fresque inoubliable. On y croise des êtres épris d'idéal, des aventurières, des héros, des politiques, des producteurs, des actrices, et bien sûr un immense singe que l'on aime craindre et aimer, moins sauvage que l'homme...

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