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Résumé : Site Web gratuit, en français, pour l'étude de la langue croate de base. On y trouve des pages consacrées à l'alphabet, à la prononciation, aux mots et expressions de la vie courante.

Résumé : Méthode pour francophones qui contient 116 leçons basées sur le dialogue et la grammaire, ces leçons écrites en alphabet latin, puis en alphabet cyrillique assurent une assimilation progressive du serbo-croate. Un appendice grammatical et une liste des verbes les plus utilisés complètent la méthode, pour l'étude du serbo-croate, langue nationale de la Serbie, et, avec quelques variantes, du Montenegro, de la Croatie et de la Bosnie-Herzegovine.

Contenu : Site consacré à la litterature tchèque

Résumé : "La personne et le travail d'Isaac Babel sont aussi éloignés de nous que la révolution russe elle-même. (…) Bien des détails de la vie d'Isaac Babel nous échappent. Ni le lieu, ni la date, ni les circonstances de sa mort ne nous sont connus. Ce coffre légendaire, contenant ses manuscrits, disparut en 1939, lors de son arrestation. (…) Quelques écrivains russes le mentionnent dans leurs mémoires, l'évoquant comme un homme modeste, travailleur, qui corrigeait méticuleusement ses écrits. Comme Dublin pour Joyce, Odessa, la ville natale de Babel constituait la matière de son travail littéraire. La vie, cependant, envoie l'écrivain aux confins du pays. Il voyage sans trêve, vivant dans des temps trop troublés pour avoir le loisir de faire son autobiographie. Il voulait être le Maupassant d'Odessa, mais devint le Babel de la "Cavalerie rouge". " (H. Bitomsky) Le réalisateur a conçu ce film sur Isaac Babel comme le "carnet de travail" d'un film en gestation, construit à partir des récits de Babel : " Cet instant de la réflexion sur la création d'un film est le moment où littérature et cinéma peuvent vraiment se rencontrer, chacun selon sa spécificité. "

Résumé : Consacré à la poétesse russe, Anna Akhmatova (1889-1966), "reine de la poésie russe" oubliée de son vivant par son peuple, coupée de ses lecteurs et comme enterrée vivante, ce film est triste, prévient le réalisateur, mais "il est impossible de trouver en Russie un poète au destin plus tragique." Après avoir publié ses premiers recueils, Anna Akhmatova avait fondé avec Ossip Mandelstam et son mari Nikolaï Goumilev le mouvement "acméiste" en réaction contre l'idéalisme romantique des symbolistes. L'exécution pour "antisoviétisme", en 1921, de Nikolaï Goumilev, dont elle avait divorcé trois ans plus tôt, mais dont elle avait un fils, va lui fermer pendant vingt ans toute possibilité d'être publiée. Son second mari meurt en 1930, son fils Lev est arrêté en 1937 et son troisième mari, critique et historien d'art meurt dans un camp en 1953. Son fils n'aura connu, de 1937 à 1956, que deux années de liberté après la guerre : pour lui, elle passe des mois à attendre devant les portes des prisons de Leningrad et c'est pour lui qu'elle compose le "Requiem", un chant funèbre sur le martyre des mères pendant la grande terreur. Les poèmes d'Anna Akhmatova étaient transmis oralement à des dépositaires fidèles qui répéteront, inscriront dans leur mémoire ces lignes qu'on ne peut même pas copier sans risque. Le film est composé de photos d'archives et de témoignages sur une vie mêlée aux bouleversements de la première moitié du XXème siècle. Parmi ces témoignages, celui de Lev Goumilev. Le commentaire du film est composé de fragments de lettres, de carnets, de souvenirs d'Anna Akhmatova. Un enregistrement réalisé en 1965 à Londres nous restitue la voix d'Anna Akhmatova.

Résumé : Née avec le siècle, Nina Berberova (1901-1993) fut un témoin privilégié des événements de son temps. Dans cet entretien divisé en deux parties ("Le passeport rouge" et "Allègement du destin"), l'auteur de "L'Accompagnatrice" raconte sa vie à Jean-José Marchand. Elle évoque son enfance, sa famille, sa découverte de la poésie, sa vie en exil - en Allemagne et en Italie - à partir de 1921, les écrivains qu'elle a connus, tout ce qui a formé sa personnalité et qui a fait d'elle l'écrivain que l'on connaît. En 1925, Nina Berberova et son compagnon, le poète Vladislav Khodassevitch, quittent Berlin pour Paris où ils vont vivre pauvrement parmi les exilés russes chassés par la révolution. Leurs difficultés ne feront qu'augmenter avec la guerre et l'occupation allemande. En 1950, Nina Berberova, qui a publié, dans une semi-clandestinité, ses premiers récits, part pour les États-Unis où elle va enseigner et devenir, lentement mais sûrement, un écrivain reconnu. Les extraits de l'autobiographie de Nina Berberova, "C'est moi qui souligne" (Actes Sud) sont lus par Marie-Armelle Deguy.

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