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Résumé : La pop culture regorge de personnages hauts en couleur. Les figures féminines ne font pas exception dans toutes les œuvres les plus fameuses. Plus de 70 portraits d'héroïnes sont rassemblés ici, explorant tous les médias, du cinéma à la bande dessinée, sans oublier la littérature, les jeux vidéo ou encore les séries télévisées. Wonder Woman, Lara Croft, Hermione Granger, Emma Peel et bien d'autres ont été analysés et décryptées par un pool d'auteurs et d'illustratrices exclusivement féminin. Robot, princesse, guerrière ou tueuse en série, l'héroïne est polymorphe. Elle brille par son charisme, son histoire, ses talents, parfois par sa beauté. Elle est n'est plus faire-valoir : elle est désormais un personnage à part entière, qui transmet un message fort, une icône du girl power et de l'émancipation féminine.

Résumé : Octave Mathurin, brave fils d'officier de réserve, malheureux professeur d'histoire, n'arrive à calmer ses élèves qu'en leur racontant des histoires drôles. Un beau jour, une éminence grise voit en lui le chef idéal du pays : un benêt sympathique certes, mais la Foule, justement, ne réclame rien d'autre. Le voilà donc à la tête de l'État. Jusqu'au jour où deux jumeaux journalistes, plus finauds qu'ils n'en ont l'air, décident de démasquer l'imposteur… Et c'est ainsi que naît l'apologue d'un Ubu nouvelle manière, un apologue qui emprunte autant au sketch de cabaret qu'au conte burlesque, pour offrir une caricature impitoyable mais toujours juste du pouvoir et des médias, et de la facilité avec laquelle la foule, en quête de divertissement, s'y soumet. Driss Chraïbi use admirablement des pouvoirs distanciateurs de la parabole et du style pour déchaîner l'émotion et le rire. Préface d'Eric Fottorino

Résumé : Conçue pour documenter trois expositions personnelles – Dioramas à la Fondation Pernod Ricard, Paris (2016-17), l'exposition aux Moulins de Paillard à Poncé-sur-le-Loir (2018) et Replica au CCA - Center for Contemporary Art Tel Aviv (2018) –, cette publication, comprenant deux essais de Philippe-Alain Michaud et de Mike Sperlinger, offre un aperçu complet de l'œuvre de l'artiste sur près de vingt ans.L'œuvre de Laurent Montaron (né en 1972 à Verneuil-sur-Avre, vit et travaille à Paris) est imprégnée de l'histoire contemporaine des médias. Leur avènement, depuis les techniques de représentation mécanisée à la fin du XIXe siècle jusqu'aux différentes formes actuelles, s'est accompagné de croyances irraisonnées. Si l'image photographique a transformé la perception de l'espace, c'est avec l'enregistrement, la reproduction de l'image, du son et de la voix, que le temps, lui-même, semble avoir changé. En interrogeant les outils qui façonnent nos représentations, Laurent Montaron révèle ainsi les paradoxes qui accompagnent notre conscience de la modernité.

Contenu : Face A : Les gens de la moyenne. Monangamba. Nobody knows when you're down and out. Trois motifs. Le mal de vivre. La dame du guerveur. Face B : Choisis ton opium. Lorsque s'allument les brasiers. Bura bura. Young woman's blues. Chanson en canot. Les tuileries. Melocoton

Résumé : Intitulé Nature urbaine en projets, cet ouvrage a pour ambition de faire connaître le devenir de la nature quand elle se situe en milieu urbain et, inversement, ce qu'il advient de la ville dès lors qu'elle se préoccupe de la nature.Sa première partie, historique, concerne l'évolution des formes de nature urbaine ou, mieux, la circulation des modèles, des savoirs et des représentations culturelles qui, du XIXe au XXe siècle, ont fondé les projets de nature en ville. L'histoire de ces formes de nature urbaine étant cernée, l'objectif est de comprendre la demande sociale de « nature en ville », d'un point de vue sociologique et économique. La troisième partie explore une voie contiguë à l'héritage historique et à l'actualité sociale de la nature urbaine. Elle interroge la portée de l'écologie dans le champ théorico-pratique du paysagisme et des politiques publiques de paysage. De quels médias scientifiques et esthétiques – cartographiques, par exemple – souhaitent les praticiens et les usagers des villes disposer pour concevoir, de façon participative, une nature urbaine durable ? Telle est la question que la quatrième partie instruit avant d'envisager cette médiation esthétique et scientifique sous l'angle de l'éthique. Pour envisager le devenir des villes aux prises avec la nature, un dernier point traite d'une nouvelle alliance entre nature et ville en partant des matériaux de l'innovation urbaine.Dans ce livre, ce sont les signes d'une nouvelle alliance entre ville et nature qui sont repérés.

Résumé : Que ce soit de façon explicite ou implicite, la démographie est toujours présente dans les débats sociaux, au Québec et ailleurs. Les textes réunis dans cet ouvrage sont en droite ligne d'une longue tradition d'interventions de la part des démographes, pour lesquels la critique et l'analyse des données jouent un rôle central. La contribution de ces scientifiques est aujourd'hui malmenée, notamment à cause de certains médias sociaux, par l'émergence d'une forme d'incrédulité, voire de rejet, à l'égard des études statistiques, comme en témoigne l'apparition de nouveaux concepts tels la « post-vérité », les « faits alternatifs » et autres « dérèglements du marché de l'information ». Pourtant, c'est en tenant compte de ce que dit la science que nous pouvons vraiment documenter les grands enjeux démographiques, les comprendre et parfois suggérer des pistes de solution. Les 37 spécialistes de la démographie, de la sociologie ou de l'histoire réunis ici abordent de façon claire, précise et concise, des questions souvent cruciales, voire incontournables. Des nombreuses transformations de l'institution familiale à la santé et la mortalité, l'immigration, la diversité, le vieillissement et ses répercussions sur la santé, en passant par l'éducation, l'environnement, le logement et enfin l'aide au développement, ce livre s'avérera inestimable pour une incursion de l'approche démographique. Au cœur de cette dernière, repose la question de la disponibilité des données probantes pour mener à bien des analyses approfondies capables de nourrir le discours démocratique sur les enjeux sociaux.

Résumé : Berceau de la bande dessinée au XIXe siècle, l'Europe incarne aujourd'hui l'une des trois grandes traditions du récit graphique, aux côtés des comics américains et des mangas japonais. Soixante-huit dessinateurs et cinq scénaristes de premier plan, originaires de treize pays, sont ici réunis, et permettent de découvrir ce riche patrimoine de ses origines à nos jours.. L'Europe fut, au XIXe siècle, le berceau de la bande dessinée. Plus que centenaire, la BD n'a jamais vu diminuer sa popularité et sa pertinence. C'est un média artisanal capable de donner corps à toutes les plus folles productions de l'imaginaire grâce au dessin. Douze chapitres interrogent une tendance de l'histoire de la bande dessinée et esquissent des rapprochements entre les auteurs.

Résumé : Dragon Ball. Le Livre hommage est le premier ouvrage du label FORCE. C'est sous ce dernier que les éditions Third traiteront non plus du média jeu vidéo, mais de la pop culture en général : du cinéma à la sérié télé, du manga au comic, de l'anime à la bande dessinée franco-belge. Ce premier ouvrage du label s'intéresse donc à la légende Dragon Ball, le manga culte des années 1980-1990. À l'occasion des trente ans de la série animée, les éditions Third se proposent donc de retracer toute l'histoire de l'oeuvre majeure d'Akira Toriyama. À la manière des ouvrages sur les sagas Zelda ou Final Fantasy, ce livre traitera avec la même précision de la genèse du manga, de la richesse de l'univers et des différents messages que véhicule la série du héros Son Goku.

Résumé : Depuis près de trente ans, Zoe Leonard jouit d’une reconnaissance internationale pour son œuvre qui, ancrée dans la photographie, prend également la forme d’installations et de sculptures. Son travail est avant tout le fruit d’une démarche d’observation dans laquelle se conjuguent une conception documentaire de la photographie et l’acte physique, corporel, du regard. Les migrations et les déplacements, le genre et la sexualité, le deuil et la perte, l’histoire culturelle ou encore les tensions entre monde naturel et environnement construit sont autant de thèmes récurrents dans son œuvre. L’exposition au Mudam présente pour la première fois Al río / To the River, un vaste projet photographique initié en 2016 qui a pour sujet le Rio Grande (le nom du fleuve aux États Unis) ou Río Bravo (son nom mexicain). Plusieurs années durant, l’artiste a photographié le fleuve le long des 2 000 kilomètres où il marque la frontière entre les États-Unis mexicains et les États-Unis d’Amérique, suivant son cours depuis les villes frontalières de Ciudad Juárez au Mexique et d’El Paso au Texas jusqu’au golfe du Mexique. Œuvre épique de par son envergure, Al río / To the River est le fruit d’une observation attentive de l’environnement bâti et naturel du fleuve, de ses paysages désertiques et montagneux jusqu’aux villes et villages qui le bordent, où la vie quotidienne se déroule en parallèle des activités liées à l’agriculture, au commerce, à l’industrie, et à la surveillance de la frontière. Les photographies de Zoe Leonard se concentrent notamment sur l’accumulation des infrastructures aménagées le long du fleuve pour contrôler le débit de l’eau et réguler le passage des marchandises et la circulation des personnes : barrages, digues, routes, canaux d’irrigation, ponts, pipelines, clôtures, postes de contrôle.« La nature changeante du fleuve – qui déborde périodiquement, change de cours et creuse de nouveaux sillons –, va à l’encontre de la fonction politique qu’il est censé remplir », commente l’artiste. Al río / To the River est structurée en trois parties, dont un Prologue et une Coda. Chacune d’entre elles engage une réflexion sur le langage photographique, passant, de manière fluide, de l’abstraction à l’image documentaire, puis aux images numériques de caméras de surveillance. Travaillant avec un appareil argentique tenu à la main, Zoe Leonard assume une position physique par rapport au fleuve. Bien que toujours subjectif, le regard qu’elle porte sur lui n’est jamais figé. Passant fréquemment d’un côté à l’autre du cours d’eau (et donc d’un pays à l’autre), l’artiste évite d’adopter un point de vue unilatéral au profit d’une suite de perspectives mobiles et changeantes. Dans Al río / To the River, Zoe Leonard va à l’encontre des images réductrices de la frontière véhiculées par les médias. Elle rend au contraire tangible la multiplicité des forces et des influences qui traversent le fleuve, qu’il s’agisse des intérêts commerciaux et industriels, des histoires culturelles, ou des liens familiaux qui se tissent par-delà la frontière. Elle s’intéresse aussi aux animaux et aux plantes de la région, qui subissent une pression accrue en raison de la sécheresse et du changement climatique, mais aussi des conceptions humaines souvent contradictoires appréhendant le fleuve tout à la fois comme un cours d’eau « sauvage et pittoresque », un réservoir d’eau et une frontière politique.

Résumé : Animal Crossing est l'une des séries de jeux vidéo les plus célèbres qu'ait jamais produites Nintendo. Elle est née il y a bientôt vingt ans à destination d'une machine qui fonctionnait encore avec des cartouches en plastique. Depuis, toutes les consoles de la firme de Kyôto ont eu droit à leur propre épisode avec ses adorables petits animaux. Lorsqu'on passe en revue l'histoire complète du média, il est difficile de trouver une expérience ludique qui ait à ce point su caresser le cœur humain avec tant d'amour, et ce, malgré la présence d'un écran. Toutefois, cette délicatesse est-elle le seul trait distinctif d'Animal Crossing ? Ce sont des jeux complexes et contradictoires, pleins de lumière bien sûr, mais avec aussi des zones d'ombre où certains des aspects les plus froids du capitalisme se sont glissés subrepticement, essayant de passer inaperçus. Produit industriel, artefact expressif, héraut inattendu d'une des plus grandes révolutions récréatives de ces dernières années, outil de communication ou miroir déformé des ambitions et névroses de son géniteur... Voici quelques unes des facettes que tentera de révéler cette visite guidée à travers le petit village coloré et bucolique. Un voyage qui nécessitera bien des haltes et empruntera parfois des chemins surprenants... Bienvenue dans le hameau joyeux et paisible d'Animal Crossing !

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