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Résumé : Réunis au coeur du Mercantour, des soldats vont rompre leur isolement, reprendre goût à la vie, se questionner sur leur avenir. Pour ces vétérans qui tous souffrent de stress posttraumatique, c'est une étape importante de quelques jours à peine dans un long parcours de reconstruction.

Résumé : Au Royaume-Uni, un groupe de personnes qui entendent des voix échangent sur leurs luttes intimes et sociales quotidiennes. La « folie » est ici abordée sous l’angle d’une conscience aiguë du réel et fait écho à toutes nos souffrances secrètes.

Résumé : "Out of Mind, Out of Sight est la suite du documentaire intitulé NCR : non criminellement responsable, un film sur le traitement réservé aux personnes ayant commis des crimes violents et déclarées non criminellement responsables (ou NCR) pour cause de maladie mentale. Dans Out of Mind, Out of Sight, Kastner entremêle les histoires intenses de quatre patients du centre de santé mentale de Brockville (en Ontario au Canada), qu'il a pu filmer sur une période de 18 mois grâce à un accès sans précédent à l'institution.Avec une étonnante franchise, le cinéaste suit le parcours de deux hommes et deux femmes qui mènent un dur combat pour reprendre leur vie en main, et pouvoir ainsi retourner dans une société où ils sont généralement craints et diabolisés. L'histoire principale porte sur Michael, un patient qui a assassiné un membre bien-aimé de sa famille lorsqu'il était dans un état psychotique et qui est maintenant rongé par la culpabilité. Carole et Sal, quant à eux, sont aux prises avec des hallucinations auditives - des voix qui les somment de faire des choses terribles - et qui, contre toute attente, sont tombés amoureux l'un de l'autre. Justine s'est liée d'amitié avec Ashley Smith, un cas désespéré, dont l'état mental est très semblable au sien. À la consternation du personnel soignant, Justine commence à suivre Ashley sur le chemin solitaire de l'autodestruction." (film-documentaire.fr)

Résumé : Rapatriés sains et saufs mais l’esprit en morceaux d’Irak ou d’Afghanistan, une douzaine de jeunes soldats américains tentent de retrouver une vie normale après l’expérience traumatisante du front. Ils ont été admis au Pathway Home (foyer des vétérans de guerre) de Yountville, Californie, en 2008 pour suivre une thérapie de cinq ans destinée à guérir leur « PTSD » (syndrome de stress post-traumatique).

Résumé : "Comment se passe la vie des fous quand ils ne sont pas internés ? C’est pour répondre à cette question qu’Anush Hamzehian a tourné dans la ville de Trieste où les fous vivent en liberté depuis que l’hôpital psychiatrique a fermé ses portes en 1978. On surnomme même Trieste "Le Hollywood des fous" car on y trouve une troupe de comédiens mondialement connue, L’Académie de la folie, qui monte deux spectacles par an dans le plus prestigieux théâtre de la ville. Les comédiens de cette compagnie singulière, Claudio, Dario, Donatella, Charlie, Pino… sont les personnages très attachants et forts de ce film où l’on suit la préparation de la prochaine pièce de l’Académie en découvrant comment, dans ce lieu unique au monde, la folie des uns peut se fondre dans la ville des autres. On suit avec étonnement, humour et tendresse leur vie au quotien, leur questionnement sur notre société..." (Source Editeur)

Résumé : "Etre là" rend compte du quotidien du service de psychiatrie de la prison des Baumettes à Marseille (le SMPR, Service médico-psychiatrique régional). Le tournage concentré en trois semaines s'est construit sur un travail préparatoire d'une année environ. Essentiellement composé de femmes le SMPR est un lieu de soin et d'écoute où le sujet est au centre du dispositif thérapeutique qui repose sur une prise en charge pluridisciplinaire. Le film s'articule autour de deux mouvements entrecroisés : la parole de Sophie, psychiatre et les entretiens avec les patients incarcérés. Le témoignage de Sophie, médecin psychiatre, qui décrit et analyse son rapport à son métier dans l'institution ; le maître-mot est "Résistance", résistance pour préserver l'espace du soin face à l'univers carcéral qui a tendance à tout phagocyter, résistance à soi, au repli, à la tentation du retrait qui taraudent le soignant. Cette réflexion cohabite avec les entretiens avec les patients menés par Sophie et d'autres psychiatres de l'équipe, le travail des infirmières et des séances avec l'ergothérapeute. Sans jamais montrer le visage des prisonniers / patients, "Etre là" met au premier plan le récit, l'écoute active et l'éthique en marche de chaque instant à l'oeuvre parmi tous les membres de ce service où l'on soigne, aide, rétablit du lien social comme la relation soignants/soignés. Le choix du noir et blanc permet une mise à distance de la réalité filmée tout en la rendant plus expressive. Régis Sauder fait non seulement la chronique d'un service de psychiatrie dans une prison dont fut révélée récemment la vétusté, la saleté et la surpopulation mais permet aussi et surtout une interrogation sur la place du soin, de l'écoute et de la psychiatrie dans notre société.

Résumé : Le suicide des agriculteurs est tabou en France. Malgré l'absence de chiffres officiels on compterait au cours de l'année 2009 entre 400 et 800 morts par suicide dans nos campagnes. "Expert dans l'art de filmer patiemment des êtres abîmés par la vie, ce film touche avec une sincérité à fleur de peau la question de la dépression des paysans" (Les Inrockuptibles)

Résumé : Eugène Gabritschevsky (1893-1979), biologiste réputé atteint de troubles du comportement, fut interné dans un hôpital près de Munich, dont il ne sortira jamais. Il y a peint des œuvres envahies de fantômes et de présences séduisantes. Annie Le Brun, Jean-Didier Vincent, Daniel Cordier et Pierre Chave témoignent de sa force artistique. (Source éditeur). Avant d'être interné en 1929, il travailla à l'Université Columbia de New-York et à l'Institut Pasteur. Il était passionné de génétique.

Résumé : L'histoire de la rencontre de Romain Carciofo avec l'autisme et plus précisément son voyage à travers la France pour répondre à une question : comment accompagne t-on les personnes atteintes d'autisme dans notre pays ? Un documentaire qui apporte un éclairage émouvant sur la situation de l'accompagnement des personnes atteintes d'autisme en France. Une situation suffisamment alarmante pour la déclarer Grande cause nationale 2012 et réclamer des "solutions d'espoir".

Résumé : Ces portraits sont ceux de malades ou de soignants suivis ou travaillant à l'Hôpital de jour de Gonesse. Il s'agit ici de donner la parole et de restituer les différentes perceptions de chaque participant. Les patients sont filmés en gros plans ou lors d'activités (ergothérapie, ateliers cuisine, cartes, dominos, piscine). L'infirmière, la psychologue, le médecin, la femme de ménage font également partie du tableau ainsi dressé et sont portraiturés par les patients en quelques mots.

Résumé : Christophe André est psychiatre à l'Hopital Sainte-Anne à Paris et psychothérapeute. Son travail s'inscrit dans la mouvance des TCC (Thérapies comportementales et cognitives). Selon lui, "on peut distinguer la psychiatrie et la psychothérapie en comparant les médicaments à la bouée de sauvetage qui permet de ne pas se noyer et la psychothérapie aux leçons de natation qui permettent de nager". Christophe André se considère avant tout comme un soignant et pense que la psychothérapie est un soin qui doit être évalué. Les TCC exigent des exercices pratiques ce qui les rapprochent de la philosophie stoïcienne. Elles sont particulièrement efficaces dans le cas des phobies. Par ailleurs Christophe André préconise la méditation de pleine conscience (attitude héritée des sagesses orientales) qui crée un état mental armant le patient contre le stress et la dépression.

Résumé : Elève de Tobie Nathan puis Professeure de psychiatrie de l'enfant et de l'adolescent à l'Université Paris Descartes, Marie-Rose Moro est psychanalyste et présidente de l'Association Internationale d'EtnoPsychanalyse (AIEP). "C'est pour, une nouvelle fois, réconcilier deux passions, celle de la psychanalyse et celle de l'anthropologie que j'ai cherché et trouvé sur mon chemin la perspective transculturelle à laquelle je me suis formée en particulier auprès de Nathan. Dans les années 1980, il était le représantant de l'etnopsychanalyse en France. C'est ainsi que je suis devenue pédopsychiatre et psychothérapeute d'enfants et d'adolescents et que j'ai créé à l'hôpital Avicenne une première consultation transculturelle pour les enfants de migrants et leurs parentsben adaptant le dispositif transculturel pour la seconde génération et en soulignant, l'importance, pour les enfants de migrants, de la langue maternelle et des stratégies de métissages....Je m'occupe maintenant de la maison de Solenn, Maison des adolescents de l'hôpital Cochin à Paris depuis 2008 où j'ai crée une nouvelle consultation transculturelle pour les enfants de migrants et une consultation transculturelle pour les enfants de l'adoption internationale." (M.-R. Moro). Très engagée dans la formation à la psychothérapie des jeunes médecins et des psychologues, M.-R. Moro a créé en 1998 le premier diplôme universitaire de psychiatrie transculturelle à la Faculté de médecine de Bobigny.

Résumé : Enquête de terrain sur les troubles psychiques des enfants entre 6 et 12 ans.Troubles obsessionnels compulsifs, hyperactivité, anxiété, phobie scolaire, anorexie, retards de développement, dépression, près d'un enfant sur sept souffrirait de troubles psychiques et/ou cognitifs au moment d'entrer à l'école primaire. Entre psychiatrie et éducation comment circule la parole médicale ? Si, en France, comme souvent en Europe, psychiatres et psychanalystes privilégient "l'écoute du sujet" et les traitements psychothérapeutiques en évitant le plus possible les médicaments, au Canada et aux USA c'est au contraire la prescription médicamenteuse qui prévaut et est parfois la seule réponse thérapeutique. Bernard Martino nous aide à comprendre les enjeux de la prise en charge tout en dressant un état des lieux.

Résumé : Au Centre hospitalier universitaire Avicenne de Bobigny Marie-Rose Moro, psychiatre pour enfants et adolescents, reçoit des familles migrantes venue d'Asie, du Moyen-Orient, d'Afrique et d'ailleurs. Grâce à cette consultation d'ethnopsychanalyse (s'y croisent en effet ethnologie, psychiatrie et psychanalyse) les patients peuvent exprimer leur mal être sans le dissocier de leurs croyances et coutumes. Le film par les extraits des séances dont il se compose rend compte de l' originalité de l'espace clinique crée où la maladie est soignée collectivement grâce à la présence de co-thérapeutes originaires de différents pays.

Résumé : Situé sur le chemin de Saint-Jacques de Compostelle, l'Hôpital de Saint- Alban en Lozère a été depuis les années cinquante un haut lieu de la psychiatrie avant-gardiste et humaniste, initiée par le psychiatre catalan Francesc / François Tosquelles (1912-1994) pour qui "le premier droit de l'homme est le droit au vagabondage" et "Sans la reconnaissance de la valeur humaine de la folie, c'est l'homme même qui disparaît.". Qu'est devenu l'héritage humaniste de la psychothérapie institutionnelle ? A travers les témoignages de Salah et d'autres âmes errantes de l'hôpital François Tosquelles qui croisent les pélerinse et circulent librement dans le domaine du pavillon à la rivière, des ébauches de réponses sont proposées entre réalité, délires, soins psychiatriques et retour chez soi.

Résumé : Parmi tous les crimes et délits, les plus bouleversants pour l'opinion publique sont, de loin, ceux à caractère sexuel. Quand les coupables sont des adolescents, c’est l’incompréhension. Mais, au-delà du choc du passage à l’acte et de l’image de monstre qui leur colle à la peau, qui sont-ils vraiment ? Quel est leur parcours de vie pour en arriver là ? Peuvent-ils être soignés ?À l’antenne de Psychiatrie et Psychologie légale de La Garenne Colombe, on tente depuis 10 ans une expérience rare en France. Des adolescents de 13 à 18 ans, auteurs de violences sexuelles, viennent ici chaque semaine sur obligation du juge, pour suivre une psychothérapie. Dans ce service spécialisé, Samuel Lemitre est psychologue criminologue. Il suit ses jeunes patients pendant plusieurs mois, voire plusieurs années, en consultations individuelles ou en thérapies de groupe. Par une immersion inédite au cœur de ses consultations habituellement tenues à huis clos, "Jeux criminels" explore la pratique engagée de ce psychologue atypique, en questionnant les causes de ces violences et les soins possibles pour éviter la récidive.(Source éditeur)

Résumé : Une histoire de l'ECT (Electro Convulsive Therapy) plus connu sous le nom d'électrochoc, toujours utilisé aujourd'hui, soixante-dix ans après son invention, comme recours ultime pour le traitement des dépressions rebelles graves. Son inventeur, Ugo Cerletti, neuropsychiatre italien ensaignait à l'université de Rome dans les années 30. Le film donne des éléments de réflexion quant à cette technique qui repose sur l'induction de convulsions chez le patient en faisant passer un courant électrique de 0,9 Ampère à travers le cerveau au moyen d'électrodes appliquées sur la tête. Dans cette enquête sur l'une des techniques thérapeutiques les plus controversées la parole est donnée à des psychiatres comme à des patients/témoinsde l'utilisation frénétique de l'ECT dans les asiles italiens d'avant leur fermeture dans les années soixante-dix ainsi qu'à des malades soignés par électrochocs de nos jours.

Résumé : Au départ film de commande destiné à devenir un outil pédagogique à l'attention des infirmiers qui ne reçoivent plus de formation spécifique en psychiatrie, Valvert, fait avec subtilité éclater ce cadre pour devenir un documentaire qui certes renseigne, apprend mais surtout aide à ouvrir des perspectives, à poser des questions. Né de la psychiatrie institutionnelle, Valvert, créé au milieu des années 70, est un hôpital psychiatrique proche de Marseille où règne " un esprit d'ouverture et de libre circulation". L'observation du quotidien et une grande place accordée aux patients sont la matière du film où coexistent des entretiens avec des soignants ou du personnel de l'institution comme la bibliothécaire/documentaliste, des moments d'interaction entre patients et soignants, des rites de la vie quotidienne (repas, prise des médicaments). Même s'il y eut des repérages importants et un projet en amont, Valvert, illustre ce que la réalisatrice nomme "une ouverture formelle quant à l'acceptation de plus en plus grande de l'inconnu, du fortuit, au moment du tournage". Et de poursuivre : "Le sujet reste proche de mes thèmes de prédilection : les limites du langage, les bizarreries, le quotidien... une certaine folie finalement. Je crois que le lien existe aussi dans la recherche de situations, de scènes où le rire est possible. Je trouvais important de montrer que dans un lieu comme celui-là, où la violence et l'abattement sont souvent d'une intensité extrême, le sens de la dérision est présent et permet souvent de tenir le coup."

Résumé : A partir d'une proposition du réalisateur à savoir dessiner de mémoire une carte géographique la parole est donnée aux patients de l'hôpital de jour de Gonesse qui commentent avec des souvenirs et proposent leur vision du monde.

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