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  •    Sujet : Maternité -- Aspect psychologique
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Résumé : Aujourd'hui, en France, un bébé nait toutes les six heures d'un déni total ou partiel de grossesse. Ce sujet reste toujours tabou, relégué au silence qui entoure souvent l'intimité du corps féminin. Le déni de grossesse reste le phénomène le plus mystérieux et le plus sidérant auquel la médecine et la science ont à faire. Une vie s'est développée sans que rien n'ait permis de la voir ou de la sentir. Trois femmes et un homme ainsi que des proches vont refaire l'histoire de ces neuf mois de silence. Puis ils évoqueront la vie après le déni, le lien avec leurs enfants, et pour Laëtitia, la prison et le manque de cet enfant, étouffé dès la naissance. Avec la voix d'Ariane Ascaride.

Résumé : Une unité de soins pilote de maternologie en milieu hospitalier à Saint-Cyr l'Ecole en région parisienne. Là sont accueillies des mères en très grande souffrance après la naissance de leur bébé. Cette souffrance (taboue dans nos sociétés de la performance et de la naissance idyllique) est bien au-delà du baby blues et consiste dans la difficulté pour certaines femmes de se sentir mère et d'aimer leur enfant après l'accouchement (trouble qui atteindrait 10% des femmes selon l'OMS). Le film montre divers aspects de la thérapie dont "la vidéo clinique" (filmage de la mère et du nourisson au moment des tétées pour déchiffrer jusqu'au ralenti les comportements). Le film suit le parcours de trois femmes et de leur enfant et propose un entretien avec une mère suivie dans cette unité de soins deux ans après son hospitalisation. Les conjoints sont aussi filmés, ils parlent de leur ressenti dans la grave dépression de leur compagne. Le film se fait l'écho du grand désir pour les mères de construire le lien avec leur enfant.

Résumé : Le réalisateur se confie : "Il y a six ans, ma compagne m'annonçait que j'allais devenir père. J'ai pris ma caméra et j'ai filmé durant les neuf mois qui ont suivi, pour conjurer la peur qui m'habitait... Le film raconte ce moment particulier dans la vie d'un homme et le dur chemin de la filiation paternelle..."

Résumé : "C'est ainsi Johan que je t'adresse, alors que tu n'es plus, une lettre que bien sûr, de ton vivant, je ne t'aurais jamais écrite. Ce n'est pas simple de s'adresser à quelqu'un qui n'est plus. Une bouteille à la mer, on pourrait dire. On pourrait le dire de tous les films." (D.Gheerbrant)

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