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  •    Sujet : Misrahi, Robert (1926-2023)
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Résumé : Une introduction à la philosophie du bonheur de Robert Misrahi en définissant tout d'abord ses principes et ses fondements. L'auteure explicite ensuite plusieurs concepts tels que le sujet, la conscience, la réflexivité, la réflexion, la spécularité, la réversibilité, la réciprocité, le désir, la liberté, la crise, la conversion, le bonheur, les actes de joie ou encore l'amour. ©Electre 2022

Résumé : Ce livre rassemble des actes du colloque consacré, en 2012, à Robert Misrahi, en sa présence. Des philosophes ont exposé les grands axes de sa pensée, des spécialistes d'autres disciplines ont montré que celle-ci avait essaimé dans de nombreux champs de pratiques, tissant une trame complète dans la philosophie et la vie de Misrahi, avec échanges et témoignages.

Résumé : Après «  La pensée post-nazie  » et «  L'autre pensée 68  », tous deux publiés au printemps 2018, voici le dernier volume de l'extraordinaire chantier de Michel Onfray  : écrire une «  contre-histoire  » de la philosophie, cheminant le long de la philosophie officielle, majoritaire, face à elle, et envisager une contre-philosophie embrassant tous les domaines, métaphysiques, esthétiques, politiques, phénoménologiques, poétiques, sociaux.  Et proposant des œuvres, des lectures, des philosophes inconnus.Voici donc «  La résistance au nihilisme  ».  «  Les promesses de Mai n'ont pas été tenues.  La révolution politique n'a pas eu lieu, quelle qu'aient pu être ses formes. En revanche la révolution métaphysique a eu lieu, elle a été libertaire. Le meilleur fut la fin d'un monde tout entier construit sur la hiérarchie qui, étymologiquement, suppose le pouvoir du sacré. Le patriarcat associé au monothéisme chrétien avait fait son temp. Pour autant, la fin des valeurs judéo-chrétiennes n'a pas été suivi par l'avènement de nouvelles valeurs postchrétiennes. Dès lors, l'abolition de la domination du supérieur par l'inférieur a accompagné une transvaluation des valeurs de sorte que l'inférieur s'est mis à dominer le supérieur. Jadis, le patron faisait la loi sur les ouvriers, les enseignants sur leurs élèves, les parents sur leurs enfants. Après Mai ce fut l'inverse. Révolte des esclaves aurait dit Nietzsche  : le nihilisme comme symptôme de ce que les déshérités n'ont plus aucune consolation  ».Après une longue introduction sur la construction du nihilisme (le «  gauchisme culturel  », l'antifascisme et l'antiracisme revisités, le structuralisme, Deleuze, les nouveaux philosophes, Foucault, les libéraux libertaires, la «  gauche libertaire  » de Bourdieu…), Michel Onfray s'arrête longuement sur trois figures  : Vladimir Jankélévitch  ; Mikel Dufrenne et «  l'affirmation joyeuse  »  ; enfin Robert Misrahi et «  les actes de la joie  ». Avant de conclure sur la vie...

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