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  •    Auteur : Montherlant, Henry de (1895-1972)
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Résumé : Derrière une œuvre, il y a un homme. On aime se le figurer surtout lorsque cette œuvre détient des éléments de grandeur. Dans tout ce livre d'Essais, Montherlant parle en son nom. On y voit quelle est son expérience ou son idée du bien, de l'action, du devoir, de la volonté, de l'honneur, du bonheur; et aussi comment il a réussi à poursuivre cet accomplissement personnel en faisant entrer tout – même ce qui nous dépossède le plus : passion, société, luttes politiques, guerres – dans la création littéraire qui seule lui semble majestueuse et sûre.Montherlant s'est donné pour but dans ses Essais, comme dans son œuvre de fiction, de se comprendre, de comprendre les hommes et les choses.De La Relève du matin (1920) à Textes sous une occupation (publié en 1953) persistent les mêmes inébranlables convictions lancées sous le même sombre horizon : la guerre et la mort qui ont pris Montherlant de bonne heure.«L'union de cette ironie avec une écriture royale», que Malraux a pu souligner chez Montherlant, fait le prodigieux observateur qui a écrit pour les archives de l'histoire au niveau des «sceptiques sans ambition», les mémoires du demi-siècle qui vient de s'écouler.

Résumé : Il s'agit de carnets et de fragments en marge de ceux publiés en 1975 dans ¤¤Tous feux éteints¤¤. Montherlant a laissé un chaos de brouillons et de textes gribouillés, souvent illisibles. Les éditeurs ont découvert ainsi des notes et des pensées inédites, mais aussi des phrases et répliques, extraits de sa production et réutilisés dans un autre contexte.

Résumé : A l'occasion des 40 ans de la disparition de l'écrivain, l'auteur revisite l'oeuvre dramatique et romanesque de Montherlant, à travers l'étude de ses trois sources d'inspiration : le monde romain, le christianisme et le patriotisme.

Résumé : «Montherlant (1895-1972) n'a jamais refait le même roman : tantôt barrésien, tantôt balzacien, ennemi des femmes ou ami des garçons, il coule une personnalité encombrante dans un style classique. Le théâtre donne à son talent la tension la plus grande, et rien ne lui fait peur : Port-Royal est une gageure. Le culte du moi aboutit, dans les dernières œuvres, lorsque les plaisirs se sont enfuis, à une élégance désespérée, celle de Sénèque, Romain d'Espagne comme lui.»Jean-Yves Tadié.

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