Recherche simple :

  •    Tous les mots : Peinture -- Chine
  • Aide
  • Eurêkoi Eurêkoi

Documents en rayon : 240

Voir tous les résultats les documents en rayons

Résumé : Cet artiste, l'un des plus illustres représentants de l'abstraction, puise son inspiration dans les paysages et les techniques traditionnelles de la Chine, la poétique et l'ambition plastique de l'Occident (l'autre monde du peintre), ses travaux personnels réalisés pour des amis poètes.

Résumé : Présentation de 90 oeuvres protéiformes (aquarelles, encres de Chine, huiles sur toile) réalisées entre 1935 et 2009 par l'artiste d'origine chinoise Zao Wou-Ki. Issues de collections publiques et privées, elles témoignent de l'obsession de ce peintre consistant à donner à voir ce qui ne se voit pas. ©Electre 2021

Résumé : Catalogue proposant une exploration du taoïsme à travers 250 oeuvres d'art (peintures, sculptures, bronzes, textiles, etc.) issues des collections du musée Guimet ou de musées de Chine, d'Europe ou des Etats-Unis. Des essais abordent différents thèmes fondateurs et pratiques de la religion : la cosmologie chinoise, les talismans, les temples, l'alchimie, la quête d'immortalité, etc.

Résumé : Edition critique de cet ouvrage daté du milieu du XVIe siècle, composé de 77 peintures et commandé par des Portugais installés à Goa. Il est une source majeure pour la connaissance de l'Orient à cette époque car y sont représentés les peuples orientaux, hommes et femmes, ainsi que quelques-unes de leurs coutumes religieuses, du cap de Bonne-Espérance jusqu'à la Chine. ©Electre 2022

Résumé : Fils d'officier, qui se tourne dans un premier temps vers la peinture puis se fait embaucher par nécessité à l'ancienne Toho comme assistant-réalisateur de cinéma, A. Kurosawa tourna notamment : L'ange ivre (1948), Un duel silencieux (1949), Chien enragé (1949), L'idiot (1951), Les sept samouraïs (1954), Dersou Ouzala (1975), Ran (1980), Madadayo (1993).

Résumé : Deux fictions invitent à un voyage dans une Suisse profonde et tourmentée. Ils sont suivis de relations de voyages dans la Chine populaire de 1982 et dans celle d'aujourd'hui. Ces récits sont entrecoupés de deux portraits : celui de Paul Léautaud immortalisé par le peintre Matisse, et celui d'Ernest Renan à l'époque où une grave crise de conscience le conduit à quitter le séminaire. ©Electre 2019

Résumé : Auckland, Nouvelle-Zélande, 1994. Baguette, jeune punk asiatique et bouddhiste, fait partie d'un groupe d'anarchistes projetant de saboter une chaîne de fast-food. Il est chargé de poser une bombe dans l'établissement avec Tracy mais celle-ci s'enfuit après avoir lancé une bombe de peinture dans une boucherie. Continuant sa route seul, il découvre une fille qui a enjambé la rambarde d'un pont. ©Electre 2015

Résumé : Chaque volume de cette édition des oeuvres complètes de M. Butor présente des scansions inédites et déborde son cadre, en une transcription chronologique des oeuvres.

Résumé : Catalogue présentant les oeuvres de l'artiste français, notamment des dessins réalisés à l'encre de Chine et des fragments d'aquarelle. ©Electre 2019Emmanuel Régent est né à Nice, il vit et travaille à Villefranche-sur-Mer et à Paris. Diplômé de l'École nationale supérieure des beaux-arts de Paris en 2001, ses dessins, peintures et sculptures sont régulièrement présentés au sein de galeries et institutions en France et à l'étranger. Il ponce des tableaux monochromes, déchire ses aquarelles, récolte des morceaux d'épaves de bateaux sous l'eau ou dessine durant des heures au feutre à l'encre noire des files d'attente, des rochers de bord de mer, des traces d'avions écrasés, des vestiges archéologiques ou des villes contemporaines en ruines. Son oeuvre développe une réflexion sur le temps, à la fois de la pratique artistique et de la chronophagie contemporaine, en faisant de la lenteur un instrument de résistance au flux d'images instantanées qui caractérise notre époque.

Résumé : Nouvelle monographie de l'artiste américain, présentant une trentaine d'œuvres inédite réalisée spécifiquement pour un double projet curatorial d'envergure, avec un essai approfondi, sous la forme d'une enquête, de Tristan Garcia. Wade Guyton produit également des sculptures, des dessins ou des installations, mais il a choisi pour ce projet de se restreindre uniquement au format « peinture ». Il aborde ici un nouveau chapitre avec un ensemble de pièces clairement figuratives en parallèle à d'autres plus abstraites, toutes ayant été conçues entre 2015 et 2016. L'image centrale du projet, déclinée dans diverses dimensions, est une photographie prise dans son atelier. L'irruption soudaine d'éléments biographiques tirés du réel et de son quotidien bouleverse l'iconographie à laquelle l'artiste nous avait habitué et ouvre de nouvelles perspectives. À travers la mise en abyme de son propre travail, Wade Guyton continue d'interroger l'ensemble de la chaîne de production et de représentation ainsi que le devenir image de l'art. Publié à l'occasion des expositions de Wade Guyton au Consortium, Dijon, du 25 juin au 25 septembre 2016 et au MAMCO, Genève, du 12 octobre 2016 au 29 janvier 2017.

Résumé : Biographie du peintre surréaliste britannique (1889-1946) dont l'oeuvre est marquée par le traumatisme des tranchées qu'il a vécu durant la Première Guerre mondiale. Les rêves de l'artiste sont hantés par l'image perpétuelle d'un chien noir qui agit comme un présage, un messager, un ennemi et un ami. ©Electre 2017

Résumé : Rétrospective de l'oeuvre de cet artiste originaire de Chine et installé à Paris. Ses tableaux évoquent la recherche d'un équilibre entre les modes de pensée et d'expression de l'Orient et de l'Occident ainsi que son intérêt pour l'être humain. L'esthétique, la plasticité et l'élément tragique sont au coeur des peintures de cette figure de l'art contemporain chinois. ©Electre 2019 Le volume se compose d'un ensemble représentatif des œuvres picturales de Peng Wan Ts réalisées en une cinquantaine d'années de production artistique. Un grand nombre des tableaux reproduits dans l'ouvrage qui accompagne l'exposition consacrée à l'artiste par le musée d'Art moderne de la Ville de Paris sont inédits : le principal exemple est l'œuvre intitulée Banquet qui sera offerte à l'institution muséale à cette occasion.Dans les tableaux de Peng Wan Ts transparaît clairement la recherche poursuivie par l'artiste d'un équilibre entre les modes de pensée et d'expression de l'Orient et de l'Occident, ce qui fait de lui une figure de référence pour l'art contemporain chinois. Son approche reflète son intérêt indéniable pour la personne humaine, aspect indissolublement lié à sa découverte de l'art occidental, de Michel-Ange en particulier. Esthétique et plasticité sont les deux thèmes clés de sa poétique, sans oublier l'élément tragique qui lui permet de réfléchir à l'homme, à son histoire individuelle et collective, et à son intériorité.

Résumé : Cette réévaluation étonnante offre une reconnaissance longtemps attendue à l'énorme contribution au domaine de l'art contemporain des femmes artistes en Amérique latine et à celles du patrimoine latino et chicano qui ont travaillé pendant une période charnière de l'histoire. Au milieu du tumulte et de la révolution qui ont caractérisé la seconde moitié du XXe siècle en Amérique latine et aux États-Unis, les femmes artistes revendiquaient leurs droits dans presque tous les domaines. Ce vaste volume examine le travail de plus de 100 artistes féminines avec près de 300 œuvres dans les domaines de la peinture, de la sculpture, de la photographie, de la vidéo, de l'art de la performance et d'autres médias expérimentaux. Une série d'essais thématiques, classés par pays, aborde les contextes culturels et politiques dans lesquels ces artistes radicaux ont travaillé, tandis que d'autres essais abordent des questions clés telles que le féminisme, l'histoire de l'art et le corps politique. Puisant son inspiration dans les brochures, les catalogues et les affiches de l'époque, il s'agit du premier examen d'une période très influente de l'histoire de l'art au XXe siècle. (d'après l'éditeur). Contents : Foreword / Ann Philbin -- Acknowledgments ; Introduction / Cecilia Fajardo-Hill and Andrea Giunta -- The invisibility of Latin American women artists: problematizing art historical and curatorial practices / Cecilia Fajardo-Hill -- The iconographic turn: the denormalization of bodies and sensibilities in the work of Latin American women artists / Andrea Giunta -- Feminist art and "artivism" in Latin America: a dialogue in three voices / Julia Antivilo Peña, Mónica Mayer, and María Laura Rosa -- Fallen monuments: the feminist continuum / Connie Butler -- Exhibition themes -- Plates -- Argentina. In praise of indiscipline / Rodrigo Alonso -- Brazil. To construct new houses and deconstruct old metaphors of foundation / Maria Angélica Melendi -- Caribbean. "Yo misma fui mi ruta": a decolonial feminist analysis of art from the Hispanic Caribbean / Marcela Guerrero -- Central America. One hundred times one / Rosina Cazali -- Chile. Poetics of resistance / Andrea Giunta -- Colombia. In the first person: poetics of subjectivity in the work of Colombian women artists, 1960-1980 / Carmen María Jaramillo -- Mexico. Corporeal apparitions/Beyond appearances: women and bodily discourse in Mexican art, 1960-1985 / Karen Cordero Reiman -- Paraguay. A country of women? / Andrea Giunta -- Peru. Making sense of violence: women artists in Peru, 1960s-1980s / Miguel A. López -- United States. "No son todas las que están ni están todas las que son" / Carla Stellweg -- Uruguay. Traces in the shape of history / Andrea Giunta -- Venezuela. Singular women: experimental art in Venezuela / Cecial Fajardo-Hill.

Résumé : Une exploration des liens entre l'artiste et le cinéma qui témoigne de l'influence du septième art sur l'oeuvre du peintre. Il apparaît lui-même dans le court-métrage Henri Matisse de F. Campaux, en 1946. Il rencontre F.W. Murnau à Tahiti et se passionne pour le cinéma scientifique d'E.-J. Marey et de L. Bull. La Nouvelle Vague française le considère comme l'un de ses maîtres. ©Electre 2019Spectateur assidu, véritable amateur de ciné-clubs et de salles populaires, le cinéphile Henri Matisse se passionne pour ce qui compte en son temps de plus original et de plus lointain, de Jean Renoir à Robert Flaherty, de René Clair a F. W. Murnau, des films scientifiques à Tarzan... Si Matisse aborde légitimement le cinéma comme un divertissement, son oeuvre en reçoit une influence décisive. En retour, le cinéma moderne lui a manifesté de la gratitude et particulièrement la Nouvelle Vague française (Jacques Rivette, Eric Rohmer, Jean-Luc Godard, Jacques Demy, Agnès Varda...).0Cette génération novatrice a élu Henri Matisse comme l'un de ses "patrons", aux côtés de Roberta Rossellini et Jean Renoir. L'art actuel ne s'y est pas trompé. Certains artistes contemporains ont déjà dévoilé les liens profonds qui unissent le peintre passionné de séries graphiques et décoratives avec l'image-mouvement : Jean-Michel Alberola, Pierre Buraglio, Henri Foucault, Madeleine Roger-Lacan, Raymond Hains, Jacques Villeglé, Ange Leccia ou encore Alain Fleischer.

Résumé : L'architecte G. Semper (1803-1879) construisit l'Opéra de Dresde, le Polytechnikum de Zurich et le Burgtheater de Vienne. Il s'intéressa au rapport entre formes végétales et minérales et ornements architecturaux. Il bouscula les hiérarchies admises entre architecture et décor, support et revêtement et promut une pensée du matériau comme corrélat d'une pensée de l'immatérialité de la couleur. ©Electre 2017. L’architecte allemand Gottfried Semper (1803-1879), qui construisit l’opéra de Dresde, le Polytechnikum de Zurich et le Burgtheater de Vienne découvrit à partir de 1826 à Paris les collections naturalistes du Jardin des Plantes. Il s’intéressa alors au rapport entre formes végétales et minérales et ornements architecturaux, devenant un fervent défenseur de la « thèse de la polychromie ». Il se rendit en Italie puis en Grèce, où il exa­mina trois ans durant (1830-1833) les temples et édifices an­tiques à la recherche de vestiges de couleur. Dès ses premiers écrits, il bouscula les hiérarchies admises entre architecture et décor, support et revêtement, forme et ornement, et promut une pensée du matériau qui n’était pas l’antithèse mais le cor­rélat paradoxal d’une pensée de l’immatérialité de la couleur. Pour Semper, l’existence d’une polychromie de l’architecture et la sculpture antiques fondait une réinterprétation profondé­ment neuve des fonctions de l’architecture, qui engageait une anthropologie des constructions humaines, de leurs formes et de leurs techniques. En 1834, Semper retourna en Allemagne où il devint directeur de l’Ecole d’architecture et mena une carrière brillante, brutalement interrompue par la révolution de 1849, à laquelle il prit une part active aux côtés de son ami Richard Wagner ; il conçut à cette occasion un modèle de barricades demeuré fameux. Ses convictions républicaines l’entraînèrent sur la voie de l’exil. Il se réfugia à Paris puis s’installa à Londres. Ce séjour en Angleterre marqua un tournant dans sa théorie : en approfondissant sa connaissance des « arts industriels », il en vint à déceler en eux la matrice des arts monumentaux et des « beaux-arts ». Sa réflexion sur la polychromie entra alors dans une nouvelle phase : le primat historique des textiles suspen­dus, notamment des tapis utilisés comme cloisons temporaires dans les habitats mobiles des nomades devint la clé de la poly­chromie architecturale ; les peintures murales et autres décors de revêtement en couleur portaient dans leurs formes et leur agencement la mémoire de cette origine textile. Cette décou­verte décisive est exposée dans les deux volumes du Style (Der Stil), le texte majeur de Semper (1860 et 1863). Le premier, L’Art textile, étudie les rapports entre décor ornemental et structure du bâti dans différentes cultures et plusieurs époques : « Nou­velle Zélande et Polynésie ; Chine ; Inde ; Mésopotamie ; Phéni­cie et Judée ; Egypte. Ancien et Nouvel Empire ; Asie Mineure ; Grèce ; Grèce ; Rome ; Epoque chrétienne en Occident, en Orient ; Renaissance ». Cette expansion de l’espace de référence de l’histoire de l’architecture a fait dire de Semper qu’il fut un des premiers hérauts des « arts primitifs ». Ce numéro de Gradhiva entend cerner les apports de Semper à une anthropologie de l’architecture et de l’habitat, et amorcer une lecture nouvelle de Der Stil, dont nous livrons des extraits inédits de la première tra­duction française, actuellement en préparation.(source : éditeur)

Explorer les sujets liés :