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  •    Sujet : Peinture -- Italie -- 18e siècle
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Résumé : Histoire de l'art de la fresque en Italie aux XVIIe au XVIIIe siècles, à travers 25 décors à fresque, religieux ou profanes, peints à Rome, Florence, Naples, Turin, Gênes et Naples, par des artistes comme les Carrache, Pierre de Cortone, Luca Giordano, Tiepolo, etc. Analyse les choix iconographiques dans ces programmes et l'évolution de la représentation de l'espace.

Résumé : Esquisse une autre histoire de la peinture bolonaise, où la notion d'école, en tant qu'idée-guide de l'historiographie et que modèle pour la création, apparaît vers 1700 tandis que la demande incite à une certaine homogénéisation de la création. Il est alors difficile de reconnaître dans l'histoire des mondes de l'art bolonais une étape d'un processus d'autonomisation du champ artistique.

Résumé : Présentation de la collection privée à travers 45 oeuvres des XVIIe et XVIIIe siècles parmi lesquelles figurent de grands maîtres français et italiens : Jean-Baptiste de Champaigne, Le Brun, Giovanni Maria Viani...

Résumé : Giacomo Francesco Cipper, dit Il Todeschini, est né en Autriche mais a fait carrière à Milan. Il appartient à un courant naturaliste et peint des scènes de la vie quotidienne peuplées souvent de personnages hilares. Cette exposition confronte ses tableaux à ceux de Bocchi, Sebastianone, Ceruti, Ghezzi et Traversi, et propose une réflexion sur la peinture dite de genre.

Résumé : L'art de la première moitié du XVIIIe siècle à Rome a jusqu'à présent été mis dans l'ombre par les deux grands mouvements qui l'entourent. Cette exposition dévoile les spécificités des arts à cette période : rôle des premiers grands touristes dans son développement, importance des fêtes, place de l'Eglise, influence des académies d'artistes, mécénat des princes dans leurs palais. ©Electre 2020

Résumé : Catalogue raisonné des peintures italiennes du XVIIIe siècle du musée du Louvre, où sont présentées les peintures de tous les foyers artistiques régionaux présents dans les collections. Chaque oeuvre fait l'objet d'une étude complète permettant d'établir un bilan des connaissances. Au total, des notices détaillées pour 197 tableaux conservés au musée du Louvre et 151 déposés hors du musée. ©Electre 2017

Résumé : 130 tableaux pour présenter, exposer, et étudier un siècle de peinture italienne avec des peintres comme Ricci, Guardi, Magnasco, Solimena... Décrit l'histoire de l'Italie au XVIIIe siècle, de ces peintres, des liens qui se sont noués entre la France et l'Italie, de la réception de ces artistes par la société française. Fait l'inventaire des collections françaises en ce domaine.

Résumé : Fabrizio Lemme, avocat romain, décida au début des années 70 d'entreprendre l'acquisition de peintures. La collection a progressivement pris forme et se définit comme un témoignage sur la peinture à Rome entre la fin du XVIIe siècle et celle du XVIIIe siècle. Cent trente tableaux vont être présentés au Louvre, vingt y resteront en donation.

Résumé : Artistes représentés : Canaletto, Francesco Guardi, J. M. William Turner, James McNeill Whistler, John Singer Sargent, Anders Zorn, Pietro Fragiacomo, Edouard Manet, Pierre-Auguste Renoir, Odilon Redon, Paul Signac, Claude Monet

Résumé : Présentation de la manière dont les fêtes vénitiennes du XVIIIe siècle ont été immortalisées par les artistes. Ce dernier âge d'or vénitien est marqué par un déploiement impressionnant d'évènements tant publics que privés, entre fêtes, bals costumés, célébrations, régates, concerts ou opéras. ©Electre 2017

Résumé : L'auteur fait revivre la passion de cet artiste de la peinture vénitienne du XVIIIe siècle. Par la précision des lignes et la douce tonalité de sa palette, les toiles de Canaletto offrent les plus beaux panoramas d'alors.

Résumé : Une vue d'ensemble des splendeurs de Venise au travers des représentations qu'en ont données des artistes tels que Canaletto, Tiepolo, Corradini. Les textes accompagnant les illustrations grand format proposent des analyses d'oeuvres et soulignent les différentes facettes de la civilisation vénitienne du XVIIIe siècle. ©Electre 2018

Résumé : Dresse l'inventaire des dessins originaires de Toscane et datés du début du XVIIe à la fin du XVIIIe siècle, conservés au Musée du Louvre : 1.055 oeuvres de Cristofano Allori, Lorenzo Lipi, Francesco Zucarelli ou encore Cecco Bravo, Giovanni da San Giovanni, Matteo Rosselli, etc. Pour chaque dessin : classification, historique, bibliographie, attributions, comparaisons, interprétation.

Résumé : Dévoile un vaste panorama de l'estampe vénitienne au XVIIIe siècle permettant de découvrir les splendeurs de Venise avec des peintres-graveurs comme Canaletto, Tiepolo, Marieschi ou Longhi.

Résumé : Huit dessinateurs de bande dessinée sont partis sur les traces de Casanova à Venise, la ville muse peinte au XVIIIe siècle par Canaletto et Guardi : François Avril, Griffo, Miles Hyman, Kim Jung Gi, Tanino Liberatore, Loustal, Milo Manara et Zep. Parmi les célèbres observateurs de Venise, deux peintres du XVIIIe siècle, Canaletto et Francesco Guardi ont fait école dans l'art des « vedute », ces tableaux souvenirs que les voyageurs du « Grand Tour » conservaient en mémoire de leur séjour dans l'opulente Cité des Doges. A côté de cette Venise officielle, monumentale, avec ses canaux et ses palais, mise en valeur par ces deux immenses peintres, il existe une autre Venise, plus interlope, celle des casinos, des ruelles et placettes que fréquentait le scandaleux Giacomo Casanova.Huit grands noms de la bande dessinée ont réalisé sur place des œuvres inédites mettant en scène l'aventurier et différentes vues de la ville, sans contrainte de format ni de technique. François Avril, Griffo, Miles Hyman, Kim Jung Gi, Liberatore, Loustal, Manara et Zep ont relevé ce pari. Les dessins nés de ce voyage dialoguent avec des tableaux italiens exceptionnels, provenant des plus grands musées français. (éditeur)

Résumé : Ce livre invite à partager l'enchantement du public du XVIIIe et du XIXe siècle, qui revisitait un fragment du monde antique préservé par la nature et non-contaminé par dix-sept siècles de civilisation (4e de couverture). La ville antique de Pompéi n’aurait été qu’un centre provincial de l’Empire romain comme tant d’autres, si une éruption du Vésuve, survenue en l’an 79 après J.-C., ne l’avait pas entièrement détruite, et aussitôt préservée, en la recouvrant d’une épaisse couche de cendres et de matières volcaniques solidifiées. Cette protection conserva les vestiges de l’antique Pompéi au cours d’environ mille sept cents ans. En 1748, les équipes d’ingénieurs militaires qui effectuaient pour le roi de Naples des fouilles archéologiques dans la région vésuvienne, faisaient les premières découvertes sur le site. 1748 devint alors celle du début de la nouvelle vie de la cité romaine qui habita pendant plus de deux cents ans, et habite encore l’imaginaire européen.Curieusement, le temps des premières découvertes à Pompéi coïncida avec celui d’une recrudescence de l’activité volcanique du Vésuve, qui connut dans la seconde moitié du XVIIIe siècle de fréquentes éruptions. Les yeux de l’Europe toute entière se tournèrent alors vers Naples et vers la Campanie.Au XVIIIe siècle, la fortune naissante de Pompéi ne fut pas orientée vers la ville elle-même, mais se focalisa essentiellement sur quelques antiques extraites de son sous-sol. Ce fut alors que firent leur apparition dans l’art occidental les variations sur le thème des satyres et des vols de centaures, faunes et bacchantes amoureux, comme les interprétations les plus variées du thème des danseuses dites d’Herculanum et de celui de l’Amour prisonnier. Dans la décoration intérieure, le traitement des parois à la pompéienne s’imposa, et dans les arts décoratifs l’adoption d’un mobilier et d’objets imitant ceux qui ornaient les demeures des anciens Pompéiens, tels les tripodes, les candélabres, les lampes, les cassolettes, les vases, les amphores, devint une mode incontournable.Au début du XIXe siècle, notamment au cours des règnes de deux souverains français, Joseph Bonaparte et Joachim Murat, une programmation globale des fouilles de Pompéi put être formulée et le périmètre des murailles de la ville antique fut tracé avec précision. L’attention se déplaça alors vers l’architecture et l’urbanisme de la cité. L’ouvrage d’un architecte français protégé de la reine Caroline Murat synthétise le tournant vécu par l’archéologie pompéienne : « Les Ruines de Pompéi » de François Mazois, qui fut publié en plusieurs volumes entre 1813 et 1838. Le recueil permettait en effet de circuler dans les rues de Pompéi, de pénétrer dans les habitations et dans les thermes, de visiter ses temples et de participer aux jeux et aux compétitions dans ses théâtres. Le quotidien des Anciens redevenait familier aux Modernes du XIXe siècle et en pleine éclosion du Romantisme, enflamma leur imagination. La ville antique devint alors le cadre d’une vaste production littéraire, théâtrale, musicale, peinte, sculptée, dessinée et gravée, faisant revivre les histoires du passé et privilégiant généralement « les derniers jours de Pompéi » au cours desquels l’éruption meurtrière avait forgé le mythe de la cité.La seconde vie de Pompéi véhiculée par les tableaux-phares d’une époque, par des pochades et des tableautins ; s’exprima par la plume d’écrivains d’élite, comme par celle de romanciers populaires, dont les œuvres furent couronnées d’un succès éphémère. Elle toucha ainsi un public extrêmement large, ce même public qui nourrit aujourd’hui, inlassablement, les flux de visiteurs qui se rendent sur le site, pèlerins des temps modernes partis de tous les pays du monde pour le voir de leurs propres yeux. (source : éditeur)

Résumé : Une analyse de l'imaginaire de la violence qui a influencé les artistes à l'époque moderne et créé des polémiques avec la concurrence, les institutions et les commanditaires.

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