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  •    Auteur : Perec, Georges (1936-1982)
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Résumé : Un roman à énigmes auquel G. Perec travaillait à la veille de sa mort. L'ouvrage comprend, d'une part, ce que l'auteur avait déjà rédigé et qui recouvre onze des vingt-huit chapitres prévus, et, d'autre part, un abondant dossier de notes et de brouillons laissés par l'auteur, permettant le déchiffrement du reste du livre. ©Electre 2022

Résumé : G. Perec a choisi douze lieux de Paris qui lui sont familiers pour en évoquer sur place un détail, puis il décrit chacun de ces lieux, de mémoire, ceci pendant douze ans, à partir de 1969. Avec des documents photographiques. ©Electre 2022

Résumé : De 1892 à 1924, près de 16 millions d'émigrants en provenance d'Europe sont passés par Ellis Island, un îlot de quelques hectares où avait été aménagé un centre de transit, près de la statue de la Liberté, à New York. Des documents, des archives du film réalisé témoignent de la vie de ces hommes et femmes. Edition publiée à l'occasion des 40 ans de la mort de G. Perec. ©Electre 2022

Résumé : Cet ouvrage rassemble 250 lettres témoignant de la personnalité des deux auteurs, alors en service militaire lors de la guerre d'Algérie. Ils y évoquent leurs amours, la littérature, le jazz, le cinéma, l'alcool, des professions de foi diverses et partagent des plaisanteries et des jeux de mots. ©Electre 2019

Résumé : Recueil de textes permettant de découvrir les commentaires de G. Perec sur son oeuvre ainsi que son regard sur la littérature et l'art. La première partie regroupe les entretiens et conférences de 1965 à 1982. La seconde partie rassemble des écrits non repris dans les recueils posthumes ou inédits, auxquels l'écrivain fait allusion dans ses discours. ©Electre 2019

Résumé : Notre « contemporain capital posthume » : ainsi a-t-on qualifié Perec vingt ans après sa mort. La formule n'est pas une simple boutade, elle dit quelque chose de la fortune de l'oeuvre. Celle-ci a laissé sa marque dans la culture populaire, ce qui n'est pas banal. « Mode d'emploi » est utilisé à tout propos, et « Je me souviens » est devenu une scie. Mais de tels stéréotypes ne présagent pas toujours la présence réelle des livres. De cette présence, la multiplication des publications posthumes, qui rivalisent, du moins en notoriété, avec les ouvrages que Perec publia lui-même, est un indice plus convaincant. Plus significatif encore, le nombre des écrivains, des artistes, des architectes, etc., qui se revendiquent de l'auteur d'Espèces d'espaces. Perec serait-il déjà devenu un classique' La relative intemporalité que cela suppose ferait alors écho au désir qu'exprimait le titre rimbaldien de son dernier poème, L'Éternité, et qui se lisait déjà dans Les Revenentes : « Je cherche en même temps l'éternel et l'éphémère. » Perec, pour sa part, se décrivait comme « un paysan qui cultiverait plusieurs champs » : sociologique, autobiographique, ludique, romanesque - ce dernier, tributaire de l'envie (bien naturelle chez un lecteur de Jules Verne) « d'écrire des livres qui se dévorent à plat ventre sur son lit ». Mais on tenterait en vain de ranger ses ouvrages dans quatre cases distinctes. Les quatre perspectives ne s'excluent pas les unes les autres; elles sont autant de modes de lecture possibles, et compatibles. « Je cherche en même temps l'éternel et l'éphémère» est certes, comme Les Revenentes tout entier, un lipogramme monovocalique (la seule voyelle employée est e) qui inverse l'époustouflant lipogramme en e de La Disparition (où cette voyelle n'est jamais employée) : nous voici au royaume des contraintes, des prouesses, de l'Oulipo. Mais cette phrase envoûtante est aussi, et avant tout peut-être, un mode d'emploi de la vie. Chez Perec, les contraintes formelles miment en quelque sorte celles, tragiques, de l'histoire, « la grande, l'Histoire avec sa grande hache ». La disparition d'une voyelle dit celle de l'univers familial. La place centrale qu'occupe dans l'oeuvre le chiffre 11 est à rapprocher de la date de la déportation, le 11 février 1943, de la mère de l'écrivain. Une vie commence alors qui s'écrira à l'irréel du passé : « Moi, j'aurais aimé aider ma mère à débarrasser la table de la cuisine après le dîner. » Pas de temps retrouvé euphorique pour Perec. La mémoire demeure lacunaire, et Je me souviens souligne sa fragilité. Aucun palindrome, aucun Voyage d'hiver ne saurait inverser le fleuve du temps. Du moins la fiction peut-elle en suspendre le cours, et donner au monde une forme conquise sur le désordre du réel. C'est à cette ambition que La Vie mode d'emploi et l'oeuvre tout entière de Perec doivent leur intensité.

Résumé : Sur le modèle du Je me souviens de G. Perec, l'auteure rassemble 479 souvenirs, mêlant le grave et le frivole, pour analyser les gestes et les codes vestimentaires. De la petite fille à l'amoureuse, de la séductrice à la militante des droits de la femme et des LGBT (lesbiennes, gays, bisexuels et trans), ces fragments constituent une promenade personnelle à travers l'histoire collective. ©Electre 2016

Résumé : Récit inspiré du séjour de l'auteur en Yougoslavie en 1957. G. Perec raconte le procès de Mila, accusée du meurtre de son mari. ©Electre 2016

Résumé : L'étrange aventure de Vincent Degraël, un jeune professeur de lettres qui fait une découverte bouleversante à propos de la littérature française du XIXe siècle. Ce volume contient les suites que les membres de l'Oulipo ont données à ce récit.

Résumé : Gaspard Winckler est un peintre faussaire travaillant pour le compte d'Anatole Madera. Depuis plusieurs mois, il consacre son temps à la réalisation d'un faux Condottière, célèbre tableau conservé au Louvre réalisé en 1475 par Antonello da Messina. Dès le début de l'intrigue, Winckler assassine son commanditaire. Enquête sur les mobiles de ce meurtre.

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