Recherche simple :

  •    Sujet : Psychanalyse et art
  • Aide
  • Eurêkoi Eurêkoi

Documents en rayon : 76

Voir tous les résultats les documents en rayons

Résumé : S'appuyant sur sa pratique analytique et sur de nombreuses oeuvres artistiques, le psychanalyste rend compte de la singularité du tissu langagier (oral, tactile, visuel, gestuel) qui inscrit tout enfant au monde de la parole et du langage. Il fait un lien avec les sourds, ceux qui parlent avec les mains et entendent avec les yeux. ©Electre 2021

Résumé : Lorsque la Joconde a été volée en 1911, beaucoup de gens se sont précipités au musée du Louvre, pour la première fois, afin de contempler un emplacement vide. Le psychanalyste tente d'expliquer les raisons psychologiques de l'intérêt porté aux oeuvres d'art, classiques ou contemporaines. ©Electre 2022

Résumé : Recueil d'entretiens abordant les thèmes du flux, du temps, de la trace, de l'inconscient, de l'inquiétude et du dérèglement. Sur le mode de la conversation libre, le compositeur y évoque ce qui préside au processus de sa création musicale. ©Electre 2022

Résumé : Recueil d'articles publiés dans la rubrique Art et pathologies du magazine ¤¤Cerveau & Psycho¤¤ où l'auteur montre comment les oeuvres de certains artistes et écrivains tels que Van Gogh, Monet, Dostoïevski ou Proust, ont été influencées par les troubles neurologiques ou psychiatriques de leurs créateurs.

Résumé : Etudie et évalue l'apport pour l'esthétique et les théories de l'art au cours du XXe siècle, des méthodes de la psychanalyse, la phénoménologie et la sémiotique. Analyse l'impact sur ces disciplines de leur application à l'esthétique.

Résumé : Un ouvrage consacré aux enjeux du procédé créatif du peintre F. Picabia sous l'angle du moi et de l'image. De ses oeuvres abstraites de 1913 à sa peinture maximaliste, dites des Monstres, entre 1924 et 1927, l'auteure propose de voir dans la formalisation de l'ego un processus clé de la modernité. ©Electre 2020 « Moi je ne suis rien, je suis Francis Picabia. » C'est dans cette tension entre exaltation et rejet du moi que l'artiste a indiqué sa position dans la modernité. Son refus de l'action collective s'est exprimé au cœur de la Grande Guerre dans une œuvre centrée non pas sur l'histoire ni sur des problèmes plastiques, mais sur le moi. Aujourd'hui pense à moi prend le pari que son sujet est également son outil d'analyse et qu'il se nomme Ego. Couvrant une période qui va de l'abstraction de 1913 chez Picabia jusqu'à sa peinture maximaliste dite des Monstres entre 1924 et 1927, ce livre révise certaines des certitudes les mieux établies sur l'œuvre et propose de voir dans la formalisation de l'ego un processus clé de la modernité, producteur de ses propres ruptures. Articulé à l'analyse freudienne de la mélancolie, ego devient une procédure conceptuelle qui contraint à reposer l'ancienne problématique mimétique. « On ne peut mettre dans le coffre la clé qui ouvre le coffre » nous dit l'historien. C'est pourtant ce que l'art de Picabia – ce coffre à double fond – systématisa. Face à la menace de la mécanisation définitive de l'art (dont les images produites aujourd'hui à l'ère du capitalisme narcissique sont les surgeons directs), sa réponse en forme de répétition mélancolique résida dans le détournement occulte de l'image. « Moi je ne suis rien, je suis Francis Picabia. » Ce livre s'attache à montrer les enjeux de cet aveu en forme de nom propre dans la modernité

Résumé : A partir d'un texte inédit de Joyce McDougall, six auteurs débattent avec elle et prolongent la réflexion sur ce qui relie l'artiste et le psychanalyste.

Explorer les sujets liés :