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Résumé : L'addiction peut s'immiscer dans nos vies quotidiennes sournoisement, sans que l'on y prenne garde. L'alcool, les drogues, les médicaments, les écrans et réseaux sociaux... l'étau se resserre pour faire de nous des consommateurs, toujours plus frénétiques et asservis. En tissant les témoignages de quatre anciens addicts à la réalité des consultations du centre d'addictologie de l'hôpital Sainte-Anne, où médecins et infirmiers reçoivent sans rendez-vous des anonymes, ce documentaire nous plonge au coeur de la bataille de la dépendance. Il y est question de vie et de mort, de goût de vivre, d'abdication et de liberté retrouvée. Un film de parole et d'écoute, au coeur du parcours de reconstruction.

Résumé : Damien Samedi a 43 ans. Quand il était enfant, dans son village wallon en bord de Meuse, on l'appelait le "Petit Samedi". Pour sa mère Ysma, Damien est toujours son gamin, celui qu'elle n'a jamais abandonné lorsqu'il est tombé dans la drogue. Un fils qui a, malgré tout, cherché à protéger sa mère. Un homme qui tente de se libérer de ses addictions et qui fait face à son histoire pour s'en sortir.

Contenu : Préparation aux ECNi au format pdf

Résumé : Réunis au coeur du Mercantour, des soldats vont rompre leur isolement, reprendre goût à la vie, se questionner sur leur avenir. Pour ces vétérans qui tous souffrent de stress posttraumatique, c'est une étape importante de quelques jours à peine dans un long parcours de reconstruction.

Résumé : "Décembre 2010 : la révolution éclate en Tunisie, le pays de mon père. Les cris de fureur du peuple tunisien rejoignent, d'une étrange manière, l'agitation intérieure qui grandit en moi depuis quelques semaines. Traversant au même moment un épisode maniaco-dépressif d'une grande intensité, je suis diagnostiquée bipolaire et entre en clinique psychiatrique. Au sortir de cette longue dépression, je n'ai presque aucun souvenir de ce moment de vie... Me restent des dizaines d'heures de rushes, des centaines de photos, deux carnets remplis d'écrits, de collages, de dessins, précieuses traces palliant mon amnésie. Plus de quatre ans après, ces quelques mois de ma vie restent encore inaccessibles à ma mémoire. Le projet de ce film : la reconstituer et tenter de montrer la réalité de cette maladie."

Résumé : Au Royaume-Uni, un groupe de personnes qui entendent des voix échangent sur leurs luttes intimes et sociales quotidiennes. La « folie » est ici abordée sous l’angle d’une conscience aiguë du réel et fait écho à toutes nos souffrances secrètes.

Résumé : Ce film nous plonge dans la vie d'un hôpital de pédopsychiatrie, au sein d'un groupe d'enfants présentant des troubles mentaux. Sans a priori, sans regard polémique non plus, nous partageons le travail inlassable, titanesque et profondément humain qui s'accomplit au jour le jour par les soignants et les éducateurs. Nous partons à la rencontre de personnes au destin hors du commun qui luttent au quotidien pour le bien-être des plus démunis. Le documentaire témoigne des joies et des douleurs de ces enfants malades et des défis de l'équipe médicale qui les accompagne.La Porte d’Anna nous invite dans le quotidien d’un hôpital de pédopsychiatrie, «La Fondation Vallée» à Gentilly, au sein d’un groupe d’enfants présentant des troubles mentaux. Nous poussons la porte du Pavillon Anna, du nom de la fille de Sigmund Freud, pour entrer dans un monde dans lequel les règles élémentaires de la communication sont chamboulées par des souffrances psychiques parfois situées aux confins du supportable. Mais grâce à la créativité des soignants et à la confiance que les jeunes leur accordent, la vie renaît, la parole se trouve, le partage peut exister...Sans a priori, sans regard polémique sur l’autisme, le documentaire salue le travail inlassable, titanesque et profondément humain qu’accomplissent au jour le jour les soignants et les éducateurs.Le film témoigne des joies et des douleurs de ces enfants malades et des défis de l’équipe médicale qui les accompagne. [Source : jaquette]

Résumé : Tout le monde l'appelle "Kev", ce rouquin au regard pâle qu'une assistante sociale a découvert, enfant, enfermé dans une chambre où il n'avait que les rayons du soleil pour jouer. Désormais adolescent, Kevin souffre d'une forme d'autisme si sévère que la plupart des institutions, dites spécialisées, ont longtemps refusé de l'accueillir. Clémence Hébert l'a suivi avec sa caméra, d'un lieu à l'autre. Celle, douée de la parole, et celui, qui vit en dehors, se sont apprivoisés à égalité de regards, avec la lentille d'un objectif comme seul medium de re-connaissance qui saisit ce qui palpite, surgit, s'étiole, et recommence. Un lien discontinu mais vivant. Fruit de sa longue expérimentation auprès de ceux qui en souffraient, Fernand Deligny avait forgé un mot qui condensait son idée du cinéma comme moyen pour penser l'autisme : "camérer", par opposition à "filmer". Autrement dit, "mettre dans la boîte des éclats", autant de tentatives pour créer un humain commun. Clémence Hébert s'inscrit dans ce sillage, elle qui parvient, sans discours, à nous faire voir le monde du côté de cet être radicalement autre.

Résumé : "Entrer (avec l’accord des patients et les précautions qui s’imposent) dans le cabinet d'un psychiatre, écouter ce qui s'y dit et comment c’est dit, appréhender les silences et ce qui advient entre les mots, être intéressé, curieux de cette relation d’aide si particulière, nombreuses sont les raisons d'écouter/voir Le Divan du monde, premier long métrage documentaire de Swen de Pauw qui mont(r)e des fragments de consultations du Dr Gérard Federmann, psychiatre peu ordinaire, exerçant en libéral à Strasbourg depuis une trentaine d’années. Notre curiosité est d’autant plus aiguisée que, si les documentaires autour de la psychiatrie publique peuvent constituer une assez importante filmographie, ceux s’articulant autour de l’exercice en libéral de cette spécialité médicale ne sont pas légion. "

Résumé : En Sibérie, Yulia et Katia ont été transférées de l’orphelinat à l’internat neuropsychiatrique et ont été privées de tous leurs droits de citoyennes : pas de liberté, pas de travail, pas de famille.

Résumé : L'autisme reste une énigme. Une certitude cependant, il n'existe pas de remède : on ne guérit pas de l'autisme. Les personnes avec autisme vont vivre avec ce trouble tout au long de leur vie, et nos sociétés sont donc toutes confrontées à une même question : comment accompagner ces personnes ? La France a pris du retard dans ce domaine. En croisant les expériences d'autres pays (l'Italie, la Suède, l'Allemagne, et le Québec), nous pourrons éclairer la situation française et constater que des pratiques existent, qui permettent d'améliorer franchement la qualité de vie des personnes autistes. A chaque fois, il s'agit de véritables choix de société qui révèlent nos approches différentes de l'altérité. Mais nulle part, il n'y a de réponses simples à ce problème complexe.

Résumé : "En l'an 2000, l'Organisation Mondiale de la Santé a officiellement déclaré que la dépression atteignait les proportions d'une épidémie. Aujourd'hui, 350 millions de personnes seraient touchées dans le monde. On estime qu'une personne sur deux connaîtra au cours de sa vie un épisode dépressif, que près de 20% des arrêts de travail lui sont dus et 75% des suicides. Selon l'OMS, la dépression sera la deuxième cause d'invalidité mondiale en 2020 dans les pays industrialisés, derrière les maladies cardio-vasculaires. Cette enquête se propose de poser un regard inédit sur cette maladie en s'intéressant à son aspect collectif. Comment nos sociétés en sont-elles arrivées à fabriquer des hommes tristes ?" (Source Editeur)

Résumé : "Franco, Joanna, Lia, Audrey, Philippe, tous ont été frappés par un malaise brutal et inexpliqué lors d’un voyage à Florence, à Paris ou à Barcelone. Ils témoignent. Que s’est-il passé ? Insolation ? Chute de tension ? Perte de repères ? Graziella Magherini, psychiatre à Florence, revient sur les questions qui l’ont obsédée alors qu’elle tentait d’élucider les causes de ce mal contemporain : mal du voyage, trouble lié aux lieux hantés par l'histoire, peur du beau, mal de l'art ? Une plongée vertigineuse à la découverte du syndrome de Stendhal ! " (Source Editeur)

Résumé : "Out of Mind, Out of Sight est la suite du documentaire intitulé NCR : non criminellement responsable, un film sur le traitement réservé aux personnes ayant commis des crimes violents et déclarées non criminellement responsables (ou NCR) pour cause de maladie mentale. Dans Out of Mind, Out of Sight, Kastner entremêle les histoires intenses de quatre patients du centre de santé mentale de Brockville (en Ontario au Canada), qu'il a pu filmer sur une période de 18 mois grâce à un accès sans précédent à l'institution.Avec une étonnante franchise, le cinéaste suit le parcours de deux hommes et deux femmes qui mènent un dur combat pour reprendre leur vie en main, et pouvoir ainsi retourner dans une société où ils sont généralement craints et diabolisés. L'histoire principale porte sur Michael, un patient qui a assassiné un membre bien-aimé de sa famille lorsqu'il était dans un état psychotique et qui est maintenant rongé par la culpabilité. Carole et Sal, quant à eux, sont aux prises avec des hallucinations auditives - des voix qui les somment de faire des choses terribles - et qui, contre toute attente, sont tombés amoureux l'un de l'autre. Justine s'est liée d'amitié avec Ashley Smith, un cas désespéré, dont l'état mental est très semblable au sien. À la consternation du personnel soignant, Justine commence à suivre Ashley sur le chemin solitaire de l'autodestruction." (film-documentaire.fr)

Résumé : Comment intervient-on auprès d'enfants autistes et de leur famille ? Ce documentaire nous informe sur l'évolution des pratiques des secteurs de psychiatrie infanto-juvénile à partir du travail pluridisciplinaire réalisé par les équipes soignantes de deux services rattachés à des hôpitaux généraux à Créteil dans le Val-de-Marne et à Gonesse dans le Val d'Oise.

Résumé : Rapatriés sains et saufs mais l’esprit en morceaux d’Irak ou d’Afghanistan, une douzaine de jeunes soldats américains tentent de retrouver une vie normale après l’expérience traumatisante du front. Ils ont été admis au Pathway Home (foyer des vétérans de guerre) de Yountville, Californie, en 2008 pour suivre une thérapie de cinq ans destinée à guérir leur « PTSD » (syndrome de stress post-traumatique).

Résumé : Toronto, au coeur de l'hiver. Des infirmières engagées dans leur travail à la limite du sacerdoce suivent des femmes enceintes aux prises avec la toxicomanie. Le film est la chronique de cet accompagnement empathique entre aide sociale et thérapie.

Résumé : "Comment se passe la vie des fous quand ils ne sont pas internés ? C’est pour répondre à cette question qu’Anush Hamzehian a tourné dans la ville de Trieste où les fous vivent en liberté depuis que l’hôpital psychiatrique a fermé ses portes en 1978. On surnomme même Trieste "Le Hollywood des fous" car on y trouve une troupe de comédiens mondialement connue, L’Académie de la folie, qui monte deux spectacles par an dans le plus prestigieux théâtre de la ville. Les comédiens de cette compagnie singulière, Claudio, Dario, Donatella, Charlie, Pino… sont les personnages très attachants et forts de ce film où l’on suit la préparation de la prochaine pièce de l’Académie en découvrant comment, dans ce lieu unique au monde, la folie des uns peut se fondre dans la ville des autres. On suit avec étonnement, humour et tendresse leur vie au quotien, leur questionnement sur notre société..." (Source Editeur)

Résumé : "Etre là" rend compte du quotidien du service de psychiatrie de la prison des Baumettes à Marseille (le SMPR, Service médico-psychiatrique régional). Le tournage concentré en trois semaines s'est construit sur un travail préparatoire d'une année environ. Essentiellement composé de femmes le SMPR est un lieu de soin et d'écoute où le sujet est au centre du dispositif thérapeutique qui repose sur une prise en charge pluridisciplinaire. Le film s'articule autour de deux mouvements entrecroisés : la parole de Sophie, psychiatre et les entretiens avec les patients incarcérés. Le témoignage de Sophie, médecin psychiatre, qui décrit et analyse son rapport à son métier dans l'institution ; le maître-mot est "Résistance", résistance pour préserver l'espace du soin face à l'univers carcéral qui a tendance à tout phagocyter, résistance à soi, au repli, à la tentation du retrait qui taraudent le soignant. Cette réflexion cohabite avec les entretiens avec les patients menés par Sophie et d'autres psychiatres de l'équipe, le travail des infirmières et des séances avec l'ergothérapeute. Sans jamais montrer le visage des prisonniers / patients, "Etre là" met au premier plan le récit, l'écoute active et l'éthique en marche de chaque instant à l'oeuvre parmi tous les membres de ce service où l'on soigne, aide, rétablit du lien social comme la relation soignants/soignés. Le choix du noir et blanc permet une mise à distance de la réalité filmée tout en la rendant plus expressive. Régis Sauder fait non seulement la chronique d'un service de psychiatrie dans une prison dont fut révélée récemment la vétusté, la saleté et la surpopulation mais permet aussi et surtout une interrogation sur la place du soin, de l'écoute et de la psychiatrie dans notre société.

Résumé : Tobie Nathan, thérapeute, écrivain, chercheur en sciences humaines a poursuivi et développé les travaux d'ethnopsychiatrie de Georges Devereux. Ce film articulé en 5 parties : "Thérapeute et Écrivain","Les Maladies de l’exil","Les Lois de l’hospitalité" ,"Les Leçons de l'histoire" et "Interroger sa propre culture" permet une approche plurielle de la démarche et de l'engagement thérapeutique de Tobie Nathan qui reposent , entre autres, sur une méthode de soins fondée sur la culture des patients, leur demande de soins et la restitution de leur dignité aux savoirs traditionnels. Ainsi se dessine un portrait fait de parcours scientifique, de philosophie et de pensée d'autrui.

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