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  •    Sujet : Psychologie et comportement animaux, éthologie
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Résumé : "À l’heure où le rôle du père prend de plus en plus d’importance dans l’éducation des enfants, s’intéresser à l’instinct paternel chez les animaux prend tout son sens. Le discours convenu qui s’appuie sur des exemples de la nature pour dire que la mère est le seul parent indispensable au bien-être des petits, la seule à avoir un investissement absolu est désormais dépassé. Ce film affirme, avec émotion, poésie, humour qu’il y a des "Super Papas" chez beaucoup d'espèces et nous entraîne à la découverte de leurs comportements étonnants, rares, souvent surprenants… " (S.E)

Résumé : Les animaux ressentent-ils de l'injustice, de la compassion, du regret ou de la honte ? Peuvent-ils compter ou faire des projets ? Que signifie pour eux être apprivoisés ou domestiqués ? Que sait-on de leur sommeil, de la manière dont ils vieillissent ou de leur façon d'apprendre ? Pour répondre à ces questions, le forestier Peter Wohlleben s'appuie sur son incroyable sens de l'observation et sur les dernières découvertes scientifiques. Avec le même talent de pédagogue que dans La Vie secrète des arbres, il nous ouvre les portes d'un monde caché, celui de la vie intérieure des animaux, de leurs émotions et de leur ressenti : les coqs mentent, les biches connaissent le deuil, un hérisson peut être tourmenté par ses cauchemars... Ce récit buissonnier, nourri d'anecdotes étonnantes et de références savantes, est un appel vibrant au respect du monde animé qui nous entoure.

Résumé : Salué par Orson Welles, "Le territoire des autres" nécessita sept ans de prises de vue d'animaux sauvages dans leur milieu naturel. Film sans commentaire il s'inscrit dans une poétique qui rend au monde animal toute sa dignité.

Résumé : Présentation d'une espèce de chauve-souris vivant en Amérique du Sud, qui attaque les animaux à sang chaud. Mise en parallèle et citation du film "Nosferatu"de Murnau. Tourné en 1939 mais sonorisé qu'en 1945, "Le vampire" fait clairement référence à la montée du nazisme. « Le Vampire est un film scientifique public et en même temps un film anti-nazi. Ce film très zoologique sur une chauve-souris sanguivore d'Amérique du Sud est une allégorie du nazisme, dont la clef est donnée par ces images de l'animal étendant son aile ("le vampire étend son heil") avec le geste du salut hitlérien, avec sa démarche d'estropié (le vampire est la seule chauve-souris qui marche), avec ses scènes de succion d'un cobaye passif, avec ses gros plans de l'animal aveuglé par les lumières, grimaçant pour envoyer ses signaux d'écho-location. Le vampire est aussi un chef-d'oeuvre du cinéma fantastique auquel Painlevé rend un hommage avec un petit extrait du "Nosferatu" de Murnau.Ce n'est qu'à la fin de la guerre que Painlevé pourra sonoriser Le Vampire, avec deux compositions de Duke Ellington : Black and Tan Fantasy et Echoes of the Jungle. "J'avais, dès les premiers jours de tournage, ces musiques en tête: le jazz est cruel !" » (Hélène Hazéra, Positif, 1990)

Résumé : Dressez l'oreille et imaginez que vous êtes au milieu de la nature : une variété incroyable de sons s'offre à vous. Les meilleurs experts internationaux nous emmènent dans une incroyable et inédite chasse aux sons. Découvrez les sons des écosystèmes composés et produits par les animaux, les oiseaux et les insectes dans les forêts de Bornéo, les eaux chaudes de la Polynésie ou les vallées sauvages des Alpes.

Résumé : Sous la surface d'un étang, la lutte à mort entre larves de libellules, hydrophiles et dytiques. "On retrouve la cruauté de "Vampire" avec "Assassins d'eau douce", le film qui marque le retour de Jean Painlevé au cinéma après ses activités à la tête du CNC à la Libération. Dans des mares autour de Paris toutes sortes d'insectes aquatiques et de larves s'entredévorent. Mandibules broyeuses, pompes qui injectent dans la proie un liquide digestif qu'elles réaspirent, becs suceurs..., l'insoutenable de ces scènes de carnage mises bout à bout est accentué par les musiques de Duke Ellington et Jimmy Lunceford, le film est un des plus longs des films publics de Painlevé... Dans un des seuls articles écrits après-guerre sur le cinéma de Painlevé, Bazin racontera que même les ciné-clubs huaient "Assassins d'eau douce"." (Hélène Hazéra, Positif, 1990).

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