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Résumé : Déplacement, respiration, nutrition et reproduction de la pieuvre."Les Amours de la pieuvre nécessiteront plus de dix ans de tournage, dix étés durant. Des orages en série adoucissant l'eau de mer éloignaient les pieuvres des rivages, un coup de froid stérilisait les oeufs, le laboratoire flambait... Scènes de séduction : une pieuvre mûre vampe un jeune timide, qui finit avec précaution par glisser son tentacule copulatoire dans l'orifice latéral de sa comparse. Scènes spectaculaires : la femelle dans son nid, avec les cordons d'oeufs accrochés aux parois qu'elle remue, brasse de ses tentacules. Quelques minutes sur le développement de l'oeuf de pieuvre nécessitèrent des heures et des heures de tournage. Il s'agissait de départager deux écoles de zoologues. L'une disait que les oeufs de pieuvre tournaient sur eux-mêmes dans un mouvement elliptique. L'autre que les oeufs tournaient, mais en se contractant dans un mouvement d'accordéon. Le film établissait que les deux hypothèses étaient bonnes successivement. La musique électro-acoustique de Pierre Henry suit les développements du film séquence par séquence, comme un piano de cinéma muet." (Hélène Haréza, Positif, 1990).

Résumé : Le comportement du bernard l'ermite, cherchant de nouvelles coquilles au fur et à mesure de son développement. "A partir du "Bernard-l'Ermite", Painlevé s'oriente vers ce qu'il appelle des "films de comportement réel et expérimental". Il observe comment le bernard choisit une nouvelle coquille, comment il en expulse le locataire, comment il en évalue le poids, la profondeur : comportement réel. Pour le comportement expérimental, Painlevé place le bernard devant un tube de verre où il s'engouffre, ou devant une boule de liège plombée que le bernard va faire tourner entre ses pinces pour en trouver l'orifice, prétexte à une partie de football entre bernard-l'ermites qui irrita le public sérieux du cinéma scientifique." (Hélène Hazéra, Positif, 1990).

Contenu : La base ornithologique mondiale

Résumé : La morphologie et le comportement du pigeon.

Résumé : Etude du bopyre, parasite externe de la crevette. "Quelle source d'ahurissement pourtant que ce parasite collé à la joue de la crevette, que ce couple de parasites faudrait-il dire, car à la femelle bopyre s'ajoute un minuscule mâle nain qui la parcourt en fécondant ses organes génitaux [...]" (Hélène Hazéra, Positif, 1990)

Résumé : La formidable odyssée de millions de papillons du Canada vers le Mexique : 4000 km parcourus en deux mois.

Résumé : Présentation de la beauté structurale de la crevette : architecture de l'organisme, mue, reproduction.

Résumé : Présentation d'une espèce de chauve-souris vivant en Amérique du Sud, qui attaque les animaux à sang chaud. Mise en parallèle et citation du film "Nosferatu"de Murnau. Tourné en 1939 mais sonorisé qu'en 1945, "Le vampire" fait clairement référence à la montée du nazisme. « Le Vampire est un film scientifique public et en même temps un film anti-nazi. Ce film très zoologique sur une chauve-souris sanguivore d'Amérique du Sud est une allégorie du nazisme, dont la clef est donnée par ces images de l'animal étendant son aile ("le vampire étend son heil") avec le geste du salut hitlérien, avec sa démarche d'estropié (le vampire est la seule chauve-souris qui marche), avec ses scènes de succion d'un cobaye passif, avec ses gros plans de l'animal aveuglé par les lumières, grimaçant pour envoyer ses signaux d'écho-location. Le vampire est aussi un chef-d'oeuvre du cinéma fantastique auquel Painlevé rend un hommage avec un petit extrait du "Nosferatu" de Murnau.Ce n'est qu'à la fin de la guerre que Painlevé pourra sonoriser Le Vampire, avec deux compositions de Duke Ellington : Black and Tan Fantasy et Echoes of the Jungle. "J'avais, dès les premiers jours de tournage, ces musiques en tête: le jazz est cruel !" » (Hélène Hazéra, Positif, 1990)

Contenu : Le site donne accès à l'ensemble des oeuvres du célèbre entomologiste, en texte intégral

Résumé : L'Afrique des serpents en douze rencontres avec les plus mortels d'entre eux. Le mamba noir est le plus venimeux (son venin peut tuer en une demi heure), le python le plus impressionnant par sa taille et sa capacité à presser, étouffer puis avaler des proies de plus de 50 kilos comme les impalas, petites antilopes des savanes d'Afrique du Sud-Ouest. Le film montre que les serpents ont conquis tous les habitats, presque tous les biotopes. Il se fait aussi l'écho de la fascination qu'ils exercent. Suscitant la peur voire la terreur ils sont aussi vénérés par les peuples africains.

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