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Résumé : Histoire des quatre grandes solanacées : mandragore, belladone, datura et jusquiame. Ces plantes psychotropes illustrent "la dialectique du bien et du mal et nous rappellent opportunément qu'entre poison et médicament il n'y a qu'une différence de doses".

Résumé : S'appuyant sur des archives et des témoignages, cette étude retrace l'histoire du Festival international du film d'animation depuis sa première édition en 1956. Elle en revisite les époques marquantes, mettant en lumière les transformations qui ont eu pour effet d'élargir les activités liées à la manifestation, de la simple promotion du secteur à l'ouverture à tous les genres liés. ©Electre 2015

Résumé : Histoire et philosophie de la science-fiction. Telles sont les deux approches qui constituent le corps de cet ouvrage destiné aux amateurs et passionnés du genre. Car la science-fiction, au-delà des simples effets spéciaux, exprime un regard porté sur l'homme et la société et nourrit les fantasmes du spectateur. Analyse et décryptage.

Résumé : Parcours visant à cerner ce que J.-L. Godard appelait l'idée de comédie musicale. Dépassant la simple relecture des codes du genre, ces articles s'attachent à analyser une grande variété d'oeuvres telles que Short Cuts, Gremlins 2 ou encore le cinéma de Max Ophuls ou de Tsai Ming-Liang.

Résumé : Différentes contributions étudiant dans une approche interdisciplinaire la notion de mise en abyme, de la littérature au jeu vidéo en passant par la bande dessinée et le cinéma. Les auteurs interrogent ses frontières, sa portée, sa place parmi les jeux de représentation et, plus généralement, au sein des phénomènes réflexifs. ©Electre 2019 Le phénomène de la mise en abyme, simple en apparence, se révèle éminemment complexe. Quelle est, plus précisément, la place de la mise en abyme parmi les jeux de la représentation et plus généralement au sein de la grande famille des phénomènes réflexifs ? Il existe une différence dans les traditions et approches, souvent au niveau des disciplines aux frontières trop solidement établies : les arts plastiques, les arts du spectacle, la littérature, mais aussi les études culturelles et les émergentes études visuelles, pour ne pas citer l’esthétique et la poétique. Cet ouvrage pose l'hypothèse d’un questionnement commun plus vaste.

Résumé : Des chercheurs nous expliquent certaines réactions chimiques et ce que l'on entend par matière molle que l'on trouve dans de nombreux produits de la vie courante comme le ketchup, le dentifrice ou la pâte de ciment, par exemple. Pierre-Gilles de Gennes (1932-2007) prenant l'exemple très simple d'un sirop dans une assiette s'attarde sur la notion de dur et de visqueux puis se servant d'un plat de spaghetti sur celle d'enchevêtrement et de désenchevêtrement des longues molécules comme les polymères.

Résumé : Les générations du cinéma bengali: Hubert Niogret interroge critiques, acteurs et réalisateurs de plusieurs générations pour traverser l’histoire du cinéma bengali. Les extraits des films illustrent les analyses et permettent de définir la particularité de ce cinéma réaliste, bien loin des codes de Bollywood. Son évolution, depuis l’Indépendance en 1947 jusqu’à nos jours, est liée à celle d’un pays à l’identité flottante, entre plusieurs langues et cultures. Les héros du cinéma hindi: Personnage positif, criminel transgressif ou simple homme du peuple : les héros du cinéma hindi ont changé depuis les années 1950. Hubert Niogret montre que cette évolution est le reflet de la politique du pays et du rapport nouveau des spectateurs indiens à leur cinéma. Il s’appuie pour cela sur de nombreux extraits de films et les interviews de réalisateurs (Shyam Benegal, Mani Kaul), de l’actrice Shabana Azmi ou de la critique Aruna Vasudev. Les cinémas dans les états du sud: Hubert Niogret se penche sur un cinéma indien différent, qui traverse peu les frontières. Dans les quatre Etats du Sud – Karnataka, Andhra Pradesh, Kerala et Tamil Nadu – le cinéma de Bollywood connaît peu de succès : le public s’intéresse à des films dans sa langue et ne se reconnaît pas toujours dans les histoires du Nord. Réalisateurs, directeurs d’école et critiques commentent ici la spécificité et la force d’un cinéma à part.

Résumé : Le film est un travail de dentelle où images d'hier et d'aujourd'hui, vidéo, film super 8, danse et musique, territoire et lignée familiale, arts et mouvements sociaux s'enchevêtrent pour tisser une image uniforme de la Guadeloupe. En apparence, le propos est simple. il s'agit pour Sylvaine Dampierre de retrouver ses racines, d'en transmettre l'histoire à son fils, une histoire dont elle-même, géographiquement du moins, est coupée.Tout, cependant, se complique quand il faut mettre un contenu à ces racines . " Quand on passe derrière l'horizon, on ne voit plus que la mer et le pays à l'envers." Mais revenir n'est pas retrouver l'image à l'endroit du pays, c'est en découvrir un autre envers, parce que tout travaille, de la végétation au pouvoir esclavagiste, de l'opacité des archives à la ruine de l'industrie locale de la canne à sucre, à effacer les traces,à les disperser, à les rendre illisibles. Plus le film s'enfonce dans la quête des origines, plus il remonte le cours de l'histoire de la Guadeloupe, plus il met à jour ce travail d'effacement. Si l'esclave jadis était interdit de nom, le seul aujourd'hui à avoir gardé la mémoire de l'histoire du capital dans l'ïle, est un militant communiste. La Guadeloupe que filme Sylvaine Dampierre est à l'image de ses jardins d'esclaves, lotis sur des terrains ingrats et accidentés, où il faut constamment protéger ses carrés de légumes d'une nature luxuriante et vorace. Un travail de sisyphe. [Yann Lardeau. Catalogue Cinéma du réel 2009]

Résumé : Chronique en cinéma direct de la vie de l' infirmerie scolaire de deux collèges ruraux du Jura où la réalisatrice a tourné une année durant. L'infirmière, Annick, cousine de Fleur Albert, a l'art et la manière de communiquer avec ceux dont elle a la responsabilité durant le temps scolaire. Le dispositif est simple : le huis-clos avec le rôle essentiel tenu par la porte d'entrée : on frappe, on entre, on sort (parfois avec difficulté). Dans cette scansion qui signe une dimension théatrale s'inscrivent le temps de la parole et de la difficulté du regard frontal sur soi-même, difficulté inhérente à l'adolescence - temps de l'apprentissage à devenir. Dans ce lieu si particulier, l'infirmerie, habité et animé par Annick, se déploie une parole qui dit les peurs, les secrets, les demandes et les questions de l'adolescence. "Dans ce théâtre privilégié où il est question de ces corps en métamorphose et souvent en souffrance, chacun confie devant Annick, son malaise social, familial, ses interrogations graves ou cocasses sur la société, l'avenir, l'amour, les adultes, l'autorité...". Dans" Les Cahiers du cinéma" on a pu lire à propos du film : "Mieux qu'édifiant, le film dans son apparente simplicité révèle un sous-texte scolaire rarement abordé au cinéma. Une belle réussite."

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