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  •    Sujet : Témoignage historique
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Résumé : Propose une relecture de la Première Guerre mondiale et tente de démêler le vrai du faux, d'analyser les divers témoignages, ceux des soldats, ceux de l'Etat tout en mesurant la part de vérité et celle liée à la désinformation. Cette analyse peut se transposer à toutes les guerres comme la Seconde Guerre mondiale et la guerre d'Irak en 2003.

Résumé : Réunion d'études cherchant à montrer, à travers textes et oeuvres d'art du XVIe siècle à nos jours, les problèmes que posent les témoignages historiques et les difficultés d'écrire l'histoire immédiate : Roland Barthes et mai 1968, Maxime Du Camp et l'année 1848, Marguerite de Valois et la Saint-Barthélemy, etc.

Résumé : Etudie la poésie de Primo Levi et la portée de son témoignage sur les camps d'extermination et sur la difficulté d'être un survivant.

Résumé : Mettant à profit sa propre expérience, l'auteur (1879-1949) analysait 251 témoignages de combattants de la Grande Guerre édités en français depuis 1915. Ce travail, mené dans une perspective pacifiste, permit de séparer les allégations fantaisistes des réalités vécues par le soldat. La présente édition examine les acquis méthodologiques de cette synthèse et ses avancées historiographiques.

Résumé : En Espagne, la problématique du témoignage et de sa mise en récit apparaît à la fin du XXe siècle avec la publication de romans reprenant le thème de la mémoire de la guerre civile et du franquisme. Les contributions réunies analysent ce corpus pour s'interroger sur la relation entre l'expérience et son récit, la médiation de l'auteur et la place de l'invention.

Résumé : Etude comparée des récits de rescapés des camps nazis et des récits évoquant le communisme ou les violences des régimes totalitaires. Analyse les liens entretenus entre les formes narratives et la réalité des faits racontés.

Résumé : L'expérience concentrationnaire a souvent était décrite comme indicible. Et pourtant de nombreux textes, oeuvres ou films s'efforcent d'en témoigner de diverses manières. A partir d'un corpus littéraire et cinématographique, P. Mesnard étudie les formes d'expression mobilisées par les témoins, écrivains et artistes.

Résumé : La quatrième de couverture indique : "Depuis les périodes de terrorisme d'État jusqu'à celles des « transitions » démocratiques, cet ouvrage met en évidence des spécificités esthétiques des récits et des images entrant en résonance avec la notion de catastrophe, à partir d'une étude comparative entre trois pays : l'Argentine, le Chili et le Mexique. Il distingue les récits et les images de la catastrophe - en lien avec la forme testimoniale, nés des différentes expériences issues du terrorisme d'État et affrontant des impossibilités représentatives propres aux images et aux récits de l'horreur - et les récits et les images catastrophistes - liés au succès de la fiction allégorique, issus d'une volonté de repoétisation de la mémoire et rejouant des logiques eschatologiques qu'elles soient pessimistes, réflexives ou consolatoires. Parler de résilience à la catastrophe signifie qu'au-delà de la résistance identitaire des individus et politique des collectifs, les oeuvres étudiées font preuve d'une puissance d'invention capable de s'adapter aux circonstances changeantes de l'histoire et de la mémoire, et de transformer, en retour et pour l'avenir, ces identités individuelles et ces politiques collectives."

Résumé : Analyse du lien singulier entre les oeuvres littéraires du XXe siècle et les destructions massives et organisées. Interroge les écrits de R. Antelme, P. Celan, I. Kertész, M. Buber-Neumann, V. Chalamov, T. Torito, I. Masuji afin de déceler à quel moment l'exigence de témoigner devient une oeuvre littéraire, et jusqu'où l'oeuvre littéraire rend possible ce que le seul témoignage ne permet pas.

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