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Résumé : 1952. En pleine reconstruction après la Seconde Guerre mondiale, le Japon voit l'émergence du manga moderne, qui devient rapidement le loisir préféré de ses citoyens. Au fil des décennies, il se fait le témoin des angoisses et des rêves de plusieurs générations de Japonais, des heures sombres et joyeuses de leur pays. L'histoire du manga, à la fois acteur et spectateur de son époque, est inextricablement liée à l'évolution sociale, économique, politique et culturelle du Japon. Essentiel au quotidien de ses habitants et à son PNB, le manga compte parmi les fers de lance du développement international de la troisième puissance économique mondiale en 2018. Comment le marché du manga a-t-il atteint le milliard d'exemplaires annuels en moins d'un demi-siècle ? Qui sont les acteurs majeurs de cette incroyable expansion ? Découvrez, au fil des pages et des années, les événements et les artistes majeurs qui ont marqué l'histoire du manga moderne dans une nouvelle édition, mise à jour et augmentée.

Résumé : Inédit en France, le Journal du grand écrivain hongrois Sándor Márai éclaire l'homme et l'oeuvre d'une lumière nouvelle.Romancier, chroniqueur, Sándor Márai fut également le témoin et l'acteur d'une époque dont il a consigné les événements dès 1943 dans un Journal qui l'a accompagné jusqu'à la fin de ses jours, devenant un de ses chefs-d'oeuvre.Ce premier volume couvre la période historique la plus riche - la guerre, l'arrivée des Soviétiques, le départ en exil - et dévoile des passages plus personnels de l'oeuvre où se déploient la causticité et la clairvoyance de l'homme de lettres.Sous la direction de la traductrice Catherine Fay, avec la collaboration d'András Kányádi, maître de conférences à l'INALCO, cette édition du Journal apparaît comme la pièce maîtresse de l'oeuvre de Márai : au fil de pages superbes, où le moindre détail  prend une ampleur romanesque, on assiste à la pensée en mouvement d'un homme conscient que sa seule façon d'être au monde est l'écriture.

Résumé : Avec le partenariat de l'Ina, la collection "Télé notre histoire" présente des entretiens avec les professionnels de la télévision française. Les entretiens sont menés par Jérôme Bourdon. Premier entretien : Pierre Tchernia est un témoin important des débuts de la télévision ; en 1949, avec Pierre Sabbagh, Jacques Sallebert, Georges de Caunes et Pierre Dumayet, il crée le premier journal télévisé. Il évoque avec passion les nombreuses émissions qu'il a produites ou présentées : "La boîte à sel", "Cinq colonnes à la une", "L'ami public n°1", "Monsieur cinéma", etc. Second entretien : Raoul Sangla fut assistant - réalisateur de Marcel Carné et Sacha Guitry. Il fit ses débuts à la télévision en 1959 aux studios des Buttes Chaumont et réalisa plus de 400 heures de programmes pour l'Ortf et la télévision publique. L'entretien porte sur le travail et les innovations qu'il introduisit dans la réalisation, notamment le dévoilement du travail des techniciens pendant une émission, la technique des longs plans-séquences (en opposition avec la pratique de l'usage de plusieurs caméras). Il milita et milite encore aujourd'hui pour une télévison différente.

Résumé : Il n'est aucun domaine qui ait échappé à l'emprise du régime soviétique sur la vie culturelle et artistique dans la Russie de l'après-guerre. Après la littérature, le théâtre, le cinéma et la philosophie, c'est au tour de la musique d'être placée sous le contrôle du Parti, lors de la Conférence des musiciens, présidée par Andrei Jdanov à Moscou en janvier 1948. Les oeuvres de quelques grands compositeurs, tels que Chostakovitch et Prokofiev, coupables de " formalisme ", sont alors mises au ban de la production artistique et leurs auteurs sommés de faire amende honorable. Correspondant de la presse britannique en URSS, Alexander Werth est le témoin attentif de cette offensive idéologique. Dans une analyse sur le vif où il laisse largement la parole aux différents acteurs, il retranscrit cette conférence, non sans humour, et avec un remarquable sens de l'observation.. Correspondant de la presse britannique en URSS, A. Werth rapporte une séance du Comité central du PCUS en janvier 1948 au cours de laquelle A. Jdanov inaugure une série de purges dans le domaine musical pour lutter contre le formalisme. Des compositeurs tels que Chostakovitch et Prokofiev sont ainsi visés.

Résumé : « Passion. C'est dit, c'est écrit. Tout naturellement, le mot m'est venu pour décrire cet embrasement permanent, en chaud ou en froid. Qui se moque de la mesure, de la décence, des habitudes. Un sentiment assez puissant pour décider d'un nouvel ordre de nos existences. » Gisèle Halimi a raconté le désamour de Fritna, sa mère, son obstination farouche pour la forcer à l'aimer et son échec. Elle a exprimé sa fru.stration de ne pas avoir eu de fille, « qui aurait pu voir, dans (mes) ses yeux, la femme qu'elle deviendrait» et av'ec qui elle aurait voulu mettre à l'épreuve son engagement féministe. La naissance de sa petite-fille, M., marque un accomplissement : pour la première fois, Gisèle témoin direct de ce qui « fabrique » un individu de sexe féminin, va pouvoir l'aider à construire sa liberté. Mais, au-delà de l'expérience féministe, et au-delà même de la raison, c'est une passion « totalitaire » que Gisèle Halimi nourrit pour sa « Tahfouna » — la rose, l'irrésistible. Une passion capable de métamorphoser deux êtres — l'un dans son déjà long parcours, l'autre arrivant à la vie.

Résumé : La violence dans le couple a longtemps été considérée comme une affaire ne concernant que les seuls adultes. Des études internationales ont cependant prouvé qu'elle avait également de graves conséquences sur le développement physique et psychologique de l'enfant témoin.Les agressions physiques, sexuelles, verbales, psychologiques et économiques, créent un climat de vie marqué au quotidien par l'insécurité et l'instabilité. Au coeur d'enjeux familiaux, sociaux et judiciaires, l'enfant se trouve, dès son plus jeune âge, menacé dans son développement.Les implications psychologiques et médicales de la violence conjugale posent la question de la protection de l'enfant : faut-il parler d'une forme de maltraitance ? Quelles sont les réponses en France au plan social, judiciaire, thérapeutique et politique ? Comment le problème est-il abordé par les autres pays européens ?Conçu pour les professionnels de la santé, de la justice, de l'éducation, du secteur social et médico-social, cet ouvrage fait le point sur les connaissances actuelles et définit des axes de réflexion pour améliorer notre réponse aux besoins de ces enfants.Nouvelle édition intégrant les récentes évolutions législatives

Résumé : " L'ombre du désastre n'est pas près de s'effacer. " Soixante-dix ans plus tard, l'intuition de Marc Bloch se vérifie plus que jamais : 1940 marque bien le trauma majeur des Français avec lequel ni le naufrage impérial à Waterloo, ni la guerre de 1870 ne peuvent rivaliser. Spécialiste consacré de la Seconde Guerre mondiale et conseiller historique d'oeuvres cinématographiques et télévisées, Jean-Pierre Azéma s'est fait le chroniqueur de cette descente aux enfers. De la signature du pacte germano-soviétique aux premiers élans de la Résistance, de la bataille des Flandres à Mers el-Kébir ou au Blitz de Londres, des hôtels de Vichy aux campements de fortune des " exodiens " et des prisonniers, Jean-Pierre Azéma réussit la gageure de marier, en 30 chapitres, le récit haletant de ces 500 jours qui ont défait la France avec les derniers acquis de la recherche historique. A la fois témoin, historien et enfin écrivain de cette année terrible, Jean-Pierre Azéma est l'un des rares capables de restituer le souffle d'une époque.. En une trentaine de chapitres thématiques, une évocation de la période de l'exode, au début de la Seconde Guerre mondiale, et des huit millions de Français fuyant sur les routes.

Contenu : Face A : Les gens de la moyenne. Monangamba. Nobody knows when you're down and out. Trois motifs. Le mal de vivre. La dame du guerveur. Face B : Choisis ton opium. Lorsque s'allument les brasiers. Bura bura. Young woman's blues. Chanson en canot. Les tuileries. Melocoton

Résumé : Quatrième de couverture : L'archéologie s'est totalement transformée depuis 1970, que ce soit par ses objectifs, ses méthodes et la diffusion de ses résultats (mécanisation, professionnalisation, informatisation). Témoin et acteur de ces mutations, l'archéologue Jean-Paul Le Bihan dresse, à l'intention du grand public, un vaste panorama de cette discipline : pratique de terrain et de laboratoire, autant que rapports à l'Histoire, à la mort, à l'art, mais aussi au public et à la politique.La forme de l'interview journalistique, enrichi de réflexions personnelles et de textes de fiction, confère un caractère original et très spontané à cette très vivante histoire de l'archéologie contemporaine. "Lorsque Jean-Paul explique que “Fouiller et publier participent d'une seule et même démarche... La motivation profonde du chercheur c'est la communication, la relation à l'autre”, au-delà de l'homme de terrain et d'écriture, c'est l'humaniste (au sens philosophique du terme) qui s'exprime. Celui qui nous conduit à une réflexion plus profonde sur l'Histoire de l'humanité, notre place dans la société et dans le monde. Son ouvrage, ses écrits devront être prescrits à tous les étudiants et archéologues en devenir." (Marie-Yvane Daire, CNRS)

Résumé : L'ouvrage Lire le manuscrit médiéval, présenté dans une édition mise à jour, se propose de guider tous ceux qui étudient les sources médiévales à partir des documents originaux. Il s'attache plus particulièrement à la forme de livre manuscrit qui s'est imposée vers le IVe siècle de notre ère dans l'ensemble du bassin méditerranéen et qui demeure le modèle des livres imprimés actuels, à savoir le codex.Divisé en neuf chapitres, il suit les différentes étapes de l'existence du manuscrit, de sa confection jusqu'à sa destinée entre les mains de possesseurs successifs. Le manuscrit se trouve ainsi étudié dans son ensemble, comme objet matériel, support de textes et témoin historique.L'ouvrage reflète l'activité de l'Institut de Recherche et d'Histoire des Textes (CNRS), consacrée, de l'Antiquité tardive à la Renaissance, aux manuscrits et aux débuts du livre imprimé, et qui s'ordonne autour de cinq grands pôles linguistiques (hébreu, grec, latin, arabe et langues romanes). Les auteurs entendent ainsi faire partager au lecteur, néophyte ou spécialiste, l'expérience acquise.À la croisée de plusieurs disciplines, qui relèvent toutes de l'histoire, l'ouvrage est destiné à un large public : étudiants de l'enseignement supérieur, philologues éditeurs de textes, conservateurs de bibliothèques et restaurateurs de livres, historiens de l'art et des techniques, historiens des idées et des cultures.

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