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Résumé : Catalogue de la rétrospective inédite consacrée au peintre et dessinateur serbe, naturalisé français. Les caractéristiques de son style ainsi que l'importance des thèmes de la mort et de la souffrance dans son oeuvre y sont notamment étudiées. ©Electre 2019 Cet ouvrage est publié à l'occasion de l'exposition présentée aux Capucins à Landerneau, du 15 décembre 2019 au 26 avril 2020.00Vladimir Velickovic (1935-2019), Serbe naturalisé Français, s'affirme lors de la Biennale de Venise en 1972 comme l'un des plus importants artistes européens. Il offre une alternative au pop art et à l'hyperréalisme qui triomphaient alors. Le Fonds Hélène & Edouard Leclerc pour la Culture organise une rétrospective inédite embrassant la totalité de son oeuvre de peintre et de dessinateur. Velickovic a travaillé pendant deux ans, jusqu'à sa disparition soudaine, en étroite collaboration avec Jean-Luc Chalumeau, commissaire de l'exposition, à cette présentation titrée Legrand style et le tragique.

Résumé : Nourrie de nombreuses sources inédites, correspondances, mémoires, témoignages, cette biographie approche la totalité d'un long parcours protéiforme, de l'expressionnisme post-romantique à l'avant-garde des années 1910-1920 jusqu'à l'exil de Laban en Angleterre, en passant par l'époque nazie. Bien avant celle-ci, Laban fut le "maître de danse" de l'Allemagne, chorégraphe majeur, essaimant des dizaines d' "écoles Laban", réputé à l'étranger, inspirateur ou organisateur de danses collectives réunissant des centaines de danseurs professionnels et amateurs. C'est l'époque où se fonde aussi ce qui deviendra la notation Laban, à travers ses recherches sur le mouvement donnant des livres au succès important. Cette éminence contribue à expliquer l'enjeu qu'il a représenté pour la propagande nazie qui le rejettera finalement comme "décadent". Les expérimentations ultérieures de Laban poursuivront vers le concept d'Effort et son application au monde du travail notamment. Elles conservent aujourd'hui une influence considérable dans de multiples disciplines.

Résumé : Cet ouvrage a été publié à l'occasion de l'exposition "Le mur" présentée à la Maison rouge à Paris, du 14 juin au 21 septembre 2014.00A l'occasion de son 10e anniversaire, La Maison rouge expose une partie de la collection de son fondateur Antoine de Galbert : la presque totalité des oeuvres pouvant s'accrocher au mur. Présentées de manière aléatoire, plus de 1 000 oeuvres par près de 500 artistes couvrent l'ensemble des murs disponibles de la fondation, soit 278 mètres linéaires de cimaises. Peintures, photographies, dessins, néons et pièces en volume se mêlent en un flux continu ignorant la chronologie, la valeur, la notoriété, les différences de formats et de médiums ; toutes les oeuvres sont traitées sur un pied d'égalité, dans un accrochage qui court-circuite les classifications de l'histoire de l'art comme celles du marché. D'une conception aussi inédite que l'exposition, ce catalogue restitue ce long mur sous la forme d'un dépliant de près de 20 mètres

Résumé : Le thème que nous abordons dans cette petite recherche répugne quelquefois. En ce qui nous concerne, il s'agit d'une tentative de vulgarisation de la nébuleuse. Certains considèrent la sorcellerie comme un faux problème ; quand d'autres la classent purement et simplement parmi les croyances superstitieuses sans fondement. Pourtant, le porteur de la Bonne Nouvelle du Salut en Jésus Christ ne peut, à notre avis, ignorer ce phénomène qui persiste chez bon nombre de nos concitoyens. Et parmi eux, il y en a qui se disent pastoralistes ou chrétiens. Ne sied-il pas alors de se demander si ce phénomène n'est pas situé au niveau de la force vitale la plus profonde, tant la quasi-totalité de leur vie semble se jouer dans le monde de l'interaction des forces occultes ? Pour nous, la prise au sérieux de l'anthropologie chrétienne peut peut-être venir à bout de la sorcellerie. Par ailleurs, ne faudrait-il même pas, à un moment donné, chercher à pactiser avec la nébuleuse actuelle, pour y soutirer des positivités qu'elle renfermerait en vue d'un développement humain intégral ?

Résumé : Dans son introduction, Le vent souffle où il veut, Youri Deschamps rappelle que fer de lance du renouveau cinématographique tchèque dans les années 60, Miloš Forman rencontre très vite une véritable consécration internationale, décuplée par son exil volontaire aux États-Unis en 1969. Enracinés dans le présent de l’époque, ses premiers films (L’As de Pique, 1963 ; Les Amours d’une blonde, 1965 ; Au feu, les pompiers !, 1967) apparaissent comme autant de bouffées de fraîcheur et de jeunesse, où souffle un air de liberté contagieux qui annonce le Printemps de Prague. La suite de sa carrière est jalonnée de titres particulièrement marquants (Vol au-dessus d’un nid de coucou, 1975 ; Hair, 1979 ; Amadeus, 1984 ; Man on the Moon, 1999) et regorge d’authentiques pépites qui imposent une réévaluation urgente (Ragtime, 1981 ; Valmont, 1989 ; Les Fantômes de Goya, 2006). D’un film à l’autre, à Prague comme à Hollywood, l’œuvre de Miloš FORMAN cultive le même art de la fronde, qui consiste en une série de portraits subtilement satiriques du monde et de ses bouleversements. Ce volume d’Éclipses revient sur la totalité de la filmographie du cinéaste.

Résumé : Maria Lai (Ulassai, 27 septembre 1919 – Cardedu, 16 avril 2013) est à n’en point douter l’une des voix les plus significatives de l’histoire de l’art italien contemporain. Non seulement par le contenu de ses œuvres, mais encore par la variété de son expression artistique qui fait appel à des matériaux profondément divers. Interventions d’art public, tissage, broderie, sculpture, dessin et écriture, telles sont les déclinaisons de sa poétique. Cet ouvrage accompagne l’exposition du musée MAXXI de Rome qui propose au grand public plus d’une centaine d’œuvres de l’artiste sarde datant d’une période comprise entre le début des années soixante et l’époque de ses dernières recherches. Grâce à la contribution d’experts, la manifestation approfondit, les différents thèmes qui marquent le parcours de Maria Lai : les géographies, la création et la réalisation de livres d’artiste, les interventions de public art, son rapport à la parole et l’écriture. La totalité de ses œuvres exerce une influence visuelle forte, œuvres dont il émane une « manière de faire de l’art » qui n’est rien de moins qu’un outil de réflexion.

Résumé : Le monde dans sa totalité, du début du XXe siècle à nos jours. Aussi vaste que stimulant, le programme d'Histoire, géographie et géopolitique du monde contemporain professe une ambition à la hauteur de son sujet : rendre compte de l'ensemble des enjeux géopolitiques du monde actuel. Parce que la réussite dans une pareille matière est autant affaire de savoirs que de savoir-faire, le présent ouvrage, conçu par une équipe d'enseignants en classes préparatoires chevronnés, permet d'acquérir tant les connaissances que la maîtrise des raisonnements attendus par les jurys. Au fil des deux années de classe préparatoire, il fera office de compagnon pour approfondir le cours au fur et à mesure qu'il sera traité par le professeur. À l'approche des concours, il servira à revoir le programme d'une seule traite. Structuré de manière à suivre exactement l'ordre du programme, ce manuel comprend : un cours clairement organisé et nourri de nombreux exemples actualisés, une chronologie qui met en perspective les différentes aires géographiques, un glossaire détaillé,  une méthodologie explicite s'appuyant sur des conseils concrets, des sujets corrigés, des bibliographies thématiques et commentées.

Résumé : Catalogue d'exposition présentant les oeuvres de l'artiste camerounais. Chaque installation monumentale a été pensée en fonction du lieu et des salles de l'hôtel particulier du XVIIIe siècle. Des oeuvres plus anciennes sont également exposées. ©Electre 2023 À partir de juillet 2023, la Collection Lambert consacre la totalité des deux étages de l’hôtel de Montfaucon à l’artiste camerounais Pascale Marthine Tayou. Proche de l’institution avignonnaise depuis près de 10 ans, il a participé à la grande exposition dans l’ancienne prison Sainte-Anne, La disparition des lucioles (2014), où ses poupées et génies de cristal imprégnaient les anciennes cellules de prisonniers de leur présence poétique. Aujourd’hui, il déploie à la Collection Lambert un projet inédit dans lequel pas moins de dix nouvelles oeuvres monumentales sont produites, et quatre existantes sont repensées pour les espaces qui les accueilleront. Au total, 23 installations prendront place dans les salles du musée. Intitulée Petits riens, l’exposition se présente comme une traversée sensible du “chaos-monde“ pour reprendre la formule d’Edouard Glissant. Chaque installation y devient le prétexte à une conversation ouverte à travers laquelle se défont nos convictions les plus profondes ; à travers laquelle s’inventent autant de situations pour que naissent de nouvelles manières d’envisager le monde.

Résumé : "Cet ouvrage, publié en collaboration avec le ministère de l’Environnement, de la Lutte contre les changements climatiques, de la Faune et des Parcs, offre un accès privilégié à des territoires uniques, véritables laboratoires à ciel ouvert et fleurons du patrimoine naturel québécois. Entre montagnes, lacs et rivières, découvrez toute la beauté et la richesse d’écosystèmes exceptionnels ou exemplaires, de phénomènes géologiques et géomorphologiques remarquables et d’habitats d’espèces rares. Dans la seconde moitié du 20e siècle, un peu partout sur la planète est apparue une volonté de conserver intacts des espaces naturels en les soustrayant aux perturbations provoquées directement par l’activité humaine. De cette vision collective naît le Programme biologique international (PBI) qui a pour but de préserver dans leur intégralité des territoires représentant une diversité écologique et génétique, et ce, de façon permanente. En 1974, le Québec adopte la Loi sur les réserves écologiques, rejoignant ainsi les rangs de plus de 50 pays qui adhèrent déjà à ce vaste mouvement mondial. C’est ainsi qu’en 1976 la première réserve écologique du réseau québécois est constituée. Puisque l’accès à la quasi-totalité des réserves se limite aux activités de recherche scientifique et de gestion, ce livre est l’occasion de découvrir ces trésors naturels du patrimoine québécois et de susciter un intérêt à visiter les quelques réserves écologiques ouvertes au grand public."

Résumé : Contributions interdisciplinaires offrant une analyse historique et thématique du paysage lacustre romand. L'impact visuel et l'esthétique sont au coeur de ces essais qui valorisent l'histoire et le paysage à travers l'exemple d'un haut lieu du tourisme qui a toujours attiré les artistes, les écrivains et les visiteurs et interrogent les questions philosophiques qui touchent à sa représentation. ©Electre 2018. Le Léman n'est pas un objet comme les autres. Il se soustrait à la définition, tout en s'imposant avec force. Il est là, sans pour autant se confondre avec un espace géographique, avec une identité simple, qu'il suffirait de déchiffrer, pour le représenter en images ou par écrit. Car le Léman est, avant toute autre chose, un paysage. Il s'agit donc, dans son cas, d'une construction, d'une totalité toujours mouvante et évolutive qui ressort des images et des pensées le concernant et qui lui confère son caractère polyvalent. Une version numérique vient enrichir le contenu de ce volume. Contributions de Jacques Berchtold, Antonio De Rossi, Pierre Frey, Niklaus Manuel Güdel, Michael Jakob, Jean-Pierre Magnin, Clélia Nau, Baldine Saint Girons, Daniela Vaj et Françoise Very. (éditeur) Fait suite au séminaire réalisé dans le cadre de l'enseignement du Joint Master of architecture (JMA), proposé conjointement par la Haute école spécialisée de Suisse occidentale (HES-SO) et la Haute école spécialisée Bernoise (Berner Fachhochschule, BFH).

Résumé : Sous forme de catalogue raisonné, cette monographie recense la totalité des œuvres de Nina Childress, artiste peintre et cheffe d’atelier aux Beaux-Arts de Paris – depuis son premier tableau peint en 1980 jusqu’à ceux de 2020. La couverture phosphorescente du livre rappelle les œuvres récentes. Les reproductions se succèdent dans un ordre systématiquement chronologique. Elles sont méticuleusement légendées : année, médium, dimensions, localisation (publique ou privée, tableaux détruits ou perdus), expositions, publications. Les tableaux dont il n’existe pas de photo sont remplacés par un aplat vert. Ainsi, peut-on réellement comprendre la construction de l’œuvre durant la période qui couvre « la fin de la peinture à son acceptation retrouvée ». Véritable objet d’art, cet ouvrage est accompagné d’une autobiographie de Nina Childress écrite par Fabienne Radi. Avec un humour subtil et de façon très expressive, Radi retrace le parcours de cette artiste anticonformiste. Son texte évoque une période spécifique – celle des années 80 et 90 où la liberté rejoignait la fantaisie et le non-politiquement correct. Le récit imagé de la vie de l’artiste révèle son parcours dans le contexte d’une activité créative intense. À la fois témoignage de quarante ans de peinture d’une artiste franco-américaine vivant à Paris, objet d’étude pour les historiens de l’art, et outil de travail pour ceux qui assurent la diffusion de l’œuvre, cette édition sera sans aucun doute culte pour les nostalgiques et enrichissante pour les jeunes.

Résumé : Dans ce volume, on entre dans l'univers des villes et du «je». Les essais et les récits rassemblés dans ce tome libèrent un nouveau personnage, qu'on ne connaissait que par les masques de son imaginaire : Giono. Au monde préservé des hauts plateaux et de Manosque succède le monde dans sa totalité, celui des villes et de ce que les hommes mettent en œuvre dans ces villes-là. La guerre menace (et Giono va jusqu'à imaginer dans un proche avenir une guerre d'hommes- robots), l'Apocalypse est pour demain et s'il y a une nécessaire recherche de la justice et de la paix qui est tonique, cette recherche-là est bien proche du désespoir ; elle ne peut sauver. On pourrait dire que ce livre livre le personnage qui a le plus «agité» Giono tout au long de s sa vie, don Quichotte. La civilisation est en train de basculer dans la mort et l'homme Giono se demande si, comme le chevalier à la triste figure, il n'a pas contribué à mettre les folies en lumière. Le fallait-il ? Giono s'englue, note Pierre Citron dans sa préface, dès qu'il veut organiser la société ; il n'est en définitive qu'un anarchiste à l'imagination hémorragique. Mais n'est-ce pas précisément cet autre, qui remue en nous sous l'homme raisonnable, et qui, ayant cru au paradis, le sait perdu, que nous retrouvons dans les récits et les essais que rassemble ce volume ?

Résumé : Architectures, machineries, musiques, odes, lumières, voix et corps en mouvement : pour Léonard de Vinci, la scène aura été le premier lieu de ses inventions et de leur incarnation. Plus encore que pour ses oeuvres picturales, le Quattrocento l'aura célébré pour ses spectacles lyriques sans précédent. Plus d'un siècle avant Peri, Caccini et Monteverdi, ils auront marqué l'avènement des premiers opéras. Ce sont cette invention et cette révolution que révèle ici Olivier Lexa. Quatre années de recherche lui ont été nécessaires pour réunir livrets, notes et croquis, indications de mises en scène de Léonard de Vinci ainsi que les témoignages de ses contemporains. Ces documents inédits, racontés et commentés avec intelligence et sensibilité, nous confrontent à une évidence : l'opéra permet à l'artiste de réaliser ce que la peinture et le dessin lui interdisent. En un temps de renouveau de la théâtralité et du champ des passions, son génie est de rassembler en une totalité visuelle les diverses innovations artistiques et philosophiques de la Renaissance. Alliance remarquable entre découverte scientifique et divulgation culturelle, cet essai inaugural dévoile un pan méconnu mais essentiel de la vie et de la vision du plus universel des esprits humains. À ce point extrême où, avec lui, tout se fait dramaturgie. Metteur en scène et historien de l'opéra, Olivier Lexa travaille pour les plus grands théâtres. Il a dirigé le Palazzetto Bru Zane et le Venetian Centre for Baroque Music. Il est notamment le biographe du compositeur Francesco Cavalli.

Résumé : Pierre Goubert, professeur émérite à l'Université de Panthéon-Sorbonne est l'un des meilleurs spécialistes de l'Ancien régime. Il notamment publié en Pluriel Louis XIV et vingt millions de Français, L'avènement du Roi-soleil et Initiation à l'histoire de la France.Mazarin (1602-1661) ne fut pas seulement l'inquiétant arriviste à l'accent italien qui profita de la Régence d'Anne d'Autriche durant l'enfance de Louis XIV que nous a légué une certaine légende, ni non plus la cible des mazarinades durant la Fronde. Il fut aussi, comme le souligne ce livre, un très grand premier ministre, parachevant l'oeuvre de Richelieu, qui avait été son protecteur et le désigna comme son successeur. On lui doit d'avoir achevé la guerre avec l'Espagne et avec l'Empire, la réunion au royaume de l'Alsace, de l'Artois, du Roussillon, de la Cerdagne et du sud du Luxembourg. Il sut aussi s'entourer de ministres remarquables Fouquet, Le Tellier, Colbert qui formeront l'armature de la haute administration de Louis XIV. Bref, il prépara le règne exceptionnel de ce dernier.Il n'y eut pas ainsi un seul grand cardinal mais bien deux, et cette biographie menée de main de maître par le grand historien qu'est Pierre Goubert le rappelle avec éclat.. Par un des meilleurs historiens français de la société de l'Ancien Régime, voici un livre consacré à l'homme qui semble être le pivot du 17e siècle. C'est Mazarin qui enseigna l'art de gouverner au jeune Louis XIV, et lui légua en totalité son personnel gouvernemental, que le roi conserva.

Résumé : Outil pédagogique de référence, cette 7e édition des Diagnostics infirmiers, interventions et résultats s'impose comme le guide indispensable pour s'initier à la démarche clinique infirmière, en s'appuyant sur les classifications qui fondent aujourd'hui un langage infirmier commun à l'échelle internationale. La première partie présente les concepts de base à connaître pour utiliser les classifications infirmières, leur histoire, leur apport ainsi que les outils méthodologiques tels que les plans de soins guides et les transmissions ciblées. L'ouvrage se compose de quatre autres parties : - Diagnostics et plans de soins : les 267 diagnostics issus de la classification NANDA 2021-2023 sont mis en lien avec une sélection d'interventions pertinentes classées par type de soins puis avec les résultats de soins. - Interventions : les 565 interventions de la classification CISI/NIC 2018 sont listées ; 111 d'entre elles ont été sélectionnées par les auteurs et développées dans leur intégralité. - Résultats : les 540 résultats issus de la dernière classification CRSI/NOC 2018 sont listés ; 84 résultats ont été sélectionnés et sont décrits dans leur intégralité. - Cas concrets et retours d'expérience : cette dernière partie permet de comprendre l'application pratique qui peut être faite des plans de soins. Pour faciliter la recherche, le lecteur trouvera, par ordre alphabétique, la totalité des diagnostics de la classification NANDA 2021-2023, et la liste complète des interventions de la classification NIC et des résultats de la classification NOC. Un index général permet au lecteur de mettre en lien ces trois classifications, ce livre consituant ainsi la seule base de langue française exhaustive et réunie en un seul volume.

Résumé : La publication de Concerto fantastique est un événement, car ce livre vient combler une lacune. Papini nouvelliste n'est pas un inconnu en France - dès novembre 1907 le Mercure de France publiait trois nouvelles du jeune et talentueux écrivain italien - mais pour la première fois le lecteur de langue française dispose de la totalité de ses nouvelles, que Papini lui-même avait rassemblées sous ce titre en 1954, deux ans avant sa mort. L'écriture de nouvelles accompagne Papini pendant toute sa vie, depuis le début de sa carrière - Le tragique quotidien (1906), Le Pilote aveugle (1907) - jusqu'aux années cinquante. Les thématiques de l'étrange, du double, du surgissement du fantastique dans la vie et de la vie quotidienne, l'atmosphère onirique ou d'hallucination que Papini sait admirablement créer, inscrivent sans contredit ses nouvelles dans un contexte européen. Ses derniers recueils, de Portraits imaginaires (1940) à La sixième partie du monde (1950), laissent également apparaître le moraliste et l'utopiste, créateur notamment d'une saisissante galerie de villes invisibles. L'écriture s'oriente vers l'allégorie, l'apologue, le récit philosophique. Papini montre à son lecteur que le fantastique tient plus à l'architecture formelle du récit qu'à un répertoire thématique, d'ailleurs admirablement exploré. Tel que Papini le conçoit, le fantastique n'est pas une évasion, mais une invitation à découvrir le monde secret qui nous habite et la réalité énigmatique dans laquelle nous évoluons. Chaque jour nous côtoyons, à notre insu, des fantômes et des mystères. La tâche de l'écrivain est d'indiquer que monde caché existe. Concerto fantastique, dans la superbe traduction de Gérard Genot, va nous aider à le découvrir. Borgès ne s'y trompait pas, qui considérait les nouvelles de Papini, avec celles de G.K. Chesterton, comme les chefs-d'oeuvre du fantastique européen.

Résumé : «Romain Gary n’est jamais tout à fait devenu un classique. Peut-être est-ce là un indice pour le lire vraiment : parce qu’iconoclaste et inclassable, son œuvre résiste à cette appellation. Bien qu’étant un des auteurs les plus lus, il fait figure de marginal dans les Lettres françaises. Le romancier a cultivé avec constance le mythe de l’affranchi, du cosaque des lettres, en prisant les personnages de parias, de marginaux et de saltimbanques. Éternel insatisfait de soi, éternel écorché vif, il a entretenu le doute sur sa biographie, brouillé les pistes, recouru aux pseudonymes, toisé la bienséance littéraire, choqué par son irrévérence face aux canons du style et de la construction romanesque, par ses déclarations à brûle-pourpoint et son humour noir. Si l’œuvre de Gary n’a pas toujours été perçue comme de premier plan, c’est aussi qu’il est un écrivain dont la vie suscite le plus grand intérêt du public, au détriment parfois d’une lecture attentive de ses textes. Son nom charrie en effet toute une imagerie. Il s’agirait donc de ne pas le réduire à quelques traits biographiques (le séducteur, le mari de Jean Seberg), à quelques prouesses littéraires (l’affaire Émile Ajar, les deux Goncourt) ou à quelques livres fétiches (Les Racines du ciel, La Promesse de l’aube). Car sous la plume de Gary se fait entendre une voix singulière, aux tonalités multiples. La voix d’un écrivain engagé, fidèle à la France Libre et à de Gaulle, celle d’un romancier en révolte contre l’étroitesse des idéologies, qui n’a jamais dérogé aux exigences qui furent les siennes : le refus de désespérer et la poursuite de l’idéal. Un clown lyrique, un mangeur d’étoiles, un enchanteur, comme le disent si bien ses titres.» Maxime Decout.

Résumé : Avec l'avènement de la démocratie, le rire apparaît comme un bien commun, partagé par tous et irriguant la totalité de l'espace public. Ce rire démocratique prend aussi appui sur la puissance de propagation et d'innovation des nouvelles industries médiatiques, qui acquièrent un poids économique et une force de frappe incomparables : acteur majeur de notre culture moderne du loisir et du divertissement, le rire s'est imposé à tous et constitue aujourd'hui l'un des moteurs de la société marchande et du consumérisme. Mais le rire répond aussi à un besoin anthropologique plus large : il soulage face aux angoisses de l'existence, et permet d'expérimenter le plaisir de la connivence sociale et celui de la fantaisie imaginative. Pour lui restituer toute sa richesse, cet ouvrage a choisi de multiplier les angles d'approche, en proposant à la fois une histoire culturelle du rire, une description de ses formes et des techniques utilisées, une réflexion théorique sur ses usages dans l'espace social. Tous les aspects du rire y sont envisagés de façon transdisciplinaire : des catégories du risible aux cibles du rire, de l'esthétique du rire à son usage au service des idéologies - à travers les beaux-arts, la littérature, la caricature, les arts de la scène, la télévision et les médias, la publicité, internet. Dans cette encyclopédie stéréoscopique du rire, abondamment illustrée, on aura encore plaisir à retrouver, au fil des pages et des images, toutes les grandes figures de l'humour depuis près de deux siècles. Il s'agira donc de prendre au sérieux la culture du rire, et de mesurer le rôle capital qu'elle a pu jouer dans l'histoire de notre modernité.

Résumé : Ce manuel est à la fois une synthèse du savoir, un guide pratique et un outil pédagogique, accessible au public le plus large : amateurs et professionnels, profanes et scientifiques chevronnés, étudiants et enseignants, personnes qui inventorient la biodiversité, qui uvrent pour la protection de la nature, agronomes, agriculteurs, vétérinaires, forestiers, naturalistes de terrain, amoureux de la nature et du monde vivant, esprits curieux des véritables trésors qu'offre ce monde. Le premier tome, en noir et blanc, regroupe les textes des 37 chapitres. La morphologie, la phylogénie, les Insectes fossiles, la classification linnéenne, la place des Hexapodes parmi les Arthropodes, les nombres d'espèces connues et d'espèces probables d'Arthropodes et d'Hexapodes, l'effondrement des populations, la sixième extinction et la biogéographie sont l'objet de synthèses dans la première partie de l'ouvrage. Les Hexapoda sont subdivisés en quatre classes (Collemboles, Protoures, Diploures et Insectes), 34 ordres et 1262 familles. Toutes les classes et tous les ordres sont traités. Chaque chapitre comprend une introduction, des généralités sur la biologie, les caractères morphologiques de l'adulte (et des larves dans certains chapitres), la classification assortie d'un tableau de toutes les familles (avec une partie ou la totalité des sous-familles), une ou plusieurs clés pour la détermination des familles (adultes et dans certains chapitres larves), les principaux sites internet et une bibliographie. Les 101 clés de détermination des familles (et dans certains cas des sous-familles) constituent le cur de ce manuel. Le second tome du Delvaberl regroupe les tableaux et les 542 planches en couleurs qui illustrent les 37 chapitres du premier tome. L'illustration étant conçue pour faciliter la compréhension du texte, il est conseillé de placer ce second tome ouvert à côté du premier, de telle manière que le texte et l'illustration correspondante puissent être consultés en parallèle

Résumé : Historiciser le mal propose une analyse critique, une mise en contexte, une déconstruction, ligne par ligne, de Mein Kampf, une des sources malheureusement fondamentales pour comprendre l’histoire du XXe siècle. Nous avons agi en responsabilité en mettant en place un dispositif global afin de respecter l’exigence scientifique et éthique qui s’imposait. La nouvelle traduction présentée dans Historiciser le mal a été confiée à l’un des meilleurs traducteurs de l’allemand en langue française, Olivier Mannoni, qui a ensuite travaillé avec une équipe d’historiens, tous spécialistes du nazisme, de la Shoah et de l’histoire des Juifs. La rédaction d’Historiciser le mal a été menée dans le cadre d’un partenariat signé par Fayard avec l’Institut d’Histoire de Munich, qui a publié en 2016 une édition critique de Mein Kampf en Allemagne, un travail de référence qui a mobilisé une équipe d’historiens allemands. Historiciser le mal a été rédigé par un comité d’historiens, dirigé par Florent Brayard, qui a traduit, adapté, prolongé les 3 000 notes de l’édition allemande et rédigé une introduction générale et 27 introductions de chapitres. Dans la forme, les notes encadrent ainsi la nouvelle traduction et sont indissociables de sa lecture. L’ensemble compte près de 1 000 pages et constitue un jalon historiographique sur la genèse du nazisme. En définitive, l’appareil scientifique inclus dans Historiciser le mal est deux fois plus volumineux que la traduction du texte de Hitler. Il n’est pas question, bien évidemment, que la publication d’Historiciser le mal puisse être lucrative. Ainsi, la Fondation Auschwitz-Birkenau, chargée de la conservation du site du camp de concentration et d’extermination, percevra des droits au premier exemplaire vendu et la totalité des bénéfices qui pourraient être issus de la vente d’Historiciser le mal. Pour savoir où l’on va, il est indispensable de comprendre d’où l’on vient. Nous sommes convaincus que le travail des historiens est nécessaire pour lutter contre l’obscurantisme, le complotisme et le refus de la science et du savoir en des temps troublés, marqués par la montée des populismes. C’est le sens de notre démarche d’éditeur. - Note de l'éditeur

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