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Résumé : A bientôt, j'espère: en mars 1967 à Besançon,une grève sans précédent éclata à la Rhodiacetta, usine de textiles dépendant du trust Rhone-Poulenc. Cette grève a favorisé la réflexion des travailleurs sur leur identité et sur la nature de leur lutte. Un avant-goût des grandes luttes de 1968. Les films suivants témoignent de l'existence de ces mêmes préoccupations chez les ouvriers et ouvrières d'autres usines de la région, les années suivantes. "Le Traîneau échelle" est la création cinématographique d'un de ces ouvriers, en 1971.

Résumé : Dans le Nord de la France, où pendant presque deux siècles ont prospéré les usines textiles, le grand patronat contrôlait l'essentiel des pouvoirs économique et politique de la région. A travers les alliances de sang et d' affaires, ces industriels fondent des familles nombreuses, garantes de l'expansion de ce patrimoine. Petit-fils d'une de ces "grandes familles du Nord", le réalisateur, en interrogeant trois générations de membres de sa famille dresse le portrait d'une classe dirigeante et d'un grand patronat traditionnellement très discrets sur leur mode de vie. On y constate notamment que c'est loin de la Bourse, que recommandait, avec force, de fuir, un des ancêtres récents, que certains, passés de l'Industrie au Commerce (Auchan, Leroy-Merlin, Kiabi, Kiloutou , etc..) perpétuent le capitalisme de "Bon-Papa".

Résumé : Le talentueux cinéaste chinois Jia Zhang-Ke, d'une usine de textile à Canton, à un village minier du Shanxi, en passant par les créations de la styliste Ma Ke , réalise un documentaire en trois mouvements : trois fresques liées à l'univers du vêtement : à ceux qui les font, et à ceux qui les portent. Par ses superbes plans, souvent méditatifs, et ses rencontres rares, c'est une vision, d'une grande finesse, de la société contemporaine chinoise qu'il offre à la réflexion du spectateur.

Résumé : "En Chine, à l'époque du nouvel an lunaire, 130 millions de travailleurs migrants retournent dans leur famille.Cette migration est la plus importante au monde. Si spectaculaires que soient les images de foules et de bousculades dans les gares chinoises, elle ne constituent pas le sujet du film. Le train, dans ce film dédié aux travailleurs migrants, est un symbole. Il illustre ce qui depuis toujours sous-tend le cinéma et la littérature chinois : la séparation des familles, des parents et des enfants, des maris et des femmes, pour la survie. La famile confucéenne est d'autant plus sacrée que la vie la malmène. Les fêtes du Nouvel An célèbrent avant tout une unité familiale aussi éphémère qu'impossible...Des angoisses des parents, ouvriers dans une usine de textile, à la révolte de Qin, la fille aînée, en passant par la prière des enfants devant la tombe de leur grand-père, le film relate l'éclatement d'une famille de paysans du Sichuan, les Zhang, partagée entre la campagne, où les enfants sont restés à la charge de la grand-mère, et la ville, seule source de revenus - et le mal-être qui en résulte : d'un côté un sacrifice trop lourd à porter pour les parents; de l'autre une pression trop grande sur les enfants dès qu'ils sont en âge d'étudier pour qu'ils n'y succombent pas. le titre fait référence à la dernière séquence du film : le renoncement de la mère à son travail pour s'occuper de l'éducation de son fils . Elle ne peut mettre fin à une séparation qu'en en provoquant une autre". (Extrait du catalogue Cinéma du réel 2010)

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