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Résumé : Le film retrace l’histoire de la construction de Firminy-Vert dans la vallée de la Loire. Firminy était une ville minière, noire, vétuste, aux logements insalubres ; Eugène Claudius-Petit, maire de 1953 à 1971, souhaite la rénover complètement avec le soutien d’un ami, Le Corbusier. Le projet architectural, conçu selon la Charte d’Athènes, doit offrir aux habitants lumière et verdure. Le Corbusier construit un quartier à échelle humaine, organisant les éléments les uns par rapport aux autres, alliant l’individuel au collectif. Les immeubles d’habitation, les bâtiments sociaux sont ordonnés autour de vastes espaces verts. Tous les chantiers sont entrepris simultanément et plusieurs architectes participent au projet. Le Corbusier crée une unité d’habitation, une maison de la culture, une église et un stade. Mais en 1971, Claudius-Petit perd les élections municipales : la nouvelle ville a fait des mécontents et elle ne compte que vingt mille habitants. Avec la récession de la métallurgie, la fermeture des mines, les travaux sont interrompus. L’unité d’habitation reste à moitié désaffectée. Enfin, les bâtiments subissent la dégradation du temps. Vingt ans plus tard, ils seront rénovés ; l’église Saint-Pierre restée inachevée sera inaugurée en 2006. Pourtant, Firminy Vert est la ville, en France, qui compte le plus grand nombre d’édifices signés Le Corbusier et elle est probablement l’une des seules banlieues que l’on visite avec un guide.

Résumé : Guillaume Gallienne lit et commente quatre grands classiques que sont Le Lys dans la vallée, Madame Bovary, L'Assommoir et Bel-Ami, accompagné au piano par Philippe Bianconi.

Résumé : "Les Jardins publics" sont une série de neuf panneaux décoratifs peints par Vuillard en 1874 : à partir de leur analyse esr reconstitué l'itinéraire du peintre. "Un Dimanche après-midi à la Grande Jatte'" (1884), fut présenté à la dernière exposition des Impressionnistes. C'est une toile très grande avec une lumière étrange, un fourmillement de petites taches. Ainsi Seura va-t-il marquer les générations ultérieures d' artistes : fauves, cubistes...Toulouse-Lautrec peignit deux panneaux afin de décorer le stand de la Goulue à la foire du Trône (1895) : le film analyse donc cette "Décoration pour la baraque de la Goulue" évoquant l'atmosphère du Paris noctambule de la Belle Epoque.

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